Kaakook

Acteur / Actrice - Pierre Tornade

Pierre Tornade joue dans :


Répliques de Pierre Tornade (98)

Caius Bonus : Quel est ce prodige Druide ?
Panoramix : C’est une vieille recette de lotion capillaire extrêmement puissante, vos barbes et vos cheveux vont pousser sans arrêt à très grande vitesse.
Caius Bonus : Je vais vous tuer. Donnez-moi du contrepoison.
Astérix : Tsss, tsss, tsss ! Si tu nous tues, nous ne pourrons pas faire de contrepoison, d’ailleurs aujourd’hui, nous sommes un peu fatigués.
Panoramix : Nous allons nous retirer sous notre tente.

5 (0 vote)

- Attendez, attendez, ouille !
- Que t’est-il arrivé ô Caius Bonus ?
- Je me suis pris les pieds dans ma barbe ô Imbécile !

5 (0 vote)

Je suis à la merci de ces Gaulois, ils ont gagné la partie, je dois traiter avec eux !

5 (0 vote)

- 3450 !
- Que dis-tu ?
- Nous avons inventé un nouveau jeu, chaque fois que nous voyons un barbu, nous comptons quinze points, celui qui a le plus de points gagne !
- Tu te moques de moi Gaulois mais je dois traiter avec toi.
- Parlons sans couper les cheveux en quatre.
- Je ne veux plus qu’on parle de cheveux.
- Puisque c’est comme ça la barbe !
- Non ne pars pas !
- D’accord mais ne prends plus à rebrousse poils ! Tout ceci est échevelé, parle nous t’écoutons !
- Je m’avoue vaincu ! Donnez-moi du contrepoison et je vous rends la liberté.

5 (0 vote)

Panoramix : C’est que je n’ai pas envie de travailler.
Astérix : Il a un poil dans la main ! Parfois, il a un cheveu sur la langue aussi !
Panoramix : Allez, ne vous énervez pas, c’est d’accord ! Il faudrait que j’aille chercher des ingrédients dans la forêt.
Caius Bonus : Je vous envoie une escorte.
Astérix : Pourquoi as-tu accepté si vite ? Ce Centurion nous veut du mal !
Panoramix : Les effets de la lotion capillaire sont de courte durée. Demain, il n’y paraîtra plus, il faut penser à se sortir de là.

5 (0 vote)

Caius Bonus : Et qui me prouve que cette potion empêche la croissance des cheveux ?
Astérix : Tu es rusé Romain ! Observe mes moustaches et tu verras qu’elles ne poussent plus.
Caius Bonus : Par Jupiter, c’est vrai ? Buvons !
Panoramix : Ce qu’ils sont goinfres !
Astérix : Oui !

5 (0 vote)

Caius Bonus : Et maintenant, saisissez-les !
Marcus Sacapus : Avec joie !
Astérix : Je tiens, par la barbichette !
Marcus Sacapus : Vous allez, voulez-vous me lâcher ? A moi !
Panoramix : Viens partons avant qu’ils ne reprennent leurs esprits.
Astérix : Juste quand je commençais à m’amuser !

5 (0 vote)

- Voilà des renforts qui arrivent à point nommé hé, hé, hé !
- Ça se gâte !
- Cette fois-ci Gaulois, je vais vous faire embrocher hé, hé, hé.

5 (0 vote)

- Où allez-vous ?
- Ben, je veux vous voir préparer le contrepoison.
- Tsss, Tsss, Tsss, pas question ! Il nous faut du calme ! Vous êtes trop nerveux !
- Surveillez cette tente ! Qu’ils ne s’évadent pas !

5 (0 vote)

Astérix : Obélix mon ami, tu es amoureux !
Obélix : Qui, moi ? Oh !
Panoramix : Même Idéfix n’est pas d’accord ah la maladie d’amour les amis, je n’ai pas de potion magique pour la guérir.
Astérix : Entre nous, elle te plaît bien la petite Falbala ? Eh bien va la voir mais qu’est-ce qui t’en empêche ?
Obélix : J’ose pas !

