Top - Citations de films des années 1980

Les putes sont des femmes qui vous donnent beaucoup de choses pour relativement peu d’argent.

Elle est pas gênée celle là ! Elle a balancé sa moumoute dans les huitres !

À plus tard… beaucoup plus tard !

un, deux, Freddy te couperas en deux,
trois, quatre, remonte chez toi quatre à quatre,
cinq, six, n’oublie pas ton crucifix,
sept, huit, surtout ne dors pas la nuit,
neuf, dix, il est caché sous ton lit.

- Je ne voudrais pas abuser, mais avez-vous six doigts à la main droite ?
- Vous commencez toujours vos conversations comme ça ?

Tu sais qu’j’taime bien, tu viens chez moi quand tu veux et tu baises ma frangine.

- Phillip ! Je sais où tu te caches, viens ici que je te bute enculé !
- Ta gueule, viens ici sale enculé !
- Salaud !

Dear Mr. Vernon, we accept the fact that we had to sacrifice a whole Saturday in detention for whatever it was we did wrong. But we think you’re crazy to make an essay telling you who we think we are. You see us as you want to see us… In the simplest terms, in the most convenient definitions. But what we found out is that each one of us is a brain… And an athlete… And a basket case… A princess… And a criminal… Does that answer your question ?… Sincerely yours, the Breakfast Club.

Subotaï : Hé vieil homme, où as-tu trouvé tout ça ?
L’enchanteur : Sur les morts. Les Dieux approuvent ce que tu fais. Ils vont regarder la bataille.
Conan : Et tes Dieux, ils vont m’aider ?
L’enchanteur : Non.
Conan : Alors dis-leur de rester à l’écart !

Mais je vous rappelle quand même une chose : foutez la merde rien que d’un poil, et je vous affecte sur un avion de fret pour nous ramener des merdes de chiens made in Hong-Kong.

Dites à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n’en sortirons que par la force des baïonnettes !

N’obéissez jamais !

Par crainte du retour des tyrans, ils sont devenus tyrans !

Tout c’que j’veux, c’est étudier !

Ils ont tué mes animaux !

- Nous sommes en train d’étrangler la liberté dans son berceau, Maxime.
- Si nous faiblissons maintenant, tout ce que nous avons construit s’effondrera comme un château de cartes.
- Peut-être que nous n’avons rien construit ? C’est juste un rêve. Ça te fait peur, hein ?

- Citoyen.
- Dites-moi ce que je dois faire, monsieur.
- Il faut enlever votre redingote et votre cravate.

Nos ennemis sont à l’intérieur de la France, nos amis à l’extérieur.

On vend du papier-toilette au coin du métro Pushkine, du doux hein, c’est un peu loin mais il y en a deux camions !

- Est-ce que je te reverrai ensuite ?
- Quoi ? Mais enfin, on se connaît depuis six ans !
- Je sais, mais le sexe, ça change tout. Je me souviens que j’avais un copain, un très très chouette. Un jour on a couché ensemble. Résultat, il prend la fuite chaque fois qu’il me voit comme si je lui avais prêté du fric.