Bruce Harper : Il a peut-être changé d’avis ! Il a peur de se faire battre et se ridiculiser par Olivier ha, ha, ha, ha, ha ! Thomas Price : Très drôle Bruce ! Bruce Harper : Eh mais c’est Thomas Price ! Thomas Price : Salut Olivier Atton comme je te l’ai déjà dit : le plus important dans ce match n’est pas le résultat mais de savoir si tu es capable de me marquer un but. Olivier Atton : Eh bien moi ça ne me suffit pas. Ce que je veux c’est gagner ce match et ce tournoi.
Jack Morris : Il faut toujours qu’il nous fasse son cirque celui-là. Mark Landers : Tu vois Atton pour l’instant, on a deux buts d’avance et bientôt, on en aura trois et puis, quatre et ensuite, cinq. Cette fois-ci vous êtes fichus et vous êtes complètement à notre merci, je sais très bien que tu n’es pas en bonne condition physique mais je n’en tiens pas compte car je ne m’en sens pas responsable et tant mieux si vous vous faites battre avec un score gigantesque, ça ne fera que renforcer la réputation de notre équipe. C’est à moi tu entends, c’est à mon tour d’être célèbre à ta place Olivier Atton. Olivier Atton : C’est ce qu’on verra ! Danny Mellow : Vive notre Capitaine, à nous la victoire, on va gagner ! Jeff Turner : Mark est redevenu comme avant, un Tigre au cœur de glace invincible qui ne pense qu’à une seule chose : gagner.
Thomas Price : Dépêchez-vous de marquer, je veux 50 buts à la fin du match. Bruce Harper : Quoi ? Olivier Atton : 50 buts !
Mark Landers : Tu n’as toujours pas compris Danny ! Danny Mellow : Je n’ai jamais souhaité autant ta présence ! Mark Landers : Mais change de tactique bon sang puisqu’ils te connaissent ! Olivier Atton : Pauvre Danny !
Philippe Calahan : Oui, La Muppet a dû préparer à fond ce match. Tôhô n’est pas un adversaire comme les autres mais Landers… Julian Ross : Landers est sur le banc de touche. Olivier Atton : Oui et je le comprends.
- Allez ! Continuez à attaquer ! Ce serait déshonorant de gagner par les tirs aux buts. - Le capitaine a raison. Avec moi dans les buts, nous sommes sûrs de gagner et ce ne serait pas flatteur pour une équipe comme la nôtre.
- Alors minus, tu es venu pour prendre la raclée du siècle ou tu espères encore ? - Cause toujours, tu m’intéresses beaucoup !
Danny Mellow : Regardez les gars c’est notre capitaine ! Ed Warner : Mark, tu es revenu ? Makoto Kitazume : Je ne vous ai pas dit de vous arrêter. Reprenez immédiatement l’entraînement ! Mark Landers : Ce qui compte pour l’instant c’est que la Tôhô gagne jusqu’en finale et que d’ici là, l’entraîneur ait changé d’avis.
Je l’arrêterai celui-là, je ne plus voir ce ballon dans mes buts, je ne dois pas perdre vis-à-vis de la promesse que j’ai faite à mon père.
Mais qu’est-ce que tu fabriques Bruce ? Tu as raté un but tout fait. Tu es vraiment une chèvre, un bon à rien.
Bruce Harper : « Empereur » ? Ça doit signifier qu’il est sûrement très fort. Thomas Price : C’est sûr, c’est le numéro un du football allemand. Olivier Atton : Pourquoi numéro un ? Tu le connais ? Thomas Price : Bien sûr que je le connais, il possède toutes les qualités de jeu, il est capable de faire la différence à lui tout seul. Pour vous faire une idée précise, il aurait à la fois les talents combinés d’Olivier et de Mark. Mark Landers : C’est pas possible, tu nous le décris comme un phénomène. Philippe Calahan : Ça va être drôlement dur de jouer contre ce gars-la !
Bruce Harper : Maintenant que je sais contre qui on va jouer, je crois que je vais rester sagement assis sur le banc de touche comme remplaçant. Olivier Atton : Ne t’inquiète donc pas Bruce, on est invités au bal et il va falloir qu’on danse tous. Ben Becker : Exactement et n’oublie pas que tu représentes notre pays dans ce tournoi et on va leur montrer qu’on n’est pas là pour faire de la figuration. Bruce Harper : Oui mais j’ai peur. Mark Landers : Je dois battre ce Karl-Heinz Schneider.
C’est clair, Landers cherche à me démolir mais je jouerai cette finale jusqu’au bout coûte que coûte.
Si je gagne cette finale, je pourrai réaliser deux grands rêves : retrouver Roberto au Brésil et devenir un grand joueur professionnel.
En faisant ce dégagement, je viens encore de déguster mais j’ai la même volonté qu’Olivier et je lutterai jusqu’au bout.
- Bravo Ed, tu as sauvé l’équipe. - Les tirs d’Olivier Atton je les arrêterai de la même façon, sans efforts.
Ça alors, il est très astucieux ce petit gars, il a attendu tout ce temps que l’occasion pour lui se présente, il n’y a plus que moi pour sauver la situation.
- Olivier, j’ai un mauvais pressentiment en ce qui concerne Thomas, j’ai l’impression que son dernier arrêt a réveillé sa douleur à la jambe. - Ce serait une catastrophe.
- Au cas où Thomas ne pourrait plus assurer notre défense, ce sera à nous de le remplacer. - D’accord mais li faut marquer un deuxième but pour être tranquilles.
Olivier Atton : Il l’a eu, pourtant j’étais sûr qu’il allait rentrer. Thomas Price : J’aurais dû le rattraper celui-là. Ben Becker : Quel super tir dis donc.