Kaakook

Acteur / Actrice - Edward Norton

Edward Norton joue dans :


Répliques de Edward Norton (72)

Quand l’exploration de l’espace intersidéral prendra de l’ampleur ce seront les multinationales qui mèneront tout. La sphère stellaire IBM, la galaxie Microsoft, la planète aux cafés Starbucks.

8.65 (86 votes)

Derek Vinyard : Tout ça, c’est typique.
Le journaliste : Comment ça, typique ?
Derek Vinyard : Ce pays est en train de devenir un refuge pour les criminels. Alors, faut pas s’étonner… Je veux dire que les honnêtes travailleurs comme mon père se font tous éliminer par des parasites sociaux…
Le journaliste : Des parasites ?
Derek Vinyard : Les noirs, les basanés, les jaunes, enfin tout ça quoi…
Le journaliste : Je ne comprends pas, tu dis que le meurtre est d’origine raciste ?
Derek Vinyard : Bien sûr, tous les problèmes de ce pays sont d’origine raciste. Pas seulement les meurtres : l’immigration, le sida, les dépenses sociales sont des problèmes de la communauté noire, hispanique, asiatique. C’est pas un problème blanc.
Le journaliste : Ce n’est pas quelque chose qui a un rapport avec la pauvreté ?
Derek Vinyard : Non ! Ils ne sont pas le produit de la société. C’est des conneries tout ça ! Les minorités en ont rien à foutre de ce pays. Ils s’amènent ici pour l’exploiter et pas pour s’intégrer. Ils y a des milliers d’européens blancs qui sont venu ici et qui ont bien réussi en l’espace d’une génération alors pourquoi est-ce qu’on s’emmerde avec ces parasites qui viennent juste tirer… [Sanglots] sur des pompiers !
Le journaliste : Mais quel rapport cela a à voir avec le meurtre de ton père ?
Derek Vinyard : Parce que mon père s’est fait buter en faisant son travail pour éteindre un incendie dans leur putain de quartier de nègre. Il aurait dû s’en foutre, qu’est ce qu’il en avait à branler !
Doris Vinyard : Allez, ça suffit…
Derek Vinyard : Il s’est fait sûrement allonger par un enculé de dealer qui continue a toucher ses allocations.

8.65 (153 votes)

- Non de Dieu pourquoi est ce que tu fais ça ?
- C’est moins cher que le cinoche et y’a du café gratuit.

8.65 (42 votes)

Si on se réveillait à une heure différente, à un endroit différent, pourrait-on se réveiller dans la peau d’une personne différente ?

8.64 (49 votes)

- Est-ce qu’on entendait un tic-tac à l’intérieur ?
- À vrai dire les balanceurs s’en balancent car les bombes modernes font plus tic-tac.
- Comment ça les balanceurs ?
- Les bagagistes. Quand une valise vibre, les balanceurs doivent appeler la police.
- C’était ma valise… qui vibrait…?
- 9 fois sur 10 c’est un rasoir électrique mais… une fois d’temps en temps… c’est un god. Bien sûr notre compagnie a pour règle de ne jamais conclure que le voyageur est le propriétaire du god, nous devons employer l’article indéfini : un god mais jamais… jamais… votre god.

8.64 (71 votes)

J’affronterai Gandhi.

8.61 (105 votes)

- On commence par quoi ? Par vôtre constant absentéisme ? L’extrême négligence de vôtre tenue ? Vous êtes bon pour un rapport.
- Je suis l’absence totale de surprise de Jack.
- Quoi ??

8.6 (33 votes)

- Une voiture de ma société roule a 90Km/h. La boite fréquentielle lâche. La voiture se crashe et brûle avec tout le monde à l’intérieur. Maintenant, doit-on faire un rappel ? Prenez le nombre de véhicules en circulation, A, multiplié par le nombre probable de défaillances, B, multiplié par la moyenne des sommes qu’on a eu a payer, C. A fois B fois C égal X. Si cet X est inférieur au coût d’un rappel, on ne fait rien.
- … Pour quelle compagnie travaillez-vous ?
- Une très connue !

