Kaakook

Tag - véridique

Les citations véridiques. Les répliques qui ont vu juste et qui énoncent des vérités.

Mieux vaut demander pardon que permission.

8.99 (79 votes)

On dit que certaines vies sont liées à travers le temps… Unies par un ancien appel qui résonne à travers les siècles.

8.99 (59 votes)

On ne lit pas et on n’écrit pas de la poésie parce que ça fait joli. Nous lisons et nous écrivons de la poésie parce que nous faisons partie de la race humaine ; et que cette même race foisonne de passions. La médecine, la loi, le commerce et l’industrie sont de nobles occupations, et nécessaires pour la survie de l’humanité. Mais la poésie, la beauté et la dépassement de soi, l’amour : c’est tout ce pour quoi nous vivons. Écoutez ce que dit Whitman : « Ô moi ! Ô vie !… Ces questions qui me hantent, ces cortèges sans fin d’incrédules, ces villes peuplées de fous. Quoi de bon parmi tout cela ? Ô moi ! Ô vie ! ». Réponse : que tu es ici, que la vie existe, et l’identité. Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime. Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime… Quelle sera votre rime ?

8.98 (440 votes)

J’ai entendu dire que quand on est perdu le mieux à faire c’est de rester où on est et d’attendre qu’on vienne vous chercher, mais personne ne pensera à venir me chercher ici.

8.96 (405 votes)

S’améliorer soi-même c’est de la masturbation. C’est se détruire soi-même.

8.93 (260 votes)

Principe de base : peu importe quand, peu importe qui, peu importe où, n’importe quel homme peut envouter n’importe quelle femme.

8.88 (284 votes)

Ta mère suce des bites en enfer !

8.87 (114 votes)

Dépêche toi de vivre ou dépêche toi de mourir.

8.83 (196 votes)

Ce n’est pas parce que tu parles que tu es intelligent.

8.82 (211 votes)

Je n’ai jamais vu une bête sauvage s’apitoyer sur son sort, un oiseau préférera mourir gelé et tomber de sa branche plutôt que de se plaindre.

8.8 (73 votes)

Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n’est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider si nous le pouvions, les êtres humains sont ainsi faits. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur. Nous ne voulons pas haïr ni humilier personne. Dans ce monde, chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains. Nous pouvons tous avoir une vie belle et libre mais nous l’avons oublié.

L’envie a empoisonné l’esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour nous enfermer en nous-mêmes. Les machines qui nous apportent l’abondance nous laissent dans l’insatisfaction. Notre savoir nous a fait devenir cyniques. Nous sommes inhumains à force d’intelligence, nous ne ressentons pas assez et nous pensons beaucoup trop. Nous sommes trop mécanisés et nous manquons d’humanité. Nous sommes trop cultivés et nous manquons de tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités humaines, la vie n’est plus que violence et tout est perdu.

Les avions, la radio nous ont rapprochés les uns des autres, ces inventions ne trouveront leur vrai sens que dans la bonté de l’être humain, que dans la fraternité, l’amitié et l’unité de tous les hommes. En ce moment même, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde, des millions d’hommes, de femmes, d’enfants désespérés, victimes d’un système qui torture les faibles et emprisonne des innocents.

Je dis à tous ceux qui m’entendent : Ne désespérez pas ! Le malheur qui est sur nous n’est que le produit éphémère de l’avidité, de l’amertume de ceux qui ont peur des progrès qu’accomplit l’Humanité. Mais la haine finira par disparaître et les dictateurs mourront et le pouvoir qu’ils avaient pris aux peuples va retourner aux peuples. Et tant que des hommes mourront, la liberté ne pourra pas périr.

Soldats, ne vous donnez pas à ces brutes, à une minorité qui vous méprise et qui fait de vous des esclaves, enrégimente toute votre vie et qui vous dit tout ce qu’il faut faire et ce qu’il faut penser, qui vous dirige, vous manœuvre, se sert de vous comme chair à canons et qui vous traite comme du bétail. Ne donnez pas votre vie à ces êtres inhumains, ces hommes machines avec une machine à la place de la tête et une machine dans le cœur. Vous n’êtes pas des machines. Vous n’êtes pas des esclaves. Vous êtes des hommes, des hommes avec tout l’amour du monde dans le cœur. Vous n’avez pas de haine, sinon pour ce qui est inhumain, ce qui n’est pas fait d’amour. Soldats ne vous battez pas pour l’esclavage mais pour la liberté.

Il est écrit dans l’Évangile selon Saint Luc « Le Royaume de Dieu est dans l’être humain », pas dans un seul humain ni dans un groupe d’humain, mais dans tous les humains, en vous, vous le peuple qui avez le pouvoir, le pouvoir de créer les machines, le pouvoir de créer le bonheur. Vous, le peuple, en avez le pouvoir, le pouvoir de rendre la vie belle et libre, le pouvoir de faire de cette vie une merveilleuse aventure.

Alors au nom même de la Démocratie, utilisons ce pouvoir. Il faut tous nous unir, il faut nous battre pour un monde nouveau, décent et humain qui donnera à chacun l’occasion de travailler, qui apportera un avenir à la jeunesse et à la vieillesse la sécurité.

Ces brutes vous ont promis toutes ces choses pour que vous leur donniez le pouvoir : ils mentaient. Ils n’ont pas tenu leurs merveilleuses promesses : jamais ils ne le feront. Les dictateurs s’affranchissent en prenant le pouvoir mais ils font un esclave du peuple.

Alors, il faut nous battre pour accomplir toutes leurs promesses. Il faut nous battre pour libérer le monde, pour renverser les frontières et les barrières raciales, pour en finir avec l’avidité, avec la haine et l’intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde de raison, un monde où la science et le progrès mèneront tous les hommes vers le bonheur.

Soldats, au nom de la Démocratie, unissons-nous tous !

8.75 (255 votes)

Il y a une marée dans les affaires des hommes. Prise dans son flux, elle porte au succès. Mais si l’on manque sa chance, le grand voyage de la vie s’échoue misérablement sur le sable. Or, aujourd’hui, nous sommes à marée haute. Prenons le flot tant qu’il est favorable ou tout ce que l’on a risqué sera perdu.

8.75 (222 votes)

Some people steer, some people follow.

8.72 (240 votes)

Un homme qui ne passe pas de temps avec sa famille n’est pas vraiment un homme.

8.66 (221 votes)

Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence.

8.57 (193 votes)

Tu prends la pilule bleue, l’histoire s’arrête là, tu te réveilles dans ton lit, et tu crois ce que tu veux. Tu prends la pilule rouge, tu restes au Pays des Merveilles et je te montre jusqu’où va le terrier.

8.57 (81 votes)

Les idéaux sont pacifiques. L’Histoire est violente.

8.57 (53 votes)

Les lions ne pactisent pas avec les hommes.

8.4 (40 votes)

Je ne peux pas vous promettre de vous ramenez tous en vie dans vos foyers. Mais je fais le serment devant vous et devant le Tout-puissant que lorsque nous irons nous battre je serai le premier à poser le pied sur le terrain et que je serai le dernier à partir et je n’abandonnerai personne sur le sol ennemi… mort ou vivant. Nous reviendrons tous ensemble chez nous. Je le jure devant Dieu.

8.09 (58 votes)

- L’arbre de la liberté a fort souvent besoin d’être nourri avec le sang des patriotes et des tyrans, Thomas Jefferson.
- Le patriotisme est la vertu des brutes, si l’on en croît Oscar Wilde. [Il se mange un coup de poing] Merci de m’avoir donné raison.

7.95 (34 votes)

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