Acteur / Actrice - Henry Djanik

Je sais qu’au plus profond de toi-même tu dois détester toute forme de violence, que tu répugnes à faire souffrir les autres comme tu le fais, et le problème est que tu refuses d’accepter cette idée.

- Tu es comme ton frère, vous croyez tous deux en l’honneur et à l’amitié. Vous êtes prêts à tout pour sauver celle à qui vous avez juré fidélité ?
- Oui et j’en suis fier !
- Comme c’est pathétique !
- Crois-tu ? C’est ce que je pensais moi aussi il n’y a pas si longtemps.
- Comment ?
- Oui, comme toi je maudissais mon destin. Je haïssais tout le monde même les dieux. Mais j’ai fait la connaissance de Seiya et de ses amis et ma vie a radicalement changé. J’ai compris que la haine ne me mènerait à rien, que la solitude était un poison qui ne pouvait qu’étouffer mes sentiments envers les autres. J’ai découvert que l’amitié peut changer le monde.
- Ah tu te prépares à d’amères désillusions si tu crois à des sentiments aussi ridicules !

Shun, tu n’as pas changé ! Tu pleures toujours autant ! J’en ai assez de te voir toujours pleurnicher ! Tu seras le premier Chevalier à mourir ! Prépare-toi à rencontrer la mort espèce de lâche !

Seiya, je ne te laisserai pas l’armure ! Elle est à moi car je suis Grec.

Et si je commençais par te tordre l’oreille. Mon oreille, tu m’as tranché mon oreille. Tu vas me le payer très cher ! Ça, je te le garantis !

- C’est incroyable, il semblerait qu’il ne soit pas aussi vulnérable qu’on ne le pensait. Marine, je dois t’avouer que je m’attendais à trouver un adversaire très différent.
- Non, c’est impossible, comment Seiya parvient à me vaincre ?

- Cassios, tu ne peux pas me battre !
- Tais-toi, si j’aperçois le Cosmos à travers ton corps, je te donnerai l’armure sacrée !

- Moi, Tatsumi, troisème dan de Kendo, suis prêt à vous accompagner dans votre voyage Mademoiselle !
- Tu crois vraiment pouvoir vaincre les Chevaliers d’Or et le Grand Pope avec ta canne en bambou ?

- Incroyable, je pensais vraiment que pendant quinze longues années, j’étais la petite fille du grand sage Mitsumasa Kido et j’apprends maintenant que j’étais seulement adoptée. Il était pourtant si gentil avec moi. [Elle pleure]
- Il vous aimait comme si vous étiez son enfant, souvenez-vous il vous appelait même mon petit cadeau divin.

Je n’ai que faire des paroles de ce Shun. Je tiens à me recueillir chez celui qui fut et sera toujours mon maître !

Que de ruines ! Oh, mon maître !

Je vous avertis, je ne vous laisserai jamais toucher à un seul cheveu de ma Princesse, je la défendrai jusqu’à la mort s’il le faut.

Chevalier Aïolos, je t’en conjure, protège Athéna et veille sur Seiya et ses compagnons par delà ta tombe !

Oui, c’est vrai, même après la mort, le Chevalier Aïolos est d’une fidélité incroyable et veille sur elle.

Je ne peux pas, je ne peux pas rester là sans rien faire. J’ai décidé d’aller aider Seiya et Shun dans la douzième maison.

- Crois-tu vraiment pouvoir me vaincre alors que tu titubes encore ?
- Tu ferais mieux de te taire ! Prépare-toi plutôt à recevoir mon coup fatal ! Par le pouvoir des Météores. Je suis encore trop faible, les forces me manquent mais j’étais trop présomptueux de pouvoir vaincre Phoenix, le plus fort de tous nos ennemis ?
- Ha, ha, ha ! Tu es revenu pour rien parmi nous car ta dernière heure est arrivée.

Par l’Illusion de Phénix !

Les Chevaliers de Bronze sont morts à présent, la rébellion est terminée, j’ai gagné la bataille du Sanctuaire j’ai vaincu Athéna ha ha ha ha ha !

- Vous avez combattu chacun neuf guerriers et vous avez vaincu chaque fois. L’heure est venue pour vous de combattre l’un contre l’autre. J’offrirai au vainqueur, l’armure sacrée de Pégase, la preuve qu’il est digne d’être un Chevalier d’Athéna.
- Voici enfin l’armure de Pégase, je suis venu en Grèce pour cette armure !

- Athéna a reconnu Seiya comme un de ses Chevaliers, je vais donc te remettre l’armure sacrée.
- J’ai réussi, j’ai enfin eu l’armure.
- Je dois te mettre en garde, Seiya : depuis les temps mythologiques, les Chevaliers ont toujours défendu le droit et la justice. L’armure ne doit être portée que pour défendre la justice et ne jamais être utilisée à des fins personnelles.