Top - Citations de films des années 1980

Tu veux nous faire massacrer ? Tu veux nous faire massacrer !

C’est vrai que j’aime ces moments où nos deux corps ont faim l’un de l’autre et à qui nous disons « Patience ! » Plus nous retarderons l’inéluctable, meilleur sera l’instant. Et pourquoi l’inéluctable ? Peut-être repartiras-tu d’ici sans que je te touche ? [Plus bas] Hum, hum, ça m’étonnerait !

C’est bien l’pognon, hein !

- À la santé des polyvalents !
- Oh non, oh ! Nous ne disons pas les polyvalents, nous disons inspecteur.
- Ah bon ?
- Ah, eh, nous disons monsieur l’inspecteur !

Faut m’les noyer, docteur. Vous trouvez que ça ressemble à des malinois, vous ? Pas question d’ça chez moi.

Une femme en plus, humn hum, c’est les pires ! T’as vu quand t’as parlé d’supprimer les chiens, elle a pas bronché, un vrai SS ! Vrrr, ça m’fait froid dans l’dos !

C’était pas la peine de me sauver la vie en Algérie !

Barbara, repasse-moi mon costume bleu !

Eh ! Eh ! Dis donc, voyou, tu veux un coup de main ? Alors quoi, tu vas balancer toutes les chaises ? Tu peux pas aller faire tes conneries autre part ?

- Qu’est-ce que t’as voulu prouver ? J’aurais pu me faire un infarctus, moi.
- Oh mais j’comprends pas, ça t’as pas fait rire ?
- Pas du tout.
- C’est pourtant typiquement ton genre d’humour. Le désinvolte docteur Lestrade… J’suis désolée si j’t’ai fait peur. Tu vieillis, mon pauvre Gigi…

- Mademoiselle prendra du foie gras sans doute ? Tu sais avec qui tu dînes ? Je ne sers pas mademoiselle.
- Oh, écoute, Gino, moi aussi, elle me contrôle.
- Vous pouvez être fier. Jean-Luc est parti.
- Bah oui, et alors, qui c’est Jean-Luc ?
- Mon cuisinier.
- Ah oui, bah t’en trouveras un autre, écoute !
- Un cuisinier peut-être…

J’arrive à l’instant de l’enterrement de mon fils. Son corps était en bouillie. Tu parles de chagrin, de désespoir, de douleur. Tu ne sais pas ce que ces mots veulent dire. Mon enfant a été massacré, taillé en morceaux. Mon enfant a été taillé en morceaux ! Et vous avez l’audace de dire à ces gens qu’on ne fait pas sa propre justice. Vous avez l’audace de leur dire ça en face. Montez tout de suite au sommet de la colline, shérif Heller, déterrez vous-même ce qui reste de mon fils Brady et expliquez-leur qu’on ne fait pas sa propre justice. Faites-le si vous en avez le courage ! Pour ce qui est de moi, je vais partir en chasse et faire tout seul ce que j’appelle ma propre justice.

J’adore les chats, et je déteste tous les minables qui les détestent.

- Oh, merde à la fin, à quoi ça rime tout ça ?
- Mon client aimerait savoir à quoi ça rime tout ça ?

Vous savez faire que l’mal, vous !

- Ce chien, c’est le destin qui nous l’envoie !
- Tu sais c’que tu m’demandes ? C’est un truc à m’faire rayer du conseil de l’ordre !
- Et c’est le conseil de l’ordre qui va payer cent trente bâtons ?
- M’enfin…
- Je sais c’que tu ressens mais c’est la guerre, mon grand, et c’est pas nous qui l’avons déclarée !

Tiens, assez de vos deux putains là, hein, j’ai bien dit vos deux putains !

- Ça vous dérangerait de ramasser ma serviette ?
- J’vois rien.
- Cherchez mieux. Cherchez bien.
- [Il voit la serviette entre les cuisses d’Odile] Mais elle est pas tombée.
- Faites comme si.
- … [Il n’ose pas la prendre vraiment]
- Venez la prendre plus doucement.
- Mais vous êtes folle…
- La serviette, Lume !
- Oui. [Il s’empare enfin de la serviette]
- Vous avez remarqué ?
- Quoi ?
- J’n’en porte pas. J’n’en porte plus d’ailleurs, surtout par ce temps…

Te crois pas forcé d’traiter avec moi. La réduction d’peine, t’es au-dessus d’ça. T’es le genre à payer jusqu’au bout pendant que Sheppard se marre dans son fauteuil. J’te tire mon chapeau, t’es vraiment un crack !

Il ne nous manquait plus qu’ça, un héros !