Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1963

Patricia, mon petit… Je voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier. L’homme de la Pampa parfois rude reste toujours courtois mais la vérité m’oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser menu !

#1
9.15 (167 votes)

Écoute, on t’connaît pas, mais laisse nous t’dire que tu t’prépares des nuits blanches… des migraines… des « nervous breakdown », comme on dit de nos jours.

#2
9.06 (129 votes)

Non mais t’as déjà vu ça ? En pleine paix, y chante et pis crac, un bourre-pif, mais il est complètement fou ce mec ! Mais moi les dingues, j’les soigne, j’m’en vais lui faire une ordonnance, et une sévère, j’vais lui montrer qui c’est Raoul. Aux quatre coins d’Paris qu’on va l’retrouver, éparpillé par petits bouts façon puzzle… Moi quand on m’en fait trop j’correctionne plus, j’dynamite… J’disperse… j’ventile…

#3
9.03 (257 votes)

Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît.

#4
8.99 (651 votes)

Mais dis donc on n’est quand même pas venu pour beurrer des sandwichs !

#5
8.97 (136 votes)

Mais y connaît pas Raoul ce mec. Y va avoir un réveil pénible. J’ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter qu’le sang coule mais maint’nant c’est fini ! Je vais l’travailler en férocité ! L’faire marcher à coup d’latte, à ma pogne je veux l’voir ! Et j’vous promets qui demandera pardon ! Et au garde-à-vous !

#6
8.96 (86 votes)

Il date du Mexicain, du temps des grandes heures, seulement on a dû arrêter la fabrication, y a des clients qui devenaient aveugles. Alors ça faisait des histoires…

#7
8.91 (118 votes)

J’ai connu une polonaise qui en prenait au petit déjeuner… Faut quand même admettre que c’est plutôt une boisson d’homme.

#8
8.83 (144 votes)

Alors ? Y dors le gros con ? Bah y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule ! Il entendra chanter les anges le gugusse de Montauban… Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère… Au terminus des prétentieux.

#9
8.83 (144 votes)

Bougez pas. Les mains sur la table. J’vous préviens qu’on a la puissance de feu d’un croiseur et des flingues de concours.

#10
8.75 (94 votes)

Monsieur Naudin, vous faites sans doute autorité en matière de bulldozer, de tracteur et caterpillar, mais vos opinions sur la musique moderne et sur l’art en général, je vous conseille de ne les utiliser qu’en suppositoire. Voilà ! Et encore, pour enfants…

#11
8.75 (62 votes)

Touche pas au Grisbi, salope !

#12
8.69 (158 votes)

C’est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases !

#13
8.62 (128 votes)

C’est du brutal.

#14
8.29 (72 votes)

Y en a !

#15
7.73 (34 votes)

- Ah non ! Ceux-ci, je ne vous les donne pas !
- Mais enfin, Sarah, je croyais que c’était entendu. On a besoin de livres pour faire les barricades. J’avais pensé que vous comprendriez.
- Mais pas la collection complète des campagnes napoléoniennes ! Ma mère vient de les envoyer pour votre anniversaire.
- J’ai un aveu à vous faire, l’Histoire de France m’ennuie.

#16
7.62 (11 votes)

Je pense que si vous pensez ce que je pense que vous pensez, j’ai bien peur de donner raison à Sir Arthur.

#17
7.5 (10 votes)

Quelqu’un a dit quelque part que chaque homme est le père de chaque enfant, mais je suppose que ce n’est vrai que pour ceux qui le sentent.

#18
7.5 (10 votes)

- Il faut que je découvre le foyer d’infection.
- Vous ne le trouverez pas avec un bistouri, docteur.

#19
7.5 (10 votes)

- J’espère que vous ne m’en voudrez pas si je vous dis ceci : durant les semaines où nous avons travaillé ensemble, j’ai conçu une très grande affection pour vous.
- Je vous remercie de me le dire. Une femme est toujours heureuse de l’entendre… Mais il y a peu d’hommes qui ont assez de courage pour le dire.

#20
7.5 (10 votes)

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