Top - Citations de films de l'année 2005

- Attends, je comprend pas ! C’est laquelle, ta vie ?!
- Ça dépend ! La quelle rend ta vie plus supportable ? Je peux t’inventer des milliers d’histoires, mais la tienne sera toujours la même.

Avec des « si » et des « peut-être », on pourrait mettre un cachalot dans une boite d’allumettes !

- Vous voyez toutes les femmes le disent, j’suis un type banal… Oh je sais j’ai rien d’exceptionnel. J’suis juste moi quoi.
- Moi j’trouve ça déjà exceptionnel d’être soi.

La peur de perdre l’autre mène au côté obscur de la force.

Moi mon créneau c’est l’échec ! Rater tout ce que j’entreprends c’est la chose que je réussi le mieux…

Souviens toi, souviens toi du 5 novembre 1605, de la conspiration des poudres de Gary Fawkes et de Jacques 1er, souviens t’en car à l’oublier jamais je ne pourrai me résoudre…

On ne devient plus fort qu’en affrontant un adversaire plus fort.

La mise en scène et la duperie sont des armes puissantes.

Moi je suis né dans le luxe, c’est mon élément… Pas le tien apparemment !

Le chewing-gum que je suis en train de mâcher, ça fait trois mois que j’le travaille sans relâche. Ça, c’est un record !

- Je crois que parfois c’est plus simple d’en vouloir à ceux en qui on a parfaitement confiance.
- Pourquoi ?! Pourquoi ?! Pourquoi c’est comme ça ?!
- Parce que tu sais que quoi qu’il arrive elles t’aimeront toujours…

Je sais par expérience que certaine des relations les plus réussies sont basées sur le mensonge et la tromperie, et puis que c’est ainsi qu’elles se terminent généralement. Ça semble logique de commencer par là.

Alors Mathilde s’adosse bien droite sur sa chaise,
croise les mains sur ses genoux, et le regarde…
… Dans la douceur de l’air,
dans la lumière du jardin,
Mathilde le regarde…
Elle le regarde…
Elle le regarde…

La mort n’attend pas notre bon vouloir.

- Quelqu’un vous a déjà dit que vous avez un jeu très agressif ?
- Quelqu’un vous a déjà dit que vous avez des lèvres très lascives ?

- Il n’y a pas d’issue la haut Jane !
- Ne tombes pas dans la panneau John.

- D’après vos exploits je vous imaginais un peu plus âgé.
- Général Grievous, je vous imaginais plus grand !

Je finis par m’asseoir comme il m’a dit… Les sirènes se rapprochent, elle est hors de danger… Tout s’assombrit… J’me fous de ma mort… J’ai sommeil… Tout va bien, elle est hors de danger… Un vieux meurt, une enfant vit… C’est dans l’ordre des choses…

À l’âge de 16 ans, j’ai remporté une grande victoire. Ce jour-là, j’ai eu l’impression que je vivrais 100 ans. Aujourd’hui, je sais que je n’atteindrais pas la trentaine. Vois-tu, il n’appartient à nul d’entre nous de choisir sa fin.

Si tu veux cerner la vraie nature de quelqu’un, regarde la façon dont il traite les personnes qui lui sont inférieures et non pas ses égaux.