Acteur / Actrice - Henry Djanik

- Tu ne réussiras pas à me vaincre aussi facilement Chevalier car je vais déchaîner contre toi mon attaque la plus terrible : la Colère du Dragon !
- Pour qui me prends-tu ? Tu ne pensais pas sérieusement qu’un Chevalier d’Or de ma trempe se laisserai avoir facilement avec une attaque aussi faible et non seulement j’évite tes coups mais je vais également retourner la décharge de ton cosmos contre toi, je t’écraserai comme un insecte.
- C’est incroyable, la Colère du Dragon n’a absolument eu aucun effet sur lui.

Sois maudit Aïolos ! Quand as-tu trouvé le temps d’écrire ce testament sur ce mur ? Je n’arrive pas à croire que ces rebelles soient parvenus à atteindre la dixième maison ! Nous devons les arrêter tout de suite sinon tout l’ordre de la Chevalerie sera bafoué par leur révolte honteuse ! Shura, Chevalier du Capricorne, je t’ordonne de tuer Seiya et ses compagnons par tous les moyens !

Athéna, mon cœur est rempli de joie et de larmes de te revoir parmi nous ! Les Chevaliers d’Or encore en vie seront honorés de te recevoir dans leur humble demeure !

- Dis-moi, depuis combien de temps suis tu mon entraînement dans la région des Cinq Montagnes ?
- Ça va bientôt faire cinq ans Maître !
- Cinq ans déjà ! C’est bien plus qu’il faut à un oisillon pour apprendre à voler.
- Mais je ne suis pas encore prêt ! Comment voulez-vous qu’un homme puisse réussir à inverser le courant d’une cascade. C’est impossible seul Dieu en serait capable !

- C’est incroyable ! Mais comment peut-il réussir un prodige pareil ? C’est insensé ! C’est comme s’il utilisait une épée aussi coupante qu’une lame de rasoir !
- Tu es sur la bonne voie Chevalier ! Tel est mon pouvoir ! Mon armure est la plus résistante d’entre celles des Douze Chevaliers du Zodiaque ! Mes deux bras et mes deux jambes sont capables d’asséner des terribles blessures mais mon arme la plus terrible est cette épée invisible capable de pourfendre tout ce que je veux, elle a pour nom Excalibur !
- Excalibur ! Maintenant je commence à comprendre pourquoi la statue d’Athéna était là !
- Et tu connais la raison pour laquelle je possède une telle arme, tu l’as dit toi-même tout à l’heure à tes compagnons, je suis le plus dévoué et le plus fidèle serviteur d’Athéna.
- C’est faux ! Comment peux-tu dire une chose pareille ?
- Parce que c’est la vérité ! C’est moi qui ai infligé la juste punition que méritait ce renégat d’Aïolos pour avoir osé lever la main sur la Déesse Athéna !

Mon fils, rien n’est impossible pour un Chevalier ! L’Armure du Dragon te revient de droit !

- Il s’agissait du fantôme d’une seule nuit. Seiya, je dois reconnaître que c’est toi qui est le vainqueur.
- Ikki !
- Désormais, je n’ai plus personne sous mes ordres mais toi
- Shiryû, Hyôga, Shun ! Ikki, Ikki, dis-moi ce qui s’est passé quand tu étais sur l’Île de la Mort ?
- Cette île, c’est l’Enfer sur Terre.
- L’Enfer sur Terre ?
- Décidemment je crains que tu ne comprennes jamais !
- Ikki !

Ikki : Je l’ai tué, j’ai tué mon maître ! Et dès lors d’un humain, je n’avais plus que l’apparence, Ikki était mort et seule la haine allait guider les pas du Chevalier Phénix et à présent la haine m’a quitté et j’ai tout perdu.
Seiya : C’est faux, tu as retrouvé ton frère et nous sommes là à tes côtés.
Hyôga : Tu es toujours le Chevalier Phénix et à défaut de haine, la notion du bien fera ta force.
Shun : Sois des nôtres !
Ikki : Rien ne pourra effacer le passé, nous sommes ennemis à tout jamais et nous devrons nous battre.

- Ikki, si tu as l’intention d’utiliser le Fantôme du Diable c’est inutile !
- Comment ça ?
- Tu l’as déjà dit toi-même : un stratagème qui a déjà été utilisé n’a plus d’effet sur les Chevaliers.
- Eh bien dans ce cas rien ne te sera plus facile que d’essayer d’empêcher de m’en servir.
- C’est bien ce que je compte faire, je ferai en sorte que le Fantôme du Diable combatte contre toi.
- Qu’il combatte contre moi ? Oh, oh, très intéressant ! J’en ai assez d’entendre écouter dire des imbécillités ! Repousse le Fantôme du Diable si tu t’en crois capable !