8.57 (123 votes)

C’est très gênant une cuisine remplie de condiments et pas de nourriture.

8.41 (103 votes)

Chloé avait la même allure que le squelette de Meryl Streep qu’on aurait obligé à sourire et à se balader dans une réception en étant super sympa avec tout le monde…

8.4 (121 votes)

Je suis le canal biliaire irrité de Jack.

8.38 (107 votes)

- T’as qu’un mot à dire et je prends à gauche.
- À gauche ? Pour aller où?
- Au Washington Bridge, on fille vers l’Ouest, on te fait soigner quelque part et on reprend la route, on cherche une petite ville. On fait une étape à Chicago pour voir un match, t’as toujours dit que tu voulais voir le stade de Willing Field.
- Arrête !
- J’dis ça… si c’est ce que tu veux j’suis prêt à le faire !
- Non ils prendront ton bar.
- Bon Dieu… mon bar ! Qu’il le prenne le bar, tu crois que mon bar compte plus pour moi que toi, mon fils unique ? T’as qu’un mot à dire et on fille.
- Ils me retrouveront… ils me rattraperaient tôt ou tard…
- Tu sais comment ils reprennent les gens ? Ils les reprennent quand ils reviennent chez eux. La plupart des fugitifs finissent par rentrer, c’est ça la grosse erreur ! Tu te sauves et tu ne reviens jamais. Tu ne reviens plus. Nous roulerons, sans nous arrêter, jusqu’à ce qu’on se retrouve au milieu de nul part, jusqu’au bout de la route, t’es jamais allé à l’ouest de Philadelphie ? C’est une région magnifique ! C’est très beau, c’est un autre monde ! Les montagnes, les collines, les vaches, les fermes et les églises toutes blanches. On s’est fait une virée une fois avec ta mère, avant ta naissance. De Brooklyn au Pacifique en trois jours ! On avait juste assez d’argent pour l’essence, les sandwiches et les cafés mais on y est arrivé. Homme, femme, enfants, tout le monde devrait voir le désert une fois avant de mourir ! Rien à des kilomètres à la ronde, rien que le sable, les pierres, les cactus et le ciel bleu ! Personne en vue, pas de sirènes, pas d’alarmes de voiture, personne ne klaxonne, pas de fous furieux qui hurle et qui pisse dans la rue, tu trouves le silence tu trouve la paix… Tu peux trouver Dieu. Alors on va vers l’Ouest, on roule jusqu’à ce qu’on trouve une jolie petite ville. Ces villes dans le désert tu sais pourquoi elle on poussé là ? Parce que des gens avaient prix la tangente ! Le désert, c’est fait pour tout recommencer. On trouvera un bar et on boira des coups, ça fait deux ans que je n’ai pas bu d’alcool mais je boirais avec toi un dernier whisky, avec mon fils ! On prendra notre temps, on savourera le gout de l’ange tranquillement et puis je m’en irai. Je te dirai de ne surtout pas m’écrire, de jamais venir me voir, je te dirai que je crois au Royaume de Dieu et qu’je suis sur que nous serons de nouveau réunis avec ta mère mais pas dans cette vie. Tu trouveras du travail, un salaire en liquide, un patron qui ne posera pas de questions, tu repartiras de zéro et tu ne reviendras jamais. Monty, les gens comme toi c’est un cadeau ! Où que tu ailles tu te feras toujours des amis. Tu travailleras dur. Tu garderas la tête baissée et les lèvres serrées, tu referas ta vie là-bas. Tu es New-yorkais ! Ça ne changera jamais ! Tu as New York dans le sang, tu finiras tes jours dans l’ouest mais tu resteras un New-yorkais. Tes amis te manqueront, ton chien te manquera mais tu es fort, tu as l’énergie de ta mère. Tu es fort comme elle ! Tu trouveras les gens qu’il faut et tu te feras faire des papiers… Un permis de conduire. Tu oublieras ton ancienne vie, tu ne pourras pas revenir, tu ne pourras ni appeler, ni écrire tu ne te retourneras pas, tu t’inventeras une nouvelle vie et tu la vivras tu m’entends ? Tu vivras ta vie comme tu aurais dû la vivre et peut-être que, à ça c’est dangereux, et peut-être que dans quelques années, tu enverras un mot à Naturel. Tu fonderas une famille, tu élèveras bien tes enfants, tu m’entends ? Offre leur une bonne vie Monty ! Tout ce dont ils ont besoin ! Si tu as un fils peut-être que tu l’appelleras James, c’est un bon nom ! Et peut-être qu’un jour, dans de nombreuses années, quand je serai parti rejoindre ta mère, tu réuniras les tiens et tu leur diras la vérité ! Tu leur diras qui tu es et d’où tu viens ! Tu leur raconteras toute l’histoire et tu leur demanderas s’ils savent à quel point ils ont de la chance d’être là et tu leur diras qu’ils ont bien failli ne jamais voir le jour, tout cela a bien failli ne jamais exister.

