Le décurion Superbus : Allez, mon casque ! Obélix : Tu as vu Astérix ? Ce qu’il y’a bien, c’est qu’il y’a plein de Romains. Astérix : Oui mais pour l’instant n’y touche pas, ce sont des amis ! Obélix : Les Romains sont nos amis ? Astérix : Pour l’instant nous sommes des Romains. Obélix : Alors nous sommes les amis de nos ennemis, explique-moi Astérix. Astérix : Je n’ai pas le temps, allons les aider. Obélix : Ouuaah !
- C’est un ami ! - Non c’est un ennemi ! - Nous sommes des Romains ! - Plus maintenant compris ? - Hein ? - Et maintenant, ouvre Obélix ! - C’était bien la peine de se donner le mal de la fermer.
Briseradius : Où sont-ils ces gars-là ? Oh non, oh pitié, tout mais pas ça, non, non, non, je ne veux plus les revoir, non, plus les revoir. Astérix : Nous voulons être Gladiateurs. Obélix : Apprends-nous Briseradius.
- Monsieur Astérix, j’ai le droit de dire bonjour à mon petit chien. - Monsieur Obélix, je n’ai pas de temps à perdre. - Et d’abord ne crie pas, tu vas faire peur à Idéfix, reste calme. - Je suis calme. - Moi aussi, je suis calme.
Obélix : Salut Jules, ça va ! Caius Obtus : Les deux Gaulois manquent d’éducation César mais ce sont des combattants terribles, des machines à tuer. La foule va être émerveillée. Obélix : Dis Astérix, ceux-là ce sont nos amis ? Astérix : Je ne le pense pas, Obélix. Obélix : Alors là, je ne comprends plus rien. En Gaule, c’étaient nos ennemis, en Afrique, nos amis. Peut-être que Jules, il va nous l’expliquer. Caius Obtus : Rassure-toi César, on va lâcher les lions, tout va bien se passer.