Top - Citations de films des années 1980

- La vérité, c’est que Dieu me déteste.
- Hé ben, fais comme moi. Rends-lui la monnaie.

- Police ! Ouvrez !
- Comment je sais que je vous êtes de la police ?
- Quand je vous aurai flingué à travers la porte, vous pourrez faire examiner les balles.

Si en vacances je ne rencontre personne, je ne rencontrerai jamais personne !

- Vous mettez jamais de trempe à votre femme vous ?
- Si, mais pas à coup de fer à souder…
- Mais… c’est parce-que vous êtes pas bricoleur.

C’est fin, c’est très fin, ça se mange sans faim.

Ne jurez pas Marie-Thérèse, ne jurez pas.

We read and write poetry because we are members of the human race.

Ô vierge, ne perd point l’espoir,
Cueille dès maintenant les fleurs de la vie,
Car la mort est si pressée,
Que le frêle bouton qui s’ouvre aujourd’hui,
Aura bientôt trépassé.

- Ne me tue pas Tony.
- Ok. Mano tue le.

Je ne vous jette pas la pierre, Pierre, mais j’étais à deux doigts de m’agacer.

- Je suis désolé Thérèse, je ne sais pas ce qui m’a pris… C’est une catastrophe.
- Ce n’est rien Pierre, je n’ai rien senti…

- Ils sont derrière nous !
- T’es sûre ?
- J’te l’dis ! J’crois qu’ils veulent nous rattraper… Ralentis sans en avoir l’air… Ralentis j’te dis !
- Si j’ralentis d’avantage j’m’arrète !

Mr Vernon, nous acceptons d’avoir sacrifié tout un samedi en retenue parce que vous pensez que nous avons fait un truc mal. C’est vrai c’était mal, mais nous trouvons absurde le sujet de dissertation que vous nous avez donner, « qui penser vous être ? » qu’est-ce que ça peut vous faire. Vous nous voyez comme vous voulez bien nous voir parce que c’est plus simple et parce que ça vous arrange, vous nous définissez comme, un surdoué, un athlète, une détraquée, une fille à papa et un délinquant, vrai ou faux ? Et c’est ainsi que chacun de nous voyait les 4 autres encore à 7 heure. l’intox avait marché à fond.
Nous vous avons trouvé une définition très simple, chacun de nous est à la fois un surdoué, et un athlète, et une fille à papa, et un délinquant. Ça vous va ?
Signé le Breakfast Club.

Say “hello” to my little friend!

Est-ce que c’est toi John Wayne ? Ou est-ce que c’est moi ?

- Allo ?
- C’est moi.
- Tu vas mieux ?
- Beaucoup mieux, j’me suis tiré de l’hôpital.
- Et ton nez ? et ton traumatisme ?
- C’est toi mon traumatisme. Vic, faut que j’te vois…
- Tu t’es tiré pour me voir ?
- Pénélope m’a donné les fleurs, depuis avant hier j’t’appelle, j’deviens fou…

- C’est quoi ça ?
- Quoi ?
- Ce tacot, cette tire miteuse… Où est la Cadillac ? La CADILLAC où c’est qu’elle est ?
- Quoi ?
- La Cadillac, la bagnole qu’on avait avant, celle des Blues Brothers !
- Je l’ai échangée
- T’as échangé la Cadillac contre ça ?
- Non, contre un microphone…
- Un microphone ? À la rigueur je comprends ça, mais alors cette chose !
- J’ai fait une affaire ; je l’ai eue à la vente annuelle des surplus de la Police il y a environ six mois, c’est une vieille voiture de ronde bien tranquille, et ils me l’ont laissée pour une bouchée de pain.
- Oh toi pour le tact tu repasseras ! … Le jour de ma sortie de prison, mon propre frère, vient me chercher dans une voiture de flics !
[Tuuuuuut tuuuuut tuuuuut le pont se lève]
- Elle te plait pas ?
- Elle me plait pas !
[Saut du pont]
- Elle est vache de reprise !
- Elle a 7200 cm3 de cylindrée figures-toi, les flics ne se refusent rien, pare-chocs et pneus spéciaux et suspensions idem, elle est pas équipée de convertisseur catalytique et par conséquent roule bien à l’essence ordinaire ; alors qu’est ce que tu en dis maintenant, tu l’adoptes ou pas ?
- Tu feras réparer l’allume cigare !

Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou lâches, méprisables et sensuels ; Toutes les femmes sont perfides, artificielles, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’un égout sans fond ou les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fanges ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux.
On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quant on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit: « J’ai souffert, je me suis trompé quelquefois mais j’ai aimé ».

Ici, l’Amérique siffle en cœur
Mes fabuleux cocktails cousue main.
L’Amérique adore ces nectars divins
… Que distille mon Shakeur.

Le Sexe est plaisant
Mais le verre est pressant
Le Schnaps aux 18 plantes
Le Rhum frappé à la menthe !

Je mêle les noms et les saveurs
Le Blue Lagoon et la main de ma sœur
Et mes verres sont brulants et glacés
La sorcière, le Kamikazé.

Et l’Orgasme
Le dernier Spasme
Singapour Sling
Le Dingeling

Amérique te voila envoûtée
Grâce à ces dons exceptionnels
Mais si tu veux te réveiller
Commande vite encore un… Cocktail !

Vous savez ce que j’ai fait pour être ici aujourd’hui ? Absolument rien… J’avais rien de mieux à faire.