Film - Street Fighter

- Guile, il est vivant !
- Évidemment ! Sa mort n’a servi qu’à se mettre ses deux espions dans ta botte et devinez qui c’est qui n’a rien vu, hein ? Cette fois-ci Colonel, tu vas mourir pour de vrai !

Oh, je l’ferai volontiers, mais y’a un pauvre con qui m’a retiré mon commandement.

- Donne ta main.
- Ça fait pas deux heures qu’on est là, tu peux pas t’branler seul ?
- Donne ta main, bouffon !

- C’est une blague ? Ces billets ne valent même pas leur pesant de papier toilette.
- Bien au contraire, Sagat ! Un dollar Bison sera échangé contre cinq Livres Sterling. Ce taux sera obligatoirement fixé par la Banque d’Angleterre une fois que la Reine Elizabeth sera mon otage.
- J’étais complètement taré de croire que je pourrais faire du business avec toi.

Balrog : Tiens, si ce n’est pas nos deux potes qui nous ont balancés. Qu’est-ce qu’ils racontent, je n’entends rien.
E. Honda : J’ai cru entendre « Vive Bison », c’est des fanatiques.
Ken : On est du même coté.
Balrog : Ça, c’est marrant, ils veulent aller à coté.
Ken : Ce que j’essayais de dire, c’est qu’on est du même coté.

Chun-Li : Bison, Sagat, vos instruments de mort vont aller directement jusqu’au septième ciel.
Balrog : Bon voyage !
E. Honda : Ciao !

- Pour le prochain combat, le challenger Ryû. Face à lui, le tenant du titre, mon champion, Vega. Paris minimums fixés à 100 dollars américains.
- Si c’est pas de l’amour ça !
- Vega est le plus grand Street Fighter du Monde.
- Il est devenu quoi lui ?
- Je me suis retiré pour bâtir un empire.
- Pourquoi m’obliger à regarder ?
- Pour vous instruire, vous passerez ensuite.

- Vega
- Où en étions-nous ?
- Tu perdais, je crois !

- Désolé mon petit gars, je n’ai plus envie de jouer avec toi !
- Reviens ici, lâche ! Dee Jay !

- Dee Jay, les Nations Alliées ont-elles versé les 20 milliards de dollars sur mon compte à ma banque suisse.
- Que dalle, Général !

- Dee Jay, pourquoi tu n’es pas en uniforme ?
- Mais réveille-toi, les ennemis de la paix et de la liberté sont à nos portes. C’est le Général Bison le méchant de l’histoire, c’est lui qui a tout manigancé.
- Attends, un peu, le Général Bison, c’est lui le méchant de l’histoire ?
- Ouais !
- Si tu le sais, pourquoi est-ce que tu travailles pour lui alors ?
- Parce qu’il m’a payé un salaire phénoménal pauvre cloche. Sauve ta peau pendant qu’il en est encore temps.
- Tu as été payé ?

- Colonel Guile, accepteriez-vous une interview à une simple journaliste ?
- Oui, seulement à une condition : c’est que vous portiez cette robe.

Guile : Les réfugiés qui arrivent ici par milliers ont de la chance. Les otages que Bison retiennent ne peuvent pas en dire autant.
Ken : Vous essayez de nous culpabiliser ?
Guile : Ou de vous réveiller si sa vous chante. Manille, Tokyo, Shanghai, Macao, Hong-Kong, Shadaloo. Vous en avez tellement fait et vous vous dites que finalement voler des voleurs c’est mieux que rien. Alors, est-ce que vous êtes pareils à Sagat et à Bison ou c’est moi qui ai raison et vous valez mieux ?
Ryû : On vaut mieux, est-ce qu’on peut partir ?
Guile : Vous pouvez partir, mais à une condition c’est qu’il faudra me passer sur le corps.

Bison : Tu refuses encore d’admettre ma divinité ? Prépare-toi à rencontrer ton misérable Dieu mais il est un peu tard pour le prier une dernière fois car moi j’ai vu Lucifer tomber du firmament comme un éclair dans le ciel. Haaah, Haaah !
Inconnu : Bison, je te scalpe !

Guile : Prenez vos passeports, vous les avez bien mérités !
Ken : Gardez les ! Il faut remettre tout un pays sur ses pattes. Y a du boulot pour deux petits arnaqueurs.
Guile : Vous n’avez jamais songé à vous engager ?
Ken et Ryû : Oh, non, non, non !

C’est l’huissier salopard venu te botter le cul à crédit et je viens te le rendre.

La défaite est donc envisageable Dee Jay. Bien, nous allons l’affronter avec le stoïcisme et toute la fougue du vrai guerrier.

Montre-toi donc Monsieur le Grand Méchant Loup et fais-nous voir ta belle pureté au combat à mains nues !

Contemplez le visage de votre extermination et de ma victoire ! Élevez l’incubateur !

- De soldat à soldat Guile, quelle impolitesse !
- Un soldat, toi ? Combien d’infirmières et de médecins as-tu massacré ces dernières semaines ? Combien d’enfants en as-tu fait des orphelins ?
- Tu ravaleras ces paroles, Guile !