Top - Citations de films de l'année 2001

Le jour sourira, la nuit pleurera, ogresse tristement. Un baiser recevra et ce jour tu sauras, belle aux yeux de ton amant.

Tout ce que vous avez à décider, c’est ce que vous devez faire du temps qui vous est imparti.

- Dis moi jeune berger est-ce que cette galère va a Jérusalem ?
- Oui… Oui c’est ça, on va faire du bateau !

Like a virgin.

Je m’appelle André Le Pâté et je te pisse dessus !

- Moi vous ne m’attraperez jamais… [Il tombe à cause de l’amure] Sacrée poursuite.
- Où est la main ?
- [Pose sa main sur l’endroit ou il a caché la main] Eh je ne vois pas de quoi vous voulez parler !!
- C’est bon on a la main pour ouvrir le coffre. [Il pointe le fusil sur Eric]
- Oh non je veux pas voir ça. [Il baisse son casque]

- Je passe mon temps temps à fermer ma gueule.
- C’est l’argent qui t’intéresse ?
- Oui.
- Et ben tu continues à fermer ta gueule.

Qu’est ce que tu faisais chez Willy Journo ?

Non merci, j’ai à manger.

Mais dans quel monde pensais tu bien pouvoir me battre ?

Mon cerveau est figé… il faut que je me libère de cette culture de reproductibilité mécanique et de cette épaisse croute qui est en train de mourir à la surface !

Si il y a une chose que cette horrible tragédie peut nous apprendre, c’est que la vie d’un modèle homme est un bien précieux, ce n’est pas parce que nous avons des traits sublimes et des abdos de rêves, que nous ne pouvons pas nous aussi mourir dans un accident imprévu au court d’une bataille d’essence.

- J’ai une question à te poser. Réfléchis bien avant de répondre… Quand deux personnes s’aiment vraiment mais qu’elles ont l’impression que ça colle pas, à quel moment elles s’aperçoivent que c’est fini, quand c’est fini ?
- Jamais…

- Mais pourquoi tu me parles avec cette voix nœud-nœud…? On dirait Chantal Goya !
- Mais je suis Chantal Goya !

Mais bien sûr que j’ai dit ça, puisque je te dis que j’ai dit ça.

- Comment vous appelez-vous ?
- Blithe, lieutenant, Albert Blithe.
- Et pourquoi vous êtes vous caché Blithe ?
- J’avais la trouille…
- On a tous la trouille… Vous vous êtes caché parce que vous pensez qu’il y a encore de l’espoir, mais Blithe le seul espoir qu’il doit vous restez est d’accepter le fait que vous êtes déjà mort… Plus vite vous l’accepterez plus vite vous pourrez fonctionner comme un vrai soldat est censé fonctionner : sans merci, sans remord, sans compassion, tout l’avenir de la guerre en dépend…

Une mine !

Allons, allons, c’est pas si terrible ! Vous n’êtes pas si laide ! Boh, boh, boh, je vais pas vous mentir, vous êtes très laide !

Le réceptionniste de l’hôtel : Vous me donnez une carte de crédit s’il vous plaît ?
Balthazar : Ah, nous voyageons sans carte, le destin est notre guide.
Le réceptionniste de l’hôtel : Vous avez du liquide ?
Balthazar : Hélas nos outres sont vides.
Gaspard : Et nous avons grand soif.

Avé légionnaires, j’ai une galère à prendre !