Top - Citations de films des années 1980

That’s classified. I could tell you, but then I’d have to kill you.

Il me manquait quelque chose pour descendre les poubelles.

Goooooooood morning, Vietnam!

- Bradock, je vous préviens. Attention où vous mettez les pieds.
- Je mets les pieds où je veux, Litlejohn… et c’est souvent dans la gueule !

C’est quand même ben foutu les étoiles ! Oh il parait qu’il y en a des milles et des milles ! Écoute dont voir là ! [pet du bombé]

Ben dis donc mes rose elles vous ont fait de l’effet !

- Qu’est-ce qu’ils ont vos yeux ?
- Quand j’suis debout, j’vois pas mes pieds.
- Pourquoi vous ne portez pas de lunettes alors ?
- J’m’en fous d’mes pieds…

J’ai payé, je veux mon eau.

- Il faudra partir pour Nice, ça te pose peut être des problèmes ?
- Mais pas du tout ! On a une chance inouïe écoute ! J’ai plus de boulot, ma femme m’a quitté, j’habite avec ma mère qui me fait une vie impossible, j’ai pas de projet, pas d’avenir, tout à bout j’suis foutu ! C’est formidable non ?

Les putes sont des femmes qui vous donnent beaucoup de choses pour relativement peu d’argent.

Moi je me tape Nick, Nick le porc !… Et c’est la fête !

Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir raconter aux flics ? « Elle avait aucun sens de l’humour sergent, faut le reconnaitre ! »

- Qu’est-ce qui c’est passé bon sang !
- Tu t’es mis à débiter de la poésie !
- De la poésie ?
- Oui ! « Je t’aime Sorsha, laisse moi te vénérer Sorsha ! » Tu as failli nous faire tuer !
- « Je t’aime Sorsha » ? Mais je ne l’aime pas ! Elle m’a donné un coup de pied dans les dents ! J’la déteste ! Enfin je crois.

Les femmes c’est le moteur du bar ! Les p’tites chéries s’amènent avec l’oeil mouillé et leur pauvre petit coeur qui bat, qui bat à la vue du beau barman si habile et sexy ! Dans leur sillage, des vieux cochons la bave aux lèvres, une main sur la quéquette et l’autre sur leur porte-feuille. Séduit la pouliche, tu auras le pourliche et là je te tire mon chapeau ! Les agrafes qui pètent, les jupes qui remontent en haut des cuisses et si tu vois la couleur de leur petite culotte c’est que tu as le don magique du barman !

Ça fait du bien de temps en temps de voir qu’on n’est pas tout seul sur le chemin, ça élargit la route pendant un petit moment, c’est quand même mieux que rien.

Je foooonnnds.

J’me laverai pas pour garder ton odeur.

- Qu’est-ce que vous en pensez ?
- J’en pense que vous devriez chercher un autre Président des États-Unis.

Ma théorie c’est que quand les parents divorcent, ils appliquent une sorte de mode d’emploi. Quand mes parents m’ont dit qu’ils se séparaient, ils m’ont dit trois choses : 1, ce n’est pas de ta faute ; 2, ce n’est pas de ta faute et… 3, ce n’est pas de ta faute. Le problème c’est que… je ne les crois pas. Aucun enfant ne croit ça. J’ai vu ces photos de vous quand vous étiez de jeunes mariés, à l’époque où vous étiez rayonnant et heureux, et à l’époque ou vous vous serriez encore, où vous vous regardiez encore, ne serai-ce que ça. Il y a eu quoi entre cette époque et aujourd’hui ? Moi. Je suis venu au monde et je vous ai rendu exténué et colérique et inquiet et… je vous ai fait perdre vos cheveux et prendre dix kilos du jour au lendemain. Alors à un moment, votre amour en a pris un coup. Moi j’ai un autre mode d’emploi à vous suggérer. La prochaine fois dite moi plutôt : 1, le bonheur est difficile ; 2, tâche de ne pas répéter nos erreurs et 3… oui c’est vrai, c’est peut-être un peu de ta faute. Vous voulez que je sois honnête ? Alors soyez-le aussi.

Victor Basta : Demandons vecteur, à vous !
La tour de contrôle : Vol 220 autorisation pour vecteur 324.
Roger Murdock : On a l’autorisation.
Capt. Oveur : Ok, quel est votre vecteur Victor ?
Victor Basta : La tour vient de le communiquer, à vous !
Capt. Oveur : Ici Clarence Havoo, à vous ! Terminer. Roger !
Roger Murdock : HEIN ??
La tour de contrôle : Roger ! À vous !
Capt. Oveur : Quoi ??
Roger Murdock : Hein ?