Vous êtes autorisé à employer la force sous toutes ses coutures. Voulez-vous qu’on les fusille ? Ne vous gênez pas. Personne ne dira rien.
- Dites-moi, Lew, comment va votre brigade ? - Haha, de mémoire d’homme, je n’ai jamais vu de troupes aussi prêtes pour aller se battre. Je reconnais que le vieil homme a du mérite, oui, beaucoup de mérite. Qui d’autre aurait pu garder l’armée aussi longtemps homogène ? Vous vous souvenez comment les hommes parlaient de lui lorsqu’il a pris le commandement. Ils l’appelaient tous la grand-mère… - Exact. - Oh, seigneur, nous étions vraiment stupides. Aujourd’hui, quand il passe, les hommes se taisent comme s’ils avaient vu un ange ou même dieu ? Avez-vous déjà vu ça ? - Non. Je dois reconnaître que non. C’est surprenant ce qu’un honnête homme peut faire.
- Avec votre permission… Toute ma vie, j’ai été soldat, mon général. J’ai servi dans presque tous les rangs, vous connaissez mes états de service. Mais mon général, je préfère vous le dire maintenant, je pense que cette attaque échouera. Même quinze mille soldats ne pourront pas prendre cette crête d’assaut. C’est une distance d’au moins deux kilomètres sur un terrain découvert. Quand les hommes vont sortir de la forêt, ils se trouveront dans le feu de l’artillerie yankee qui balaiera le champ de tous les côtés. Et c’est Hancock qui commande. En outre, ils ont un mur de rochers comme nous avons eu à Fredericksburg. - Nous faisons notre devoir, général, nous faisons ce que nous devons faire. - Mon général…
C’est pas bien de cogner sur les gens… enfin des fois si… Mais pas quand c’est des pauvres types qui cherchent à manger !
Madame, vous ressemblez à mes rêves mieux que toutes celles qui les ont suscités. Vous avez ce quelque chose de délicieusement désinvolte qui ne se rencontre que chez les êtres divins. Mon imagination n’a rien n’a vous prêtez que vous n’ayez déjà.
Officier 1 : Venez avec moi ! Un juif : Je suis un travailleur essentiel ! Officier 2 : Ah bon, un travailleur essentiel ?! HAHAHAHA ! Un juif : Oui… je travaille pour Oskar Schindler ! Officier 1 : Oh ! Un travailleur essentiel pour Oskar Schindler. Officier 2 : Deux fois plus inutile…
Vous voyez le tyrannosaure n’obéit à aucun schéma de groupe, ni aucun horaire de parc d’attraction, c’est l’essence du chaos.
- Toutes les richesses du monde je ne pouvais pas les avoir avant bien sur, mais il y avait toujours quelque chose qui manquait. Dans toutes les affaires que j’ai tentées, je le vois aujourd’hui, ce n’est pas moi qui ai échoué. Il y avait toujours quelque chose qui manquait et même si j’avais su ce que c’était je n’aurais malheureusement rien pu y faire. On ne peut pas créer cette chose mais pourtant c’est elle qui fait la différence entre le succès et l’échec. - La chance ? - La guerre.
- Qu’est ce que tu fous avec les bras en l’air ? Je t’ai dit de les lever ? Baisse tes bras, c’est moi qui les lève ! - Ha non c’est à moi de les lever ! - Non c’est à moi de les lever, c’est moi qui décide et puis d’ailleurs arrête de faire tout comme moi. Baisse les bras et prend ton flingue au lieu d’être là à me copier. - Mon flingue ? Avec plaisir. - Tout compte fait je préfère garder mon flingue. Désolé. Je vais partir avec mon cheval. Vieux. - Ok y’a pas de problèmes je vais juste le préparer pour toi. - Nan j’ai changé d’avis TU prends le cheval et TU te casses ! - Ok. - [Énervé] Putin je me suis mal démerdé ! Pourtant j’ai pas fait une concession !
- Il va y avoir des générations grâce à ce que vous avez fait. - Je n’en ai pas fait assez. - Vous en avez fait tellement. - Cette voiture… Goeth m’aurait acheté cette voiture. Pourquoi j’gardais cette voiture ? Dix, dix personnes avec ça. Dix personnes… dix personnes de plus. Cet insigne, deux personnes. C’est de l’or… deux personnes de plus. Il m’en aurait donné deux pour ça… au moins une, il m’en aurait donné au moins une, une de plus… une personne de plus. Une personne, Stern… J’aurai pu sauver une personne de plus… et je ne l’ai pas fait…