Top - Citations de films et séries des années 1950

J’ai 23 ans, des yeux noirs, la forme du visage ovale. Je ne suis plus vierge mais mon casier judiciaire l’est encore. Tu sauras le début en regardant mon passeport et le reste en me prenant dans tes bras. C’est tout simple non ?

L’attrait passionnel de la paire de claques m’a toujours échappé.

À vingt ans, quand on joue à la grande aventure, on a forcement quelques petites émotions, c’est naturel. Ils s’amusaient comme ils s’aimaient, sans regarder leur montre. Ils avaient l’éternité devant eux. À cet âge, l’éternité, c’est l’affaire de quelques minutes.

Si les femmes s’occupaient de savoir d’où vient l’argent qu’elles dépensent, les bijoutiers fermeraient boutique.

Moi, je trafique loyalement. Mes pièces d’or sont fausses, je les transporte dans des voitures dont les numéros sont faux, conduites par des types qui ont des faux papiers. C’est du boulot correct ! De la qualité d’avant-guerre !

- Votre femme est exquise, Monsieur.
- C’est un avis très répandu. Peut-être finirai-je par m’y ranger.

Jeune homme, c’est pas le retour des cendres !! Les Hauffman girls, le bal nègre !! De la gambette et du rythme !!

This is the city - Paris, France. It is just like any other big city - London, New York, Tokyo - except for two little things. In Paris, people eat better. And in Paris, people make love. Well, perhaps not better, but certainly more often. They do it any time, any place. On the left bank, on the right bank, and in between! They do it by day, and they do it by night. The butcher, the baker, and the friendly undertaker. They do it in motion, they do it sitting absolutely still. Poodles do it. Tourists do it. Generals do it. Once in a while even existentialists do it. There is young love, and old love. Married love, and innocent love. That is where I come in. My name is Claude Chavasse. I am what you would call a private eye.

- Alors tu vis dans le quartier ?
- Vivre, c’est beaucoup dire.

Tu sais, tu me fais l’effet d’être à la hauteur, toi !

- Eh, Eh ! Tout est fini, c’est la fin du monde.
- Qu’est-ce qu’il peut comprendre, lui, à la solitude ?

Jim, tu crois que la fin du monde aura lieu pendant la nuit ?

Le pauvre petit, lui n’a personne, il n’a jamais eu personne.

Dans mon monde à moi il n’y aurait que des divagations, comme disent les grands « les choses ne seraient pas ce qu’elles sont », au contraire elles seraient ce qu’elles ne sont pas.

Avec un couteau et un bout de ficelle.

Il discute pas beaucoup mais quand il parle, ça vaut la peine de l’entendre. Il est sincère !

But I can’t make love to a bush!