Kaakook

Top - Citations de films des années 1970

- Demande-lui de te réembaucher, il te dira voui, demande-lui de t’augmenter, il te dira voui !
- De me doubler ?
- Il te dira voui !
- De me tripler ?
- … Il te dira non.

#61
8.41 (59 votes)

J’aime l’odeur du napalm le matin.


Mais qu’est ce que je vais devenir ? Je suis ministre, je ne sais rien faire !

#63
8.4 (40 votes)

Je brulerai en enfer pour te protéger…

#64 8.4 (96 votes)

Les règles ici c’est qu’il n’y en a aucune.

#65
8.4 (40 votes)

Vous avez de la pâte ? Vous avez du sucre ? Avec la pâte, vous faites une crêpe et vous mettez du sucre dessus !

#66 8.37 (162 votes)

La révolution ? La révolution ! C’est pas à toi, nom de dieu, de me parler de révolution. Je sais très bien comment ça éclate. C’est des gens qui savent lire dans les livres qui vont voir ceux qui savent pas lire dans les livres, les pauvres gens quoi. Et puis ces types-là leur disent : le moment est venu de changer tout ça ! Si, merde ! Je sais très bien de quoi je parle, cette putain de révolution, j’ai grandi dedans. Tu comprends, ceux qui savent lire dans les livres qui vont voir ceux qui ne savent pas lire dans les livres, les pauvres, et disent : ici, il faut du changement ! Et les pauvres bougres font le changement. Après ça, les plus malins de ceux qui savent lire s’assoient autour d’une table, et ils parlent et ils mangent, et ils mangent et ils parlent, et ils parlent et ils mangent ! Et pendant ce temps-là, qu’est-ce qu’ils font les pauvres bougres ? Ils sont morts ! C’est ça ta révolution ! Chut ! S’il-te-plait, ne me parle plus de révolution… Et qu’est-ce qui arrive quand c’est fini, pauvre con ? Rien ! Tout recommence, comme avant !

#67
8.36 (51 votes)

J’ai sauté, Oh mes frères, et j’me suis foutu par terre mais pas en l’air…

#68
8.36 (51 votes)

Reste groupir !

#69
8.35 (75 votes)

- Je ne vous met pas mon point sur la gueule, je pense que ce n’est pas nécessaire ?
- N…n…non.

#70 8.35 (105 votes)

Mr. Corleone never asks a second favor once he’s refused the first, understood?

#71 8.33 (44 votes)

May the force be with you.


- La révolution est comme une bicyclette : quand elle n’avance plus, elle tombe.
- Eddy Merckx !
- Non, Che Guevara.

#73
8.33 (92 votes)

- C’est de moi ou de mon collègue que vous vous foutez ?
- Ah, des deux ! Je me fous des deux !

#74
8.33 (56 votes)

- Mais t’en as pas marre qu’on s’intéresse à toi que pour ton fric ?
- Tu sais mon fric j’me suis donné du mal pour le gagner. Moi ce que j’trouve humiliant, c’est d’être aimé pour ce qu’on est, quand on est beau ou intelligent… on n’a pas de mérite ; on n’y est pour rien ; tandis que mon fric j’me l’suis gagné tout seul, parce que j’l’ai décidé !
- Tu veux que j’te dise François, des fois t’es un vrai philosophe !

#75
8.33 (26 votes)

- Hum, hum… Votre Grâce ?
- Quoi, Uxbridge ?
- Comme j’assumerai le commandement au cas où quelque chose arriverait à Votre Grâce, quels sont vos plans ?
- Battre les Français.

#76
8.33 (20 votes)

Écoute, sois bien sage et je ne te mangerai pas en entier, c’est promis !

#77
8.33 (20 votes)

Où est Grouchy ? J’ai besoin de ses hommes ! Où est Grouchy ? Pourquoi est-ce que je dois tout faire moi-même ?

#78
8.33 (20 votes)

Peut-être que le peuple me laissera partir comme il l’a laissé venir.

#79
8.33 (20 votes)

I love the smell of napalm in the morning.


Haut de page