Top - Citations de films de l'année 1993

- Restaurez votre calme, John Spartan.
- J’en ai ras-le-bol de restaurer mon calme ! J’vais retrouver Phoenix, et j’vais lui faire restaurer son calme une fois pour toutes.

Ça, c’est vraiment un gros tas de merde.

C’est à vous, cette superbe voiture qui est garée dehors ? C’est idiot, vous savez, on prétend que les hommes qui se paient de gros engins le font afin de compenser la petitesse de leur sexe, mais ça ne s’applique pas à vous, car je devine que vous êtes un sémillant jeune homme.

Bon d’accord, elle est chiante, fragile, névrosée, mais je vais quand même l’épouser et je vous emmerde !

Quand on a rien, il faut faire comme si tout nous appartenait.

- C’était bien ?
- Pardon ?
- Je vous demande si c’était bien. Je vous choque, c’est normal, et je vous demande de m’en excuser. Mais vous venez de baiser ma femme pendant six heures d’affilée, alors je vous demande si c’était bien, ça aussi c’est normal.

Tu me donnes la chair de poulpe, je suis en nage.

I’m your Huckleberry.

Qu’est-ce que ça peut me foutre, cette excuse sur les embouteillages ? Ils découvrent les embouteillages ? Ça fait quarante ans qu’ils habitent ici, ils devraient être prévenus, maintenant. À Paris, il y a des embouteillages. Non non, tu comprends : être en retard, ça fait riche. Et quand on est célèbre comme lui, n’en parlons pas, c’est une tradition. C’est quasiment obligatoire. On tarde, on tarde, et on apparaît enfin aux yeux du peuple.

Tuer un homme, c’est être un assassin mais en tuer des millions, c’est être un conquérant. Va comprendre.

Jasmine : Relâchez-le ! Ordre de la Princesse !
Razoul : Oh ! Princesse Jasmine !
Aladdin : La Princesse ?
Razoul : Mais que faites-vous donc hors du palais et en compagnie de ce vaurien ?
Jasmine : Cela ne vous regarde pas ! Faites ce que je viens de vous dire : relâchez-le !
Razoul : Désolé Princesse mais je ne reçois des ordres que de Jafar, vous devriez parler avec lui.
Jasmine : Faites-moi confiance ! Je le ferai !

Qu’est-ce que tu fais encore là ?! Je t’ai mendié une torche ! Vas prestement !

Quand tu vois plus le dessous des cartes, t’es dans la merde mon pote, t’es dans la merde.

Silence, la gueuse ! Prends-ça, va ton chemin !

- C’est vous qui avez tiré monsieur ?
- Oui.
- C’est votre flingue ? Je peux voir ? Woua il est ultra léger. Ça vous dérange si je le titille un peu ? [Il tue un canard] Dites vous voudriez pas le vendre ?
- Non j’en ai besoin.
- Ah bon pourquoi ?
- Pour tuer le président.
- Pourquoi vous voulez faire ça monsieur ?
- Pourquoi t’as buté cet oiseau gros con ? [Et il le tue]

- Et puis au bout d’un certain temps, je n’aurais plus à repenser à la vie géniale et si parfaite que j’ai vécue…
- Sam, dites-moi ce que votre femme avait de si extraordinaire.
- C’est à dire… vous avez l’antenne combien de temps ?

Je vais me dire qu’il faut que je me lève tous les matins, que je continue à respirer toute la journée. Et puis au bout d’un certain temps, je n’aurais plus à me dire qu’il faut que je me lève tous les matins, que je continue à respirer. Et puis au bout d’un certain temps je n’aurais plus à repenser à la vie géniale et si parfaite que j’ai vécue.

- Si un homme dépense autant de fric pour une femme, c’est qu’il attend plus qu’un joli sourire ! C’est une sorte de premier acompte.
- Pardon ?
- Oh, vous savez bien ! Filer un coup de sabre, arroser le persil, bourrer la bonbonnière, dégager le poireau, tirer sa crampe, faire faire un graissage à Paupol…
- Madame Doubtfire…
- Tremper son biscuit, se vidanger le carbure, tailler son crayon, faire un peu de cunnilinguistique…

Oh, je trouve qu’elle l’a pris plutôt bien !

- Aide-moi, donne-moi ta main !
- Donne-moi la lampe !
- Je vais lâcher prise, donne-moi ta main !
- Envoie-moi d’abord la lampe !
- Ouais, enfin !
- Qu’est-ce que tu fais !
- Je vais t’offrir ta récompense, ton éternelle récompense !