Kaakook

Top - Citations de films des années 1980

Qu’est ce que tu veux, les flics se fringuent en loubards, les écolières en putes, et les putes en bourgeoises. Comment veux tu t’y reconnaître !

#41
8.95 (123 votes)

- Comment tu t’appelles sac à foutre ?
- Chef, Brown, chef !
- Mon cul ! À partir de maintenant tu t’appelles Blanche neige !

#42
8.94 (226 votes)

- Écoutez : de l’extérieur c’est déjà magnifique ! Oh Thérèse ! Une serpillère ! C’est formidable, écoutez, fallait pas…
- mais non Pierre c’est un gilet…
- Ah mais oui bien sûr, c’est un gilet ! Où avais-je la tête ? Il y a des trous plus grands pour mettre les bras ! Si vous saviez comme ça tombe bien, je me disais encore hier soir qu’il me manquait quelque chose pour descendre les poubelles. Je suis ravi Thérèse !

#43
8.94 (245 votes)

Oh capitaine, mon capitaine !

#44
8.93 (431 votes)

Je ne vais pas te faire de mal… Je vais juste t’éclater la gueule !

#45
8.93 (93 votes)

C’est instinctif, nous recherchons l’approbation. Mais il faut vous assurer que vos convictions sortent de ce qu’il y a de plus personnel en vous, même si les moutons bêlent et se choquent, même si on vous dit que vous faites fausse route, que c’est mal. C’est Frost qui a dit : « Dans la forêt, le chemin se sépare en deux, et là, je choisis toujours le moins fréquenté, et chaque fois je constate la différence. »

#46
8.92 (147 votes)

Vous êtes ma m… vous êtes ma m… vous êtes si mince !

#47 8.92 (73 votes)

He papa ! Euh George ! Toi sur le vélo !

#48 8.91 (146 votes)

- 2.21 Gigowatts !! 2.21 Gigowatts !! Mon dieu !
- Mais enfin c’est quoi un gigowatt ?
- Je devais être complètement dans les nuages ! 2.21 Gigowatts, comment puis-je générer une puissance pareille monsieur Edisson ? C’est impossible je n’y arriverais pas !
- Mais Doc écoutez c’est rien, tout ce qu’il faut c’est un peu de plutonium !

#49 8.91 (182 votes)

J’ai horreur qu’on s’appelle Lawrence, y’a que les pédés et les marins qui s’appellent Lawrence…

#50
8.9 (117 votes)

C’est donc ça la vie Many ? Diner, picoler, baiser, sucer, renifler…

#51
8.9 (245 votes)

J’ai les yeux fermés et j’ai son image qui flotte près de moi [] le fou aux dents qui transpirent avec un regard qui perce mon front ! Il essaie de m’étrangler, il tend les mains ! Il arrête pas de marmonner. [] Il marmonne des chose ! Il dit la vérité et comme une couverture qui vous laisse les pieds froids. On a beau tirer dans tous les sens il n’y en a jamais assez, on la tire, on la pousse et elle est trop petite pour nous tous ! Du moment où on entre en gémissant, au moment où on part agonisant, on se cache sous la couverture et on pleure, on crie et on se meurt.

#52
8.9 (218 votes)

Je partis dans les bois parce que je voulais vivre sans me hâter. Vivre intensément et sucer toute la moelle secrète de la vie.

#53
8.89 (260 votes)

- Qu’est ce qu’il te voulait ce type ?
- Ben, me draguer, qu’est ce que tu crois…

#54
8.89 (71 votes)

Sucez la moelle de la vie mais n’avalez pas l’os.

#55
8.88 (160 votes)

All work and no play makes jack a dull boy.

#56
8.87 (61 votes)

S’il peut saigner, on peut le tuer.

#57
8.87 (52 votes)

- Mardi je passe mon Bac natation, j’ai vachement la trouille !
- C’est rien…
- Mais j’sais pas nager…

#58
8.87 (149 votes)

On ne lit pas ni écrit de la poésie parce que c’est joli. On lit et écrit de la poésie car on fait partie de l’humanité. Et l’humanité est faite de passions. La médecine, le droit, le commerce sont nécessaires pour assurer la vie, mais la poésie, la beauté, la romance, l’amour, c’est pour ça qu’on vit.

#59
8.86 (227 votes)

C’est pas un crime de porter des pastèques…

#60
8.86 (165 votes)

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