8.22 (35 votes)

On se réveille dans différents aéroports : Seattle, San Francisco, Los Angeles. On se réveille à Chicago, à Dallas, à Baltimore. On change de fuseau horaire, on perd une heure, on gagne une heure. C’est votre vie et elle s’achève minute après minute. On se réveille dans un aéroport dont on ne sait même pas le nom. Si l’on se réveillait à une heure différente, dans un endroit différent, pourrait-on se réveiller dans la peau d’une personne différente ?

8.15 (55 votes)

You met me at a very strange time in my life.

8.12 (123 votes)

Et brusquement, je me rend compte que tout ceci - le flingue, les bombes, la révolution - est lié d’une certaine manière à une femme du nom de Marla Singer.

8.11 (96 votes)

Tyler : Cette semaine, vous aurez tous un devoir à faire : vous irez dans la rue et vous provoquerez une bagarre avec un parfait inconnu. Vous allez cherchez la bagarre, et vous allez perdre.
Le narrateur : Mais c’est pas aussi facile que ça en a l’air. La plupart des gens, les gens normaux sont prêts à faire n’importe quoi pour éviter la bagarre.
Un pasteur : [Il se fait arroser] Excusez-moi, vous venez de m’arroser avec ce tuyau. Je sais que c’est un accide… [Il se fait arroser sa bible] Ça ce n’était pas nécessaire.

8.09 (37 votes)

Je ne sais pas comment Tyler avait déniché cette baraque, mais il disait y habiter depuis un an. On avait l’impression qu’elle attendait d’être rasée. La plupart des fenêtres étaient condamnées par des planches. Il n’y avait plus de serrure à la porte d’entrée depuis que la police ou dieu sait qui l’avait défoncée. L’escalier était prêt à s’écrouler. Je ne savais pas s’il en était propriétaire ou s’il l’a squattait. Ni l’un ni l’autre ne m’aurait surpris.
Quel trou de merde ! Rien ne fonctionnait. Si l’on allumait une lampe, ça en éteignait une autre dans la maison. Il n’y avait pas de voisins, seulement des entrepôts et une usine de papier. L’odeur fétide de la vapeur rappelait celle d’un pet, et l’odeur de la sueur rappelait celle d’une cage à hamster.

7.95 (34 votes)

Nous venons de subir une brusque dépressurisation.

7.85 (55 votes)

Je suis la sueur froide de Jack.

7.55 (39 votes)

Je suis le bulbe rachidien de Jack et sans moi Jack ne pourrait réguler ni son rythme cardiaque ni sa tension ni sa respiration.

7.45 (37 votes)

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