Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2005

- Qui il était ?
- Il était Edmond Dantès… Il était mon père, et ma mère, mon frère, mon ami… Il était vous, et moi. Il était chacun de nous.

#21
9.32 (344 votes)

- Je me demande qui le premier a découvert que la poésie pouvait guérir de l’amour !
- J’ai toujours pensé que la poésie nourrissait l’amour…
- Un amour sincère et fort, peut-être, mais s’il ne s’agit que d’une vague inclination, je pense qu’un simple petit sonnet peut en avoir raison !
- Et que préconiser qui encourage l’amour ?
- La danse ! Même si votre partenaire vous semble tout juste passable !

#22
9.32 (108 votes)

Je sais que je ne peux prouver que ce n’est pas un de leurs pièges mais ça m’est égal. Je suis moi. Je m’appelle Valérie. Je ne pense pas que je vivrais encore très longtemps et je voulais raconter ma vie à quelqu’un. Voici la seule autobiographie que j’écrirais. Et Mon dieu ! Je le fait sur du papier toilette !

Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à total brook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petit amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets… Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.

En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonner de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère, ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.

J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. ça a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie.
Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de dangereux. Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ?
Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher.
C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser.
Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.

J’espère, qui que vous soyez que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dit que même si je ne vous connaît pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime.
Valerie

#23
9.31 (442 votes)

Lorsque nous aimons nous sommes tous des idiots.

#24
9.31 (293 votes)

Je lui aurais volontiers pardonné son orgueil s’il n’avait pas blessé le mien.

#25
9.31 (397 votes)

- Je suis Veruca Salt ! Ravie de vous connaître !
- J’ai toujours cru qu’une Veruca était une sorte de verrue qu’on a à la plante des pieds ! Hahaha !

#26
9.3 (205 votes)

Si tu veux pas avoir l’air stupide : faut pas tomber amoureux !

#27
9.3 (248 votes)

Qui que l’on soit au fond de nous, nous ne sommes jugés que d’après nos actes.

#28 9.29 (529 votes)

Remember, remember, the fifth of November, the gunpowder treason and plot. I know of no reason why the gunpower treason should ever be forgot.

#29
9.29 (144 votes)

Commence chaque journée comme si elle avait été écrite pour toi.

#30
9.29 (396 votes)

Tout ce que je sais… C’est que des fois, tu me manques tellement, que j’ai envie d’en crever tant ça fait mal…

#31
9.29 (458 votes)

- Je drape la vile nudité de ma scélératesse sous quelques vieux haillons et passe pour saint à l’heure où je fais le diable.
- Je vous en prie… ayez pitié…
- Oh pas ce soir monsieur l’évêque… pas ce soir…

#32
9.29 (158 votes)

Personne n’oubliera jamais cette nuit là et tout ce qu’elle a représenté pour ce pays. Mais moi, je n’oublierai jamais l’homme, et tout ce qu’il a représenté pour moi.

#33
9.29 (186 votes)

Quand on est gamin, on dit : « Mon père, il sait tout faire ! »
Passé 10 ans, on dit : « Mon père, il sait presque tout faire. »
Arrivé à 15 ans, on dit : « Mon père, il m’casse les couilles. »
À 20 ans, on dit qu’c’est un con.
À 25 ans, on dit : « Finalement, mon père il était peut-être pas si con que ça. »
Et à 30 ans, on dit : « Putain, si seulement mon père était là… »

#34
9.29 (102 votes)

Pete Dunham m’a appris qu’il fallait faire face. Je n’aurai jamais l’opportunité de le remercier, Mais je vivrai de façon a l’honorer.

#35
9.29 (74 votes)

Cette insupportable colère qui étouffe le chagrin au point que le souvenir de l’être aimé n’est plus qu’un poison dans tes veines, et un jour tu te surprend à souhaiter que la personne aimée n’aie jamais existé pour être libéré de ta peine.

#36 9.29 (160 votes)

- Are you going to kill me now?
- I killed you ten minutes ago while you slept.

#37
9.28 (129 votes)

Moi le matin, je casse le vent, je fais chier les gens ça me purifie c’est important.

#38
9.28 (473 votes)

Moi je fais des petites bulles
Des belles bulles que j’crache en l’air
Elles sont si belles, volent jusqu’au ciel
Comme dans mes rêves, à la fin, elles crèvent
Ou se cache donc la chance, ça me met en transe
Moi je fais des petites bulles
Des belles bulles que je crache en l’air
UNITED !!
UNITED !!
UNITED !!

#39
9.27 (249 votes)

Et quand il aura crevé, son enfer aura un gout de paradis tellement il aura dérouillé.

#40
9.27 (114 votes)

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