Acteur / Actrice - Johnny Depp

- Vogue sur l’océan pour l’éternité !
- J’aime l’océan !
- Tu as toujours aimé l’eau.
- J’préfère le rhum, le rhum c’est bon !

- Je suis Veruca Salt ! Ravie de vous connaître !
- J’ai toujours cru qu’une Veruca était une sorte de verrue qu’on a à la plante des pieds ! Hahaha !

J’organise une magnifique réception et vous n’êtes pas invités.

Garons nous chers amis, d’oublier nos chers amis les calamars. Sublime petite saucisse volante. Mettez les ensemble, ils se dévoreront aussitôt les uns les autres. C’est la nature humaine… ou poissonnière.

- Hold me.
- I can’t.

Un cœur qui a cessé de battre peut-il encore se briser ?

Oh, à propos, est-ce que vous saviez, que le chocolat a la propriété de déclencher la libération d’endorphine ? Ça vous donne la sensation d’être amoureux !

- Eh vous là ! Une minute ! Ca coûte 1 shilling d’amarrer son bateau à quai ! Et… j’aurais besoin de votre nom.
- Que diriez-vous de trois shillings, et on oublie le nom ?
- Bienvenue à Port Royal monsieur Smith !

William j’aimerais savoir : es-tu venu parce que tu voulais mon aide pour sauver une dangereuse demoiselle ? Ou plutôt une demoiselle en danger ? Comme tu veux.

Au bout du compte, est-ce que ça valait la peine ? Bon dieu comme ma vie a changé de manière irréversible. C’est le dernier jour d’été et moi je resterai à jamais dans le froid. Je reconnais que j’ai eu plus que ma part de moment intense. La plupart des gens n’ont pas la vie dont ils rêvaient. Moi, durant la mienne, j’ai éparpillé mon cœur par-ci, par-là, et il ne m’en reste pas assez pour vivre maintenant. Mais je m’efforce de sourire car je sais que mon ambition a de loin dépassé mes talents. Il n’y a plus de chevaux blancs, ni de jolies femmes devant ma porte.

- Elisabeth ?
[Jack se tourne vers Gibbs]
- Cache le Rhum.

- Un jour, vous agirez avec honneur…
- Je les adore ces moments là ! Je les salut de la main quand je les vois passer !

Je n’ai de sympathie pour aucun de vous, bande d’asticots, ni même la patience de prétendre le contraire.

- Vous êtes sans nul doute le pirate, le plus pitoyable dont on m’ait parlé.
- Au moins, on vous a parlé de moi.

- Avez vous la force morale d’obéir aux ordres et de rester stoïque face au danger et à une mort certaine ? Monsieur Cotton, répondez moi !
- Oh, il est muet monsieur, ce pauvre diable a eu la langue coupée et il a appris au perroquet à parler à sa place…
- Perroquet de monsieur Cotton, même question.

Une crème fouettée n’est pas une crème fouettée tant qu’elle n’est pas fouettée avec un fouet, tout le monde sait ça.

Mes chéries, veuillez fermer votre caquet. Écoutez-moi. Oui je t’ai menti. Non tu n’es pas mon genre. Bien sûr que cette robe te boudine. Je suis jamais allé à Bruxelles. Ça se prononce « irrévérencieux ». Figure toi que non, j’ai jamais rencontré Pizarro mais j’aime ses pizzas. Et tout cela n’a pas la moindre importance à côté du fait que mon navire s’est envolé une fois de plus. Compris ?

Le chewing-gum c’est très vulgaire, le chewing-gum ça m’exaspère.

Mais il me semble que comme j’ai un navire et pas vous, c’est vous qui avez besoin que je vous sauve, et je ne sais pas si j’y suis vraiment disposé.

Peg Boggs : Bonjour Edward ! Je suis désolé nous avons commencé sans toi, tiens.
Bill Boggs : Alors Edward, as-tu bien employé ta journée ?
Edward : Mme Monroe a voulu me montrer l’endroit de son salon de beauté, il y aura un rayon cosmétique pour vous.
Peg Boggs : Oh ! Bill n’est-ce pas extraordinaire !!
Bill Boggs : Génial !
Edward : Et ensuite elle m’a emmené dans le débarras et elle a enlevé tout ses vêtements…