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Top - Citations de films et séries des années 1950

- Achille est mort !
- Le courage grec a été vaincu mais non la ruse grecque.

#121
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Agamemnon : Nous sommes vaincus par les hommes et oubliés par les dieux.
Diomède : Jadis je me souvenais d’une date à cause d’une bataille, d’une épidémie, d’une famine. Maintenant, la vie n’est qu’un long cauchemar.
Nestor : Je me battais déjà quand vous n’étiez encore que des enfants, mais jamais comme cette fois-ci…

#122
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- Je crains les Grecs quand ils font des présents.
- Notre sœur a parfaitement raison. Ce monument est maudit et devrait être brûlé immédiatement.

#123
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Antoine, je ne veux avoir avec moi que des hommes gras, au teint fleuri et qui dorment la nuit. Ce Cassius a l’air d’un chien en quête d’un os. C’est signe qu’il pense. Ces hommes-là sont dangereux.

#124
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- Les Ides de Mars sont arrivées.
- Oui, César, mais non point révolues.

#125
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Parle pour moi, mon bras !

#126
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À mesure que l’affection décline et s’altère, elle croit utile de faire des cérémonies. Entre amis, les simagrées ne sont pas de mise.

#127
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Marc Antoine : Lepidus, tous ceux dont les noms sont cochés doivent mourir.
Octave : Ton frère aussi doit mourir. Y consens-tu, Lepidus ?
Lepidus : Oui. J’y consens.
Octave : Veux-tu le marquer, Antoine ?
Lepidus : Seulement si celui de Publius l’est aussi, Octave. C’est le fils de ta sœur, Marc Antoine.
Marc Antoine : Je le condamne à mort d’un simple trait de plume.

#128
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Où est Wamba ? Où est mon bouffon ? Je veux qu’il m’amuse ! Ce sera pour lui une tâche assez ardue !

#129
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- Ainsi vous m’imposez ce choix pénible, mon père ou mon roi ?
- Un choix ? Qui t’impose un choix ? Tu n’as plus de roi et je n’ai plus de fils !

#130
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Le pauvre fou, il les défie tous les cinq !

#131
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- Par le grand Saint Dunstan, notre champion va rendre hommage aux Juifs !
- Non messire, il rend hommage à la beauté, non à la foi, j’en ai peur…

#132
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- Oh, c’est grand ! Quelle réussite ! Qu’il fasse ça encore deux fois et je resterai muet même si sa dame est une pauvre guenon d’Afrique !
- Je voudrais qu’elle le fût !

#133
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Messire, vous demandez plus que nous ne pouvons donner et vous offrez plus que Richard ne peut tenir.

#134
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- Pourquoi, Isaac, me regardez-vous ainsi ?
- Parce que c’est la première fois que je serre la main d’un Saxon amicalement, seigneur Ivanhoé.
- C’est la main de Richard que vous serrez.

#135
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Lorsqu’on m’a mit ce collier de fer, seigneur Ivanhoé, j’avais onze ans et mon père quand il mourut avait encore le sien.

#136
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- Rebecca, dès que je paraîtrai dans la lice, je me devrai de maintenir la renommée de mon nom et de mes armes. Ivanhoé mourra et vous mourrez ensuite dans des souffrances telles qu’on les endure encore dit-on au-delà de la tombe. Si je fais défaut, alors Ivanhoé sera proclamé vainqueur et vous vivrez tous les deux pendant que, moi, je tomberai en disgrâce et perdrai mon rang et mon honneur. Tout cela, je serais prêt à l’endurer si vous me disiez « Bois-Guilbert, je renonce à Ivanhoé pour vous ».
- Dieu décide de notre sort, seigneur.
- Comptez donc avec le Saxon les secondes qu’il vous reste à vivre.

#137
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L’argent a peur quand la force triomphe du droit !

#138
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- Je ne pourrai vivre dans le monde que vous offrez. Il ignore le soleil qui brille et l’air qu’on respire. Il ignore la foi, l’amour et l’honneur.
- Quand vous l’aurez quitté, il ne vaudra plus la peine de vivre.

#139
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Quand on le veut, toutes les ruines se relèvent, monsieur le marquis.

#140
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