Kaakook

Acteur / Actrice - Edward Norton

Edward Norton joue dans :


Répliques de Edward Norton (72)

Le désert, c’est fait pour tout recommencer.

6.98 (33 votes)

Mets ta bouche sur le bord du trottoir…

6.67 (5 votes)

- Tu cherchais un moyen de changer ta vie. Tu ne pouvais pas y arriver tout seul. Tout ce que tu souhaitais pouvoir accomplir, c’était moi. J’ai la tête que tu voudrais avoir, je baise comme tu voudrais baiser, je suis intelligent, je suis adroit, et par dessus tout je suis libre sur tout les plans où tu l’es pas.
- Non… Non… C’est impossible ! C’est dingue !
- Les gens font ça tout le temps. Ils se parlent à eux-mêmes, ils se voient eux-mêmes tels qu’ils aimeraient être, mais ils n’ont pas le courage comme toi d’aller jusqu’au bout. Naturellement, tu as du mal à assumer, alors par moments, t’es encore toi. À d’autres moments, tu t’imagines en train de m’observer ; mais en définitive, tu acceptes de devenir peu à peu… Tyler Durden.

6.67 (5 votes)

- [Crie au chauffeur de taxi] Asshole!
- You know, I know a few techniques that could help you manage that anger effectively.
- You zip it. We’re walking.
- Ok.

6.47 (7 votes)

- J’avais pitié de ces gars entassés dans les salles de sport qui essayaient de ressembler à l’image éditée par Calvin Klein et Tommy Hilfiger. [À Tyler] C’est de ça qu’un homme doit avoir l’air ?
- Ah ah ah, l’auto-perfectionnement c’est de la masturbation, j’conseille l’auto-destruction.

6.43 (4 votes)

Je suis la vie gâchée de Jack…

5.83 (2 votes)

- Il y a une époque où j’en voulais à la terre entière où j’avais la haine pour toutes les misères, les vexations, les souffrances que j’endurais continuellement, que je voyais infligé à mon peuple. J’en voulais à tout le monde, j’en voulais aux blancs, j’en voulais à la société, j’en voulais à Dieu. Mais je n’avais aucune réponse parce que je posais les mauvaises questions. Tu dois te poser les bonnes questions.
- Comme quoi ?
- Est-ce que ce que tu as fais t’a donné une vie meilleure ?
- Non.

5.45 (1 vote)

Écrase moi ce joint, c’est pour les nègres !

5 (2 votes)

Je ne vais pas te dire ce que tu dois faire, mais je veux que tu comprennes.

5 (0 vote)

Ricky, le jeune gamin avec qui je bosse, n’était pas fichu de se rappeler si on avait commandé des stylo bleu ou des stylo noir. Mais Ricky était un dieu pendant dix minutes quand il filait une trempe au serveur de la pizzeria du coin.
Parfois tout ce qu’on entendait par dessus les cris, c’était les chocs violents de la chaire sur le sol, ou des gargouillis quand un combattant reprenais son souffle et crachait du sang.

5 (0 vote)

Je plaignais sincèrement les garçon qui s’entassaient dans les salles de gym pour essayer de ressembler à ce que Calvin Klein et Tommy Hilfiger leur disaient d’être.

5 (0 vote)

Mesdames et Messieurs les jurés, beaucoup de choses ont été dites ici aujourd’hui, il serait inutile… que je répète ce que vous avez déjà entendu. Mais que je le répète ou non, vous allez devoir prendre une décision. Et il est une chose sur laquelle je me dois d’insister avec force avant que vous vous retiriez.

Loin de moi l’idée de vous convaincre d’aimer ce que fait Larry FLynt, d’ailleurs moi-même je n’aime pas ce qu’il fait. Mais il y a une chose que j’aime, c’est que je vis dans un pays où tous les citoyens peuvent décider par eux-même. J’aime vivre dans un pays ou j’ai le droit de prendre n’importe quel magazine, Hustler en l’occurrence, et de le lire, ou alors de le jeter à la poubelle si j’estime que c’est ça place, ou mieux encore si telle est mon opinion de ne pas l’acheter.

J’aime qu’on me reconnaisse ce droit et j’y tiens beaucoup. Vous aussi devriez y tenir beaucoup, je vous assure. Parce que nous vivons dans un pays libre. Cette phrase on l’entend tous les jours mais on a tendance à oublier son véritable sens, alors je le redis : oui nous vivons dans un pays libre. C’est une idée féconde, c’est… c’est un magnifique mode de vie. Mais cette liberté a un prix, à l’occasion il faut tolérer des choses qui ne sont pas forcément de notre goût.

En vous retirant pour délibérer, songez que vous êtes entièrement libre de penser ce que vous voudrez de Larry Flynt et d’Hustler, mais demandez-vous si vous pouvez décider à notre place. Parce que notre liberté à nous tous qui assistons à cette audience sera vraiment entre vos mains à vous les jurés.

Si nous commençons à élever des murs contre les choses que certaines personnes jugent obscènes nous pourrions bien nous réveiller un beau matin et découvrir qu’on a élevé des murs un peu partout, dans les endroits les plus inattendus, et que nous ne pouvons plus rien voir, plus rien faire.

Ce n’est pas ça la liberté. Ça n’est pas la liberté. Prenez-garde, pensez-y bien. Je vous remercie.

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