Top - Citations de films de l'année 2005

- Nous vous proposons une nouvelle méthode d’épilation naturelle et très douce, l’épilation au micro lance-flamme. Le poil est calciné à la racine, le bulbe est complètement carbonisé…
- Ah non c’est de la torture !
- Ah non mais je vous assure on ne sent rien.
- Bon écoutez les filles, moi je souffre assez comme ça dans la vie, je vais pas en rajouter avec mes poils !

- Chantal ?
- Euh… non, Alice !
- Alice ?
- Ouais, Alice de Nice !
- Ah… Alice de Nice !

Voici les gamins kalachnikov, mes p’tites brigades. Une balle tirée par quelqu’un de 14 ans est aussi efficace que celle tirée par quelqu’un de 40 ans… parfois plus même.

Andy’s idea of a joke was to put an Iman and a Naomi in my hotel room in the most AIDS-infected region of the world - where 1 in 4 people is infected - and hundreds of miles from the nearest condom.

Open bar toute la nuit !
Ambiance de folie !
Identité facultative !
Toutes sorties définitives !

La mort est une partie naturelle de la vie.

- C’est loin comment l’Angleterre ?
- Pour l’instant, 400$ trop loin.

Jn - Ils sont où les pains surprise ?
F - Ben là dans le frigo.
Jn - Faut pas les mettre au frigo ça dessèche le pain de mie ! Et puis apporte les au salon, ça ressemble à rien là…

Jte - Il te déclare ton mari ?
F - Qu’est ce que tu dis ?
Jte - À l’URSAF, il devrait ça te ferait des congés payés !

Vous saviez qu’on utilisait que 20 % de notre cerveau, moi je pense qu’on utilise 20 % de notre cœur.

Belle manière de rompre un tandem.

What que fait le swimming maillot de Maria on the popotin of the Pin’s ?

- Je veux t’épouser, je t’épouse dans un mois, je t’épouse dans une semaine, je sors de cet appartement maintenant et je t’épouse.
- Sarah, ça ne fonctionne pas comme ça, tu ne peux pas débarquer ici, maintenant et venir me dire que tu ne peux pas vivre sans moi. Tu t’attends à quoi ? Comment je suis censé réagir à ça ? Il faut que je t’arrange tout une fois de plus ? Et bah ça je peux plus.
- Ce n’est pas ça que je veux. Je t’aime, je ne suis pas venu te dire que je ne peux pas vivre sans toi. Je peux vivre sans toi mais j’en ai pas envie.

La personne qu’il vous faut est Nanny McPhee…

On s’fait tous avoir un jour ou l’autre par les femmes, on s’fait tous avoir… Ces salopes sont toutes cinglées, elles savent comment nous tuer. Et c’est c’qu’elle fait, cette petite ; elle va te tuer.

Va chier tête de gland !

- Je vous invite à vous délecter de ma magnificence !
- Mais bien sûr l’écureuil.

Mais enfin Maurice ! Tu vois bien que t’as insulté le zarbi !

Joyeux anniversaire,
Tu vis dans un zoo,
Tu ressemble à un singe vert,
Et tu sens l’asticot !

Notre histoire commence, comme souvent les histoires de ce genre, avec un jeune politicien plein d’avenir, non croyant et aussi membre du parti conservateur. Il est plus qu’obstiné de nature et n’a aucun respect pour le processus politique. Plus il acquière de pouvoir, plus son fanatisme s’affiche, et plus ses partisans deviennent agressifs. Finalement son Parti initie un projet spécial, au nom de la sécurité nationale, ce projet au début passe pour être de la recherche en arme biologique et se poursuit sans aucune limitation de budget alors que son but véritable est le pouvoir. Une hégémonie totale, absolue. Le projet toutefois prend fin de façon brutale, mais les efforts des protagonistes n’ont pas été vains. Une nouvelle technique de guerre est née du sang de l’une des victimes. Imaginez un virus, le plus terrifiant qui puisse exister, et ensuite imaginez que vous, et vous seul, ayez le remède. Si votre but ultime est le pouvoir, comment l’utiliser au mieux une telle arme ? C’est ici que dans notre histoire le loup sort du bois. C’est un homme apparemment sans conscience pour qui la fin justifie toujours les moyens, et c’est lui qui suggère que leur cible ne devrait pas être un ennemi du pays mais plutôt le pays lui-même ! Pour maximiser l’effet de l’attaque, trois cibles sont choisies : une école, une station de métro et un centre d’épuration. Plusieurs centaines de mort dès les premières semaines. […] Alimentées par les médias, la peur et la panique se rependent très vite, déchirant et divisant le pays jusqu’à ce qu’enfin le but véritable deviennent évident : avant les crises de Sainte Mary, personne n’aurait pu prévoir les résultats des élections de cette année-là, personne. Et ensuite, peu après les élections, voilà qu’advint un miracle. Certains crurent à une intervention divine mais c’était l’œuvre d’une compagnie pharmaceutique contrôlée par certains membres du Parti qui devinrent tous scandaleusement riches. Un homme et plusieurs extrémiste ont droit à un procès, et sont condamnés et exécutés pendant qu’un mémorial est élevé pour canoniser leurs victimes. Mais le résultat final, le vrai génie de ce plan était la peur. La peur devint l’instrument suprême de ce gouvernement et le moyen pour notre jeune politicien de se faire nommer pour tenir le poste nouvellement créé de Haut Chancelier. Le reste, comme on dit, appartient à l’Histoire.

Si quelqu’un te dit plein d’injures laisse le vider son sac pendant quatre secondes puis tu dis « tiens !! je me fais chier… »