Top - Citations de films de l'année 1993

- Georges est dans une situation délicate en ce moment.
- Oui et bien on est tous dans une situation délicate.
- Tu es dans une situation délicate, toi ?
- Non, mais tout le monde en général quoi. La vie est une situation délicate.

- Qu’est-ce que j’apprends Franky, espèce de malhonnête ! Il paraît que t’as des propos intolérables, ou y a pas de tolérance ? Tu sais donc pas qu’c’est pas bien d’être raciste ? C’est mal, on ne doit pas faire de discrimination raciale, c’est mal. Jugez les gens sur leur religion c’est mal, sur leur couleur de leur peu, sur leurs origines sociales ou sur leur nationalité c’est mal !
- OK puisque j’vois qu’on peut pas discuter… on va faire un duel.
[« Ooooh », exclamations et bavardages dans la salle]
- Enculé de ta race !
[chacun tire un coup de feu]
- J’adore les duels inoffensifs. Et maintenant casse-toi ! La prochaine fois je m’occuperai de toi avec de vraies balles. Et ça chauffera pour ton cul sale français !
- Bah j’suis même pas français, je suis américain.
- Non t’es français, moi j’suis américain !

My name is Victor Meynard and I work as a professional killer.

L’activité d’écriture serait à l’image de celle du monde. Par la lenteur et la complexité qu’elle suppose, et les recherches et pistes multiples qu’elle met en œuvre, elle seule est susceptible de rendre compte de l’enchevêtrement du monde, en le tenant à distance. Mais les abus d’écrits tou…rmentent et les abus d’écritures… mentent.

Là, on touche au cœur du problème : c’est pas qu’on se casse la gueule au bobsleigh, non, non, on s’l’éclate !!

Elles étaient si malheureuses toutes les deux, que je ne savais pas laquelle tuer.

Que vois-je ? Que vois-je ? Du rouge, du bleu, du vert !

- Y’a aucune vie normale Wayatt, y’a juste le vie et on doit faire avec !
- J’sais pas faire.
- Si tu sais. Dis moi « au revoir », rattrape cette diablesse d’actrice et aime-la de toute tes forces, gorge-toi de sa beauté, avance sans regarder en arrière, vis chaque secondes, vis chaque brin d’herbe, chaque nuage, vis Wayatt. Vis pour moi, Wayatt, si tu es mon ami, si tu prétends avoir la moindre amitié pour moi, je t’en prie va t’en, part maintenant, s’il te plaît.

Merde ! Putain ! Chiotte !

Messire, messire ! J’ai trouvé le remède contre le pourrissement… LA PÂTE À DENT !!

Le tortichier est mort !

On va faire une rixe au Courtepaille.

Savonnez-vous de bon cœur, et… insistez bien sur les pieds !

La prochaine fois je l’abime.

- Où j’ai rencontré George ? C’est une excellente question ! À la ferme.
- La ferme ! Quelle ferme ?
- À la ferme ta gueule toi ducon, espèce de crétin !

Ça t’apprendra à violer l’espace aérien.

Urbain Donnadieu : Nous souhaiterions parler à Monsieur Muller.
Le réceptionniste : Le comte Muller ?!
Urbain Donnadieu : Il est comte Monsieur Muller ?!
Le réceptionniste : Certainement, Monsieur !!
Urbain Donnadieu : Tu savais qu’il y avait des comtes en Suisse ?!
Mémé Zézette : Bah évidemment, c’est pour ça qu’on est là !!

Vous direz aux anges du ciel que vous n’avez jamais vu le mal aussi nettement incarné qu’en la personne qui vous a exécuté.

Si je mange rien, c’est que j’ai pas faim. Si je m’assoie pas, c’est que je reste pas. Si je regarde pas, c’est que j’ai déjà vu ce film, y’a sept ans. Ça s’appelle The Mack, avec Max Julien, Carol Speed et Richard Pryor. Et j’ai aucune crainte, juste du dégoût.
Dans cette enveloppe, y’a de quoi payer tes frais, Alabama part pour d’autres aventures plus joyeuses; pas question de discuter, je déteste marchander. Dans cette enveloppe, y’a le prix de ma tranquillité; ma tranquillité elle vaut ça et pas un penny de plus.

Jack Slater : Hey Claudius ! C’est toi qui a tué mon père. Monumentale erreur.
Le narrateur : Il y a quelque chose de pourri au royaume de Danemark. Et Hamlet va faire le ménage.
Claudius : Retiens ta mains mon doux prince.
Jack Slater : Moi doux ? Tu veux rire.
Le narrateur : Cette fois personne ne souhaitera bonne nuit à ce doux prince.
Jack Slater : Être ou ne pas être.
Jack Slater : Ne pas être !