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Les citations véridiques. Les répliques qui ont vu juste et qui énoncent des vérités.

Si tu veux faire d’vieux os dans c’métier soit libre comme l’air, tout ce qui a pu prendre une place dans ta vie tu dois pouvoir t’en débarrasser en 30 secondes montre en main, dès que t’as repéré un seul flic dans le coin.

8.62 (113 votes)

L’amour, c’est deux personnes sur une balançoire. Quand l’un des deux monte, l’autre descend. L’équilibre est toujours rompu. Par le temps, la monotonie, ou les gens comme moi. La seule manière qu’on connaît de soulager la douleur, c’est de faire souffrir l’autre.

8.59 (146 votes)

Dressez vous sans relâche jusqu’à ce que les moutons deviennent des lions.

8.52 (71 votes)

Vous êtes tous une bande foireux et des sales cons… vous savez pourquoi… vous avez pas les couilles pour vous imposer dans ce monde. Il vous faut des vrais mecs comme moi, ouais, il vous faut des vrais mecs comme moi.
Et alors là vous pointez vos sales pattes de rapaces et vous vous dites ça c’est un mauvais garçon. Hmmmmm… vous vous prenez pour qui ? Pour des bons… vous êtes des pas bons… vous savez que vous cacher et mentir. Moi… je n’aurai pas ce problème, moi… je dis toujours la vérité et même quand je mens c’est vrai. Alors dites bonne nuit au mauvais garçon. Ouais… c’est la dernière fois que vous voyez un mauvais garçon fringué comme ça. Attention… place au mauvais garçon… attention… mauvais garçon chaud devant !

8.49 (156 votes)

Voyez cela je vois mon père.
Voyez cela je vois ma mère et mes sœurs et mes frères.
Voyez cela je vois tous mes ancêtres qui sont assis et me regardent.
Et voilà, voilà qu’ils m’appellent et me demandent de prendre place à leurs côtés dans le palais de Valhalla là ou les braves vivent à jamais.

8.26 (220 votes)

Les avis c’est comme les trous du cul, tout le monde en a un.

7.76 (48 votes)

- L’amour est la mort du devoir.
- Ça vous est venu comme ça ?
- Mestre Amemon me l’a dit il y a longtemps.
- Parfois le devoir est la mort de l’amour.

6.36 (12 votes)

N’aie pas pitié des morts Harry, aie pitié des vivants et en particulier de tous ceux qui vivent sans amour.

9.47 (760 votes)

- C’est comme dans les grandes histoires, Monsieur Frodon, celles qui importaient vraiment, celles où il y avait danger et ténèbres. Parfois, on ne voulait pas connaitre la fin, car elle ne pouvait pas être heureuse… Comment le monde pouvait-il redevenir comme il était avec tout le mal qui s’y était passé ? Mais en fin de compte, elle ne fait que passer, cette ombre… Même les ténèbres ne font que passer… Un jour nouveau viendra et lorsque le soleil brillera, il n’en sera que plus éclatant… C’était ces histoires dont on se souvenait, et qui signifiaient tellement… Même lorsqu’on était trop petit pour comprendre… Mais je crois, Monsieur Frodon, que je comprends… je sais maintenant… Les personnages de ces histoires avaient trente-six occasions de se retourner, mais ils ne le faisaient pas, ils continuaient leur route, parce qu’ils avaient foi en quelque chose…
- En quoi avons-nous foi, Sam ?
- Il y a du bon en ce monde… Il faut se battre pour cela.

9.42 (355 votes)

Bonsoir Londres. Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption. J’aime, comme beaucoup d’entre vous le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun.
Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer ce 5 Novembre, jour hélas oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu.
Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans des téléphones et que des hommes armés vont bientôt se mettre en route. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et la où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité.
Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais… Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir.
Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers Adam Sutler, aujourd’hui Chancelier.
Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile. La nuit dernière, j’ai cherché à mettre fin à ce silence ! La nuit dernière, j’ai détruit le Old Bailey pour rendre la mémoire à ce pays.
Il y a plus de 400 ans, un grand citoyen a voulu ancrer à jamais le 5 Novembre dans nos mémoires. Il espérait rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 5 Novembre.
Mais si vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, si vous désirez ce que je désire, alors rangez vous à mes côtés dans un an à compter d’aujourd’hui devant les grilles du Parlement, et ensemble, nous leurs offrirons un 5 Novembre gravé à jamais dans les mémoires !!

9.4 (853 votes)

On me dit de me souvenir de l’idée et non de l’homme, parce que l’homme peut échouer, il peut être arrêté, il peut être exécuté et tomber dans l’oubli alors qu’après 400 ans, une idée peut encore changer le monde. Je connais d’expérience le pouvoir des idées. J’ai vu des hommes tués en leurs noms… et mourir en les défendant. Mais on ne peut embrasser une idée. On ne peut la toucher ou la serrer contre soi. Les idées ne saignent pas, elles ne ressentent pas la douleur… et elles ne peuvent aimer.

9.4 (477 votes)

- Suis-je devenu fou ?
- Oui je pense Chapelier. Mais je vais te dire un secret : la plupart des gens bien le sont.

9.39 (1167 votes)

Mais vous savez, on peut trouver du bonheur même dans les endroits les plus sombres. Il suffit de se souvenir d’allumer la lumière.

9.38 (936 votes)

Quelqu’un a dit un jour que la mort n’es pas la pire chose dans la vie : le pire, c’est ce qui meurt en nous quand on vit.

9.38 (1497 votes)

Elle lui a appris à vivre. Il lui a appris à aimer.

9.37 (1250 votes)

Je veux dire, j’ai tout ce qu’il me faut ici avec moi. J’ai de l’air dans les poumons et quelques feuilles blanches pour travailler. J’adore me réveiller le matin sans savoir ce qu’il va m’arriver, qui je vais rencontrer, où je vais échouer. Il y a quelques jours j’ai dormi sous un pont et aujourd’hui je suis ici, sur le plus grand navire du monde, à boire du champagne en de si bonne compagnie. Je pense que la vie est un don et je ne veux pas le gâcher, on ne sait pas quelle donne on aura le jour suivant, on apprend à accepter la vie comme elle vient, pour que chaque jour compte.

9.37 (1139 votes)

Blair : Moi j’ai couché avec Chuck à l’arrière de sa limousine.
Chuck : Plusieurs fois même.
Nate : Moi j’ai couché avec Serena alors que j’étais avec Blair, une seule fois.
Blair : On se passera des détails… Et toi Chuck ?
Chuck : Moi ?! Je suis Chuck Bass…

9.36 (2669 votes)

La meilleure chose qui m’soit arrivée dans la vie c’est toi, mais tu sais quoi ? Le problème c’est que c’est aussi la pire !

9.36 (1780 votes)

- Quoi ? Mais on ne peut pas ressentir tout ça !
- Si, mais toi tu as la capacité émotionnelle d’une petite cuillère.

9.35 (1273 votes)

J’ai entendu une blague un jour : un homme va chez le toubib, dit qu’il est déprimé, la vie lui parait dure et cruelle. Il dit qu’il se sent tout seul dans un monde menaçant. Le toubib dit : « le remède est simple, le grand clown Paillasse est en ville. Allez le voir, ça vous remontera. » L’homme éclate en sanglots : « mais docteur, qu’il dit, je suis Paillasse. »
Bonne blague, tout le monde rigole, roulements de tambour, rideau.

9.35 (221 votes)

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