- Puisque le seul et unique Météore qui se trouve en ta possession n’a plus aucun effet contre moi, admets que tu as perdu ! - As-tu quelque chose à dire avant de mourir ? Dans ce cas, meurs !
- Comment ? Mais que se passe-t-il ?
- Pourquoi est-ce que le bouclier de Shiryû ? Non, non, non, Shiryû avait été vaincu alors comment se fait-il ? Est-ce que son bouclier serait venu jusqu’ici tout seul ? Mais non c’est impossible !
- Tu sais très bien que le bouclier de Shiryû est le plus fort du monde même toi Ikki tu serais incapable de détruire ce bouclier, tu le sais bien.
- Dans ce cas je ne tenterai pas de détruire le bouclier de Shiryû mais c’est ton âme que je vais détruire avec l’aide du Fantôme du Diable. Je ne comprends pas, pourquoi la chaîne de Shun aussi ?
- Je ne comprends pas non plus ! Mais alors, ça doit vouloir signifier qu’il n’y a pas que l’Armure d’Or qui souhaite que j’obtienne la victoire.
- Je ne comprends pas pourquoi. Ils ont tous repris leur place mais pourquoi ?
- J’ai le sentiment que les âmes de trois d’entre eux sont auprès de moi, je ne suis plus seul à mener ce combat parce que leur force et leur amitié vont m’aider à remporter la victoire, je vais les utiliser, j’ai des amis prêts à m’aider, tu n’as aucune chance de vaincre parce que tu as abandonné et méprisé l’amour, l’amitié et les larmes.
- Ne me fais pas rire ! Puisque tu as le sentiment d’avoir des alliés, je m’occuperai de vôtre âme à tous les quatre en même temps.
- Tu crois le pouvoir, tu es tout seul, tu ne le pourras pas !
- Tu vas voir de quelle force de caractère est capable un loup solitaire, toi tu n’es qu’un misérable qui a besoin d’aide. Je ne te laisserai pas t’échapper et en attendant que je possède l’Armure d’Or, le Phénix Volant. Et maintenant le coup final !
- A mon tour maintenant, regarde Ikki ! Voilà le meilleur Météore de Pégase !
- Imbécile combien de fois faudra-t-il te répéter pour que tu comprennes à quel point ton Météore est inutile ? Comment mais qu’est-ce que ça veut dire ? La Poussière de Diamant a fusionné avec le Météore de Pégase ? Tout ceci est impossible.

Mademoiselle, ne pensez-vous pas qu’il vaudrait mieux arrêter ce combat c’est inhumain ? Si jamais l’un des deux Chevaliers devait mourir ou même les deux, les journalistes se déchaîneraient contre la Fondation !

- C’est magnifique, la rose et moi mais c’est ridicule voilà ce que je suis en réalité. Je ne te pardonnerai jamais de m’avoir insulté de la sorte, je vais t’anéantir avec toutes mes roses blanches.
- Ne dis pas n’importe quoi ! Je ne supporte pas les roses !
- C’est ce qu’on va voir !
- Par les Flammes du Phénix !

- Il me semble que nous allons assister à la défaite de ce jeune effronté. Ne pensez-vous pas Mademoiselle ?
- Non, je connais bien la volonté du Chevalier Seiya, je sais qu’il se battra jusqu’au bout et qu’il n’abandonnera jamais.
- Hein ?

Mon frère, je ne te tuerai pas aujourd’hui ni toi ni les autres soi-disant chevaliers, j’ai décidé de vous épargner.

Chevalier du Dragon, tu ne dois pas mourir tu m’entends ? Ta mission n’est pas encore terminée.

- Tu me surprends, il te restait donc autant de force et tu es parvenu à bloquer mon attaque à mains nues alors que tu n’as plus d’Armure. Comment as-tu fait ?
- C’est une technique millénaire !
- Hein ?
- Au Japon, je suis né de grands maîtres en arts martiaux qui m’ont enseigné toutes leurs techniques et leur savoir n’ont plus aucun secret pour moi et c’est grâce à elles que je réussirai à détourner la lame d’Excalibur.

Tu ne pourras jamais voir le Chevalier d’Or, prétentieux ! Pas plus que les vers de terre ne peuvent voir les étoiles.

Le sherif de Nottingham : Laisse-moi jeter un coup d’œil à cette méchante cassure ! Ha, Ha, Ha, c’est bien joué, ils ne savent plus quoi inventer !
Corniaud : Ouille, ouille, ouille, ouille !
Le sherif de Nottingham : Ça fait très mal hein Corniaud mais le Prince Jean dit que les taxes c’est douloureux !
Frère Tuck : Sans cœur et sans entrave, infâme gredin, fils de Satan !
Le sherif de Nottingham : Allons, allons, allons, garde ton cerveau prêcheur, tu le diras le jour du Seigneur ! Lourdaud, je m’appelle Lourdaud mais je prends leur magot, roudoudou, doudou.

Corniaud : Soyez généreux avec moi Sherif vous savez une jambe cassée et j’ai pris un gros retard sur mon travail.
Le sherif de Nottingham : Je suis au courant mais tu as aussi un gros retard avec les taxes.
Frère Tuck : Ayez bon cœur Sherif, il a de sérieux soucis avec sa jambe allez viens Corniaud, viens t’asseoir mon fils.