Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1950

- C’est par ici qu’il est passé.
- Qui donc ?
- Un certain lapin.
- Vous en êtes sûr ?
- Sur de quoi ?
- Qu’il est passé par là.
- Qui donc ?
- Le lapin.
- Quel lapin ?

#1
9.22 (209 votes)

Le chapelier fou : Pour quoi un corbeau ressemble-il à un grain de sel ?
Alice : Mais oui c’est vrai.
Le lièvre de mars : Qu’est ce que vous dites ?
Alice : Pourquoi un corbeau ressemble-il à un grain de sel ?
Le chapelier fou : Mais qu’est ce qu’elle raconte ?
Le lièvre de mars : Mais c’est elle qui a un grain !

#2
9.03 (93 votes)

- Mais tu ne comprends pas ! Je suis un homme.
- Et alors ? Personne n’est parfait.

#3
9.01 (121 votes)

Si vous avez de la peine, si la vie est méchante avec vous, réfugiez-vous au cœur de la forêt, elle ne vous décevra jamais. Chaque plante, chaque fleur, chaque arbre, chaque animal sont la preuve vivante de la toute puissance de Dieu et la forêt vous redonnera courage.

#4
8.26 (76 votes)

Je pense à toi sans cesse, tu es mon bonheur et toute ma joie, je t’aime.

#5
8.24 (41 votes)

Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Qui es-tu ?
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Comment me serais-je doutée que cette ville était faite à la taille de l’amour ?
Comment me serais-je doutée que tu étais fait à la taille de mon corps même ?
Tu me plais. Quel événement. Tu me plais.
Quelle lenteur tout à coup.
Quelle douceur.
Tu ne peux pas savoir.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
J’ai le temps.
Je t’en prie.
Dévore-moi.
Déforme-moi jusqu’à la laideur.
Pourquoi pas toi ?
Pourquoi pas toi dans cette ville et dans cette nuit pareille aux autres au point de s’y méprendre ?
Je t’en prie…
(…)
Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Cette ville était faite à la taille de l’amour.
Tu étais fait à la taille de mon corps même.
Qui es-tu ?
Tu me tues.
J’avais faim. Faim d’infidélités, d’adultères, de mensonges et de mourir.
Depuis toujours.
Je me doutais bien qu’un jour tu me tomberais dessus.
Je t’attendais dans une impatience sans borne, calme.
Dévore-moi. Déforme-moi à ton image afin qu’aucun autre, après toi, ne comprenne plus du tout le pourquoi de tant de désir.
Nous allons rester seuls, mon amour.
La nuit ne va pas finir.
Le jour ne se lèvera plus sur personne.
Jamais. Jamais plus. Enfin
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Nous pleurerons le jour défunt avec conscience et bonne volonté.
Nous aurons plus rien d’autre à faire que, plus rien que pleurer le jour défunt.
Du temps passera. Du temps seulement.
Et du temps va venir.
Du temps viendra. Où nous ne saurons plus nommer ce qui nous unira. Le nom ne s’en effacera peu à peu de notre mémoire.
Puis, il disparaîtra tout à fait.

#6
7.92 (43 votes)

- C’est quoi ces tâches de sang sur vos guêtres ?
- Je me suis coupé en me rasant ce matin.
- Vous vous rasez avec vos guêtres ?
- Je dors même avec mes guêtres.

#7
7.8 (40 votes)

- Je suis Osgood Fielding III.
- Et moi Cendrillon II !

#8
7.75 (30 votes)

- Mais, mais vous êtes un chat !
- Oui, un chafouin !

#9
7.69 (29 votes)

Rien. De même que dans l’amour cette illusion existe, cette illusion de pouvoir ne jamais oublier. De même, j’ai eu l’illusion devant Hiroshima que jamais je n’oublierais, de même que dans l’amour… Comme toi, j’ai essayé de lutter de toutes mes forces contre l’oubli, comme toi j’ai oublié… Comme toi j’ai désiré avoir l’inconsolable mémoire, une mémoire d’ombre, de pierre. J’ai lutté pour mon compte, de toutes mes forces, chaque jour, contre l’horreur de ne plus comprendre du tout le pourquoi de ce souvenir. Comme toi, j’ai oublié. Pourquoi nier l’évidente nécessité de la mémoire ? Écoute-moi, je sais encore : ça recommencera 200 000 morts, 80 000 blessés en 9 secondes, ces chiffres sont officiels, ça recommencera. Il y aura 10 000 degrés sur la terre, 1000 soleils dira-t-on.

#10
7.6 (15 votes)

Et puis, un jour, mon amour, tu sors de l’éternité.

#11
7.27 (12 votes)

Je t’oublierai, je t’oublie déjà, regarde comme je t’oublie, regarde-moi !

#12
7.14 (18 votes)

Grandgil : Mais, des gens qui n’ont pas plus de conscience que ça, moi, ça me révolte. Saloperie, va ! Je te foutrais tout ça en prison, moi ! Parfaitement, pas de pitié, allez, en prison ! Voyous ! Anarchistes ! Mauvais Français ! Et puis d’abord, vos noms, âge, situation de famille et tout ! Allez hop, déballez ! Hop !
Alfred Couronne : Couronne Alfred, né le vingt-trois septembre quatre-vingt-trois à Aubenas, Ardèche. Et Couronne Lucienne, née Greneil, quarante-neuf ans, sans enfant. Employés à la Halle aux Vins jusqu’en mille neuf cent trente sept. Condamnation, néant. Situation militaire…
Grandgil : Suffit, j’en sais déjà trop ! Non mais regarde-moi le mignon là, avec sa face d’alcoolique et sa viande grise ! Avec du mou partout, du mou, du mou, rien que du mou ! Mais tu vas pas changer de gueule un jour toi, non ? Et l’autre là, la rombière. La gueule en gélatine et saindoux. Trois mentons, les nichons qui déballent sur la brioche. Cinquante ans chacun ! Cent ans pour le lot ! Cent ans de connerie !
Marcel Martin : Où est-ce qu’il va chercher tout ça ?
Grandgil : Mais qu’est-ce que vous êtes venus foutre sur terre, nom de dieu ? Vous n’avez pas honte d’exister ?

#13
7.06 (7 votes)

C’est l’heure où le long crocodile
Languissamment s’étire et baille
Et fait glisser les eaux du Nil
Sur l’armure de ses écailles
L’eau du Nil… l’eau du Nil…
Il ouvre gaiement sa gueule mutine
Et sort une griffe ainsi qu’un gros chat
Avale trois poissons qui passaient par là
Et va digérer sur l’onde paline.

#14
7.02 (37 votes)

La nouveauté c’est ce qui ne vieillit pas malgré le temps.

#15
6.96 (13 votes)

Sextus, tu voulais savoir comment combattre une idée. Et bien, je vais te l’apprendre. Avec une autre idée.

#16
6.88 (6 votes)

C’est comme l’intelligence, la folie, tu sais. On ne peut pas l’expliquer, tout comme l’intelligence. Elle vous arrive dessus, elle vous remplit et alors on la comprend. Mais, quand elle vous quitte, on ne plus la comprendre du tout.

#17
6.67 (8 votes)

I don’t know what to do anymore. Except maybe die.

#18
6.67 (8 votes)

Je me souviendrai de toi comme de l’oubli de l’amour même.

#19
6.67 (8 votes)

- Judah, ou bien tu m’aides ou bien tu me combats, tu n’as pas d’autre choix. Tu es soit pour moi soit contre moi !
- S’il faut que je choisisse, alors je serai contre toi !

#20
6.67 (5 votes)

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