Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1950

Ben-Hur : Je n’ai pas de femme.
Cheik Ilderim : Pas de femme du tout ?
Ben-Hur : Non.
Cheik Ilderim : Oh, j’en ai six, non j’en ai sept !
Balthazar : Haha, j’en ai compté huit. Et ça, c’est parce qu’il est en voyage. Chez lui, il en a plus.
Cheik Ilderim : Oui, mon ami, c’est un grand avantage d’avoir plusieurs épouses.
Ben-Hur : J’espère en avoir une un jour.
Cheik Ilderim : Une seule femme ? Oh oh, Un seul dieu, j’l’admets encore, mais une seule femme, ce n’est pas civilisé, héhéhé… Ce n’est pas généreux !

#61
8 (15 votes)

D’ici quelques jours, quatre de tes compagnons seront bannis. Attale, Ptolémée, ainsi que mon fils Philotas et Pausanias…

#62
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Monseigneur, c’est le mien !

#63
8 (15 votes)

Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Qui es-tu ?
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Comment me serais-je doutée que cette ville était faite à la taille de l’amour ?
Comment me serais-je doutée que tu étais fait à la taille de mon corps même ?
Tu me plais. Quel événement. Tu me plais.
Quelle lenteur tout à coup.
Quelle douceur.
Tu ne peux pas savoir.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
J’ai le temps.
Je t’en prie.
Dévore-moi.
Déforme-moi jusqu’à la laideur.
Pourquoi pas toi ?
Pourquoi pas toi dans cette ville et dans cette nuit pareille aux autres au point de s’y méprendre ?
Je t’en prie…
(…)
Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Cette ville était faite à la taille de l’amour.
Tu étais fait à la taille de mon corps même.
Qui es-tu ?
Tu me tues.
J’avais faim. Faim d’infidélités, d’adultères, de mensonges et de mourir.
Depuis toujours.
Je me doutais bien qu’un jour tu me tomberais dessus.
Je t’attendais dans une impatience sans borne, calme.
Dévore-moi. Déforme-moi à ton image afin qu’aucun autre, après toi, ne comprenne plus du tout le pourquoi de tant de désir.
Nous allons rester seuls, mon amour.
La nuit ne va pas finir.
Le jour ne se lèvera plus sur personne.
Jamais. Jamais plus. Enfin
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Nous pleurerons le jour défunt avec conscience et bonne volonté.
Nous aurons plus rien d’autre à faire que, plus rien que pleurer le jour défunt.
Du temps passera. Du temps seulement.
Et du temps va venir.
Du temps viendra. Où nous ne saurons plus nommer ce qui nous unira. Le nom ne s’en effacera peu à peu de notre mémoire.
Puis, il disparaîtra tout à fait.

#64
7.92 (43 votes)

- Comment se fait-il qu’un vieux comme vous soit dans l’armée, ça me dépasse…
- C’est pourtant simple, les jeunots comme toi se faisaient battre !

#65
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Tuer est un péché !

#66
7.92 (14 votes)

Pour tout Juif qui n’a rien d’un Chrétien, je vous montrerai un Chrétien qui n’a rien d’un Chrétien.

#67
7.92 (14 votes)

Nous sommes tous des voleurs mais seuls les voleurs malhonnêtes le nient !

#68
7.92 (14 votes)

- Vous donnez des Chrétiens à manger aux cochons ?
- Bah, ils en mangent bien, eux !

#69
7.92 (14 votes)

- Tes mains sont faites pour bénir, non pour frapper.
- Les mains sont faites pour bénir… Mais les pieds…

#70 7.92 (14 votes)

Pauvre cul !

#71
7.92 (14 votes)

- Tu m’as demandé de te dire la vérité.
- Je vais te donner un conseil, jeune homme. Ne dis jamais la vérité à une vieille femme, et particulièrement si elle l’exige.

#72
7.92 (14 votes)

Celui que j’ai appelé idiot, c’est le pharaon. Ça va nous coûter notre tête.

#73
7.92 (14 votes)

- Akhénaton, il doit mourir. Il a porté la main sur toi.
- Je sais. C’était pour me sauver.
- La loi ne fait pas de telles distinctions.
- Ai-je le pouvoir de changer la loi ?
- Il n’y a pas de limite à la puissance du pharaon.
- La loi est changée.

#74
7.92 (14 votes)

Elle s’appelait Mérit. Elle était serveuse dans une taverne et elle ne savait ni lire ni écrire. Elle m’a aimé toute sa vie et je ne l’ai appris que quand il était trop tard.

#75
7.92 (14 votes)

Le maréchal des logis Fier-à-Bras : Cavalier ! Où allez-vous ? Est-ce que vous vous foutez de moi ?
Fanfan la Tulipe : Imbécile et répugnant je trouve cet exercice.
Le maréchal des logis Fier-à-Bras : A qui croyez-vous donc parler ?
Fanfan la Tulipe : Mais, je viens de vous le dire, maréchal des logis.
Le maréchal des logis Fier-à-Bras : Je vous dresserai, mon gaillard. J’en ai embroché pour moins que ça. N’oubliez pas que j’ai eu trois chevaux tués sous moi.
Fanfan la Tulipe : Hélas, ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers.
Le maréchal des logis Fier-à-Bras : Refus d’obéissance. Désertion dans le service. Tranche-Montagne !
Tranche-Montagne : Oui ?
Le maréchal des logis Fier-à-Bras : Conduis-moi cet homme en prison immédiatement et sans délai. J’vous apprendrai comment je m’appelle, moi, bougre d’andouille !
Fanfan la Tulipe : Oh, joli nom !

#76
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- J’ai décidé, avec l’agrément de votre majesté, que la bataille aurait lieu ici.
- Ici, monsieur le maréchal ?
- Ici, votre majesté.
- Et l’ennemi, lui, qu’a-t-il décidé ?
- Il nous a donné son accord.
- Et où placez-vous votre aile droite ?
- À gauche.
- À gauche… L’idée est plaisante. Et l’aile gauche à droite ?
- Non, sire. Au centre.
- Et le centre à droite comme il se doit. Le dispositif est astucieux.
- Il importe de désorienter l’ennemi. Nous prévoyons dix mille morts en comptant au plus juste. Avec le maréchal de Saxe, vous ne vous tireriez pas à ce prix là.
- Mais, monsieur le maréchal, ai-je l’habitude de marchander la victoire ?

#77
7.92 (14 votes)

Ayez la bonté de vous barrer vite fait !

#78
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J’ordonnais aux porteurs de javelots de prendre une formation analogue à celle de la phalange macédonienne. Laisse-moi te dire que tes Barbares bretons sont les plus valeureux adversaires que j’ai jamais rencontré. Ils se sont empalés sur nos javelots et y sont restés accrochés comme des quartiers de viande. Nous avions du sang jusqu’aux chevilles. Est-ce que tu suis notre tactique Lygie ? Ça te paraît clair ?

#79
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- Je ne suis pas ici pour faire le rigolo, mais mon travail, mon obscure besogne d’auxiliaire…
- Que vous traitez par dessus la jambe, soyez franc.
- Pour un salaire dérisoire, soyez juste.
- Mais qu’est-ce que c’est ? Ma parole, c’est un clairon !
- Oh non, pas du tout, chef. C’est un piston.
- C’est la même chose !
- Ah non, du tout, chef. Permettez, je vais vous expliquer… Voyez-vous…
- Assez ! Clairon ou piston n’a rien a faire ici !
- Oh pourtant, le piston, au ministère de l’enregistrement, hein, dites…

#80
7.92 (14 votes)

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