Film - Street Fighter

Bas les pattes, connard !

Tu as osé me traiter de gros con toi ?

- Si tu allais t’allonger d’abord ! Prends-toi un bain aussi ! Oh mon Dieu, qu’est-ce qu’il t’a fait ? Et t’arrives à pas hurler ?
- Je suis Sumo, p’tit gars ! Mon corps est peut-être quelque part et mon esprit ailleurs.

- Ça craint si on est du côté des gentils !
- En ce moment, j’ai des doutes.

- Tu as eu le temps de voir la carte sur le vidéogramme ?
- Je n’ai vu que la partie droite !
- C’est cool, je n’ai vu que celle de gauche !

Le monde entier vous tient en piète estime mes chers hôtes, vous ne valez même pas les quelques miettes que j’avais demandées, vous ne méritez pas qu’on organise une opération de sauvetage digne de ce nom. Vos maîtres m’ont qualifié de fou furieux, d’animal sauvage, de bête, ainsi soit-il. Vous ne méritez pas les honneurs martiaux du peloton d’exécution non, vous serez dépecés, dévorés vivants par une bête sauvage, un pur produit de la création, de l’imagination du génie. Élevez l’incubateur immédiatement !

Le temple qui nous abrite était l’une des merveilles du monde asiatique, la Bisonopole sera la merveille de mon monde mais je voyais le pavillon de restauration beaucoup plus étendu, toutes les grosses sociétés voudront leur part du gâteau.

Général, c’est bizarre, il se passe des choses très suspectes sur le fleuve.

Ryû : Je vous connais, vous êtes E. Honda le Sumo de Hawaï, vous avez failli passer Yokozuna !
E. Honda : C’était avant que le « Shadaloo Tong » n’entache ma réputation.
Balrog : Ils ont fait pareil avec moi, j’ai été obligé de raccrocher les gants !
Ken : Laissez-moi deviner ! Patinage artistique ?
Chun-Li : Sachez une seule chose : c’est que toutes les armes que Bison et Sagat s’échangent, vous les expédierez droit en enfer. Vous avez dix minutes, dépêchez-vous ! Le rideau va se lever !

- Ce conciliabule est terminé !
- Tu mourras pour cette insulte Sagat !

Si tout doit sauter dans dix minutes, ça ne pourrait pas être pire ? Erreur, c’est pire !

Bison : Salutations, Guile !
Guile : Ça y’est ! Il a mordu !
Bison : De soldat à soldat, quel manque de respect Colonel !
Guile : Un soldat, toi ? Combien d’infirmières et de docteurs t’as massacré cette semaine ? T’en as fait combien des orphelins ?
Bison : Tu ravaleras ces paroles, Guile !
Guile : Quand tu veux pauvre con et en couverture mondiale !
Dee Jay : Général, ils ont un traceur !
Bison : Tu te crois tellement malin alors réfléchis-bien. Tu sais compter jusqu’à trois ? Si je n’ai pas reçu mes 20 milliards de dollars avant trois jours, les otages seront exécutés et tu en porteras la responsabilité aux yeux du monde, victoire à Bison !
Guile : Les otages, si vous m’entendez, tenez bon, on arrive ! Charlie, accroche-toi, ne te laisse pas faire tu m’entends ?! Charlie, Charlie !
Dee Jay : Carlos Blanka ! Charlie, tu es donc son ami ! Qu’on l’emmène au laboratoire !

- Dee Jay, pourquoi tu n’es pas en uniforme ? Les ennemis de la paix et de la liberté sont à nos portes.
- Tu as disjoncté ou tu le fais exprès ? C’est notre patron qui est l’ennemi de la paix et de la liberté, tous ces gens qui se battent là-dehors sont venus ici pour arrêter le massacre, sauve ta peau pendant qu’il en est encore temps.
- Attends un peu, le Général Bison c’est lui le méchant de l’histoire ? Si tu le sais, pourquoi est-ce que tu travailles pour lui alors ?
- Parce qu’il m’a payé un salaire phénoménal pauvre cloche.
- Tu as été payé ?

La vache, des fois, il y a des matins où j’oublie d’être con. Oh merde, pourquoi je ne suis pas resté chez Microsoft ?

- On est deux à n’attendre que ça. J’ai raison hein Bison ?! Tu vas me montrer ce que tu as dans ton calbute.
- J’écraserai quiconque s’oppose à moi comme un cancrelats.

Chun-Li : Bison, Sagat, vos instruments de mort vont monter jusqu’au septième ciel.
Balrog : Et bon voyage !
Zangief : Vite, changez de chaîne !
Bison : Évacuez le camp tout de suite, tout le monde dehors ! Fouillez l’installation, trouvez Chun-Li.

- Si je ne donnais pas d’interviews de mon vivant, j’en donne encore moins après ma mort.
- Bien sûr, les deux hommes qui se sont évadés ce matin et qui vous ont tiré dessus, ils travaillent en fait pour vous n’est-ce pas.
- C’est la journaliste qui me le demande ou c’est quelqu’un d’autre ? Sergent, mettez Mademoiselle aux arrêts.
- Non, attendez, attendez ! C’est vrai, je ne suis pas ici en qualité de simple journaliste, ce n’est pas un reportage sur Bison que je veux, je veux sa tête. Croyez-le ou pas mais j’ai mis vingt ans avant d’en arriver là, comprenez-moi, je suis toute prête du but alors ne m’enfermez pas dans une cellule.
- Je ne comprends que trop mais c’est une guerre, ce n’est pas votre vendetta privée, emmenez-la !
- Non, je le savais que vous ne comprendriez pas.
- Ce serait plutôt la mienne.

Zangief : Ken, Ryû, avec moi, je m’occupe de vous, c’est par ici !
Ken : C’est con, vous allez vous déshydrater ! Ça craint, ils sont du côté des gentils et nous aussi.
Ryû : En ce moment, j’ai des doutes.

Cammy : Il nous a blousés, il a coupé le signal avant la localisation.
Guile : Une fois n’est pas coutume, vous avez bien failli nous être utile.
Chun-Li : Il n’aime pas les femmes ou quoi ?
Cammy : Au contraire, ce sont les journalistes qu’il déteste, sans aucune discrimination, aucune, je vous rassure tout de suite.

- Oui, je vais t’aider et ensuite, je lui ferai payer.
- Non, vous n’avez pas le droit.