Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2005

Le test de la portière… J’l’avais vu dans un film. Quand vous montez dans une voiture avec une femme, vous lui ouvrez d’abord sa porte, elle entre, vous refermez la porte et faites le tour du véhicule. Si elle déverrouille votre porte avant vous, c’est gagné. Pour moi ça veut dire : « c’est la femme de ma vie ».

#161
8.75 (30 votes)

Je me fiche éperdument de ce que pense ton père, Malefoy. Il est vil et cruel. Et toi, tu es pathétique.

#162 8.75 (30 votes)

Tu sais quoi Guillaume, tout ce que tu dis, tout ce que tu fais, c’est du vent, t’es l’armée de l’air à toi tout seul !

#163
8.74 (93 votes)

Voilà! In view, a humble vaudevillian veteran… Cast vicariously as both victim and villain by the vicissitudes of fate. This visage no mere veneer of vanity is a vestige of the vox populi now vacant, vanished. However, this valorous visitation of a by go vexetation stands vivified and has vowed to vanquish these venal and virulent vermin vanguarding vice and vouchsafing the violently vicious and voracious violations of volition. The only verdict is vengeance, a vendetta… Held as a votive not in vain, for the value and veracity of such… Shall one day vindicate the vigilant and the virtuous. Verily this vichyssoise of verbiage veers most verbose. So let me simply add that it’s my very good honor to meet you… And you may call me V.


- Elle est morte ?
- Nan, elle repose ses yeux deux minutes… Un peu qu’elle est morte, elle a le coup brisé !


J’suis le roi d’la glisse pas besoin d’notice sur les autres surfaces j’suis le roi d’la casse !

#166
8.73 (211 votes)

- Tu sais pas à qui t’as à faire, moi j’ai bouffé des méduses…
- … C’est pour ça que t’es transparent alors !

#167
8.73 (265 votes)

Et voici que la bête regarda la belle et la belle arrêta son geste… Dès lors, la bête fut comme morte.

#168
8.73 (45 votes)

- Tu étais l’élu, c’était toi ! Tu devais rétablir la paix dans la force pas la condamner à la nuit ! Tu étais comme mon frère. Je t’aimais Anakin.
- Je te hais.

#169 8.73 (352 votes)

Un roi peut déplacer un homme, un père peut mander un fils. Même si des rois ou des puissants commandent tes mouvements, tu demeures seul gardien de ton âme. Devant Dieu, il ne servira à rien de dire : « D’autres m’ont dit d’agir ainsi », ni que la vertu n’était pas de mise à ce moment-là, car c’est insuffisant.

#170
8.73 (61 votes)

- As-tu commis des péchés mon fils ?
- Eh ben c’est à dire, mon père, que je voudrais pas qu’on y passe la nuit alors je vais juste vous rencarder sur la dernière fournée.

#171
8.73 (53 votes)

- J’ai envie d’appuyer sur ce bouton depuis des années. Voilà, c’est parti. On monte et on sort !
- Non, ne m’dites pas que nous…
- Si, c’est ça !

#172
8.73 (53 votes)

Content de t’avoir croisée. Qu’on se soit vus après tout ce temps. J’y ai pensé si souvent… Demain, je me demanderai si j’ai pas rêvé. Content de t’avoir croisée. Je me sens pourtant plus seul qu’avant… Je me disais que je pouvais t’appeler. Qu’on déjeunerait ensemble, qu’on se marierait. Tout bêtement. Comme dans les films pédagogiques en physique au lycée, le lait renversé qui réintègre la cruche, les tasses à thé brisées, qui se recollent par miracle. Mais le temps ne peut avancer et reculer… Il peut avancer et reculer ! Sans ébranler l’univers d’ailleurs. Autrement dit… je ne sais pas. Je… je pensais que tout restait possible. Mais maintenant, tout semble tellement arrêté. Tellement réel. Tellement définitif. Du lait renversé ne se dé-renverse pas. Et une tasse à thé brisée reste brisée. C’est drôle, tout le monde évite de me parler de toi. Mais l’omission, ne fait qu’aggraver les choses. J’aimerais qu’on me parle de toi parfois… Je t’aime. Pour le meilleur ou pour le pire, pars avec ces mots…

#173
8.73 (45 votes)

- Attendez, vous n’êtes pas curieux de savoir où j’étais ?
- C’est le jeu justement, c’est pour ça qu’il te cherchait partout.

#174 8.72 (29 votes)

- Que vaut Jérusalem pour toi ?
- Rien… Et Tout.

#175
8.7 (59 votes)

- Who are you?
- Who? Who is but the form following the function of what… And what I am is a man in a mask.
- Oh, I can see that.
- Of course you can, I’m not questioning your powers of observation.
I’m merely remarking upon the paradox of asking a masked man who he is.
- Right.
- But on this most auspicious of nights… Permit me then, in lieu of the more commonplace sobriquet… To suggest the character of this dramatic persona.
Voilà! In view, a humble vaudevillian veteran… Cast vicariously as both victim and villain by the vicissitudes of fate. This visage no mere veneer of vanity is a vestige of the vox populi now vacant, vanished. However, this valorous visitation of a by go vexation stands vivified and has vowed to vanquish these venal and virulent vermin vanguarding vice and vouchsafing the violently vicious and voracious violations of volition. The only verdict is vengeance, a vendetta… Held as a votive not in vain, for the value and veracity of such… Shall one day vindicate the vigilant and the virtuous. Verily this vichyssoise of verbiage veers most verbose. So let me simply add that it’s my very good honour to meet you… And you may call me V.
- Are you like, a crazy person?
- I am quite sure they will say so. But to whom, might I ask am I speaking?
- I’m Evey.
- Evey? E-vey. Of course you are.
- What does that mean?
- It means that I, like God, do not play with dice and do not believe in coincidence. Are you hurt?
- No, I’m fine. Thanks to you.
- Oh, I merely played my part. But tell me, do you enjoy music, Evey?
- I suppose.
- You see, I’m a musician of sorts… And on my way to give a very special performance.
- What kind of musician?
- Percussions instruments are my speciality. But tonight I intend to call upon the entire orchestra for this especially event… And would be honoured if you could join me.
- I don’t think so. I should be getting home.
- I promise you, it will be like nothing you’ve ever seen. And afterwards, you’ll return home safely.
- All right.

#176
8.7 (59 votes)

Le jour où j’ai réussi à monter toute seule ma bibliothèque Ikéa, j’me suis demandée pourquoi Dieu avait créé deux sexes !

#177
8.7 (44 votes)

Mon père en entendra parler !

#178 8.7 (36 votes)

N’importe quel type normalement constitué aurait couru jusqu’à elle après ce qu’elle venait de me dire. Moi, j’ai pas bougé. Ou plutôt c’est le train qui a bougé. Et j’ai laissé faire.

#179
8.69 (127 votes)

- Qu’as tu pensé ma belle, la première fois qu’on s’est vu ?
- Toi commence.
- J’ai pensé que tu étais… Comme un matin de Noël, plein de présents. C’est la seule façon de le décrire.
- Et pourquoi me le dire maintenant ?
- C’est à la fin qu’on repense au commencement, non ? Enfin voilà j’voulais que tu le saches…

#180
8.69 (74 votes)

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