5 (0 vote)

- Vous êtes un immonde coquin !
- Allons du calme mon père ! Je ne fais que mon devoir !
- Collecter les taxes pour cet arrogant, ce cupide, cet avide, ce bon à rien de Prince Jean !
- Écoutez frère, vous êtes un bouillant prêcheur et un jour à force de prêcher, vous direz votre prose sur le haut d’une potence !
- Sortez de mon église, ouste, allez ouste ! Ah, vous voulez des taxes eh bien, je vais vous en donner moi des taxes !
- Je vous arrête pour haute trahison envers la couronne !

4.55 (1 vote)

Le shérif de Nottingham : Laisse-moi jeter un coup d’œil à cette méchante cassure ! Ha, Ha, Ha, c’est bien joué, ils ne savent plus quoi inventer !
Corniaud : Ouille, ouille, ouille, ouille !
Le shérif de Nottingham : Ça fait très mal hein Corniaud mais le Prince Jean dit que les taxes c’est douloureux !
Frère Tuck : Sans cœur et sans entrave, infâme gredin, fils de Satan !
Le shérif de Nottingham : Allons, allons, allons, garde ton cerveau prêcheur, tu le diras le jour du Seigneur ! Lourdaud, je m’appelle Lourdaud mais je prends leur magot, roudoudou, doudou.

4.55 (1 vote)

Corniaud : Soyez généreux avec moi Sherif vous savez une jambe cassée et j’ai pris un gros retard sur mon travail.
Le shérif de Nottingham : Je suis au courant mais tu as aussi un gros retard avec les taxes.
Frère Tuck : Ayez bon cœur Sherif, il a de sérieux soucis avec sa jambe allez viens Corniaud, viens t’asseoir mon fils.

4.55 (1 vote)

Le décurion Superbus : Allez, mon casque !
Obélix : Tu as vu Astérix ? Ce qu’il y’a bien, c’est qu’il y’a plein de Romains.
Astérix : Oui mais pour l’instant n’y touche pas, ce sont des amis !
Obélix : Les Romains sont nos amis ?
Astérix : Pour l’instant nous sommes des Romains.
Obélix : Alors nous sommes les amis de nos ennemis, explique-moi Astérix.
Astérix : Je n’ai pas le temps, allons les aider.
Obélix : Ouuaah !

4.55 (1 vote)

- C’est un ami !
- Non c’est un ennemi !
- Nous sommes des Romains !
- Plus maintenant compris ?
- Hein ?
- Et maintenant, ouvre Obélix !
- C’était bien la peine de se donner le mal de la fermer.

4.55 (1 vote)

Briseradius : Où sont-ils ces gars-là ? Oh non, oh pitié, tout mais pas ça, non, non, non, je ne veux plus les revoir, non, plus les revoir.
Astérix : Nous voulons être Gladiateurs.
Obélix : Apprends-nous Briseradius.

4.55 (1 vote)

- Monsieur Astérix, j’ai le droit de dire bonjour à mon petit chien.
- Monsieur Obélix, je n’ai pas de temps à perdre.
- Et d’abord ne crie pas, tu vas faire peur à Idéfix, reste calme.
- Je suis calme.
- Moi aussi, je suis calme.

4.55 (1 vote)

Obélix : Salut Jules, ça va !
Caius Obtus : Les deux Gaulois manquent d’éducation César mais ce sont des combattants terribles, des machines à tuer. La foule va être émerveillée.
Obélix : Dis Astérix, ceux-là ce sont nos amis ?
Astérix : Je ne le pense pas, Obélix.
Obélix : Alors là, je ne comprends plus rien. En Gaule, c’étaient nos ennemis, en Afrique, nos amis. Peut-être que Jules, il va nous l’expliquer.
Caius Obtus : Rassure-toi César, on va lâcher les lions, tout va bien se passer.

4.55 (1 vote)

Haut de page