Top - Citations de films de l'année 1993

Tu crois qu’tu m’impressionnes ? Moi j’sais dire allons à la plage monsieur Renard : « vamos a la playa señor Zorro. »

Soyez heureux.

- A philosophy major? Now, what can you do with a philosophy major?
- You can think deep thoughts about being unemployed.

Man I love them high school girls. I get older, they stay the same age. Yes they do.

Are you gonna do something, or are you just gonna stand there and bleed?

Pas cracrac avant babague, fraulein.

- Mais pourquoi j’peux pas travailler seul ?
- Parce que t’es trop mauvais.
- Ah ben là patron vous m’avez convaincu. C’est une bonne raison.

Tu aurais vraiment dû choisir un autre métier.

Tu vois là, on est dans une machine à remonter le temps : regarde derrière, c’est le passé, devant le futur. Si tu veux faire un bon dans le futur, tu appuies sur l’accélérateur ; si tu veux ralentir le temps, tu appuies sur le frein. Et là, c’est le présent. Profites-en tant qu’il est là.

Si tu veux faire la cour à la donzelle, il vaut mieux pas qu’tu tires dans les coins. Tu piges ?

- Did you find a lawyer?
- I am a lawyer.

Ne vous moquez pas, peut-être que dans le pays d’où vient votre camarade, Marie a un ours !

Si Dieu était un méchant… ce serait moi !

À deux jours de la retraite.

- Si un homme dépense autant de fric pour une femme, c’est qu’il attend plus qu’un joli sourire ! C’est une sorte de premier acompte.
- Pardon ?
- Oh, vous savez bien ! Filer un coup de sabre, arroser le persil, bourrer la bonbonnière, dégager le poireau, tirer sa crampe, faire faire un graissage à Paupol…
- Madame Doubtfire…
- Tremper son biscuit, se vidanger le carbure, tailler son crayon, faire un peu de cunnilinguistique…

Si je chope le salopard de misogyne qui a inventé les talons hauts, je le tue !

- Vous habitez là, madame ?
- Oui, à mon grand regret.
- Est-ce que vous savez qu’il est illégal d’avoir des animaux de ferme dans une zone résidentielle, madame ?
- Même quand on en a épousé un ?

Je déteste les bois au moins autant que les petits pois et les communistes.

- Qui êtes-vous donc ?
- Je suis votre pire cauchemar.
- Non, mon pire cauchemar, c’est de me réveiller sans mon pénis.

Nous avons inventé le destin parce que nous ne pouvions pas supporter le fait que tout ce qui nous arrive soit accidentel.