Top - Citations de films et séries des années 1950

Tu vieillis, mon pauvre Peppone, ta mémoire fiche le camp. Tâche de la rattraper !

- Je vous remercie pour l’hospitalité de votre rocking-chair.
- Je vous en prie.

Mother! Talk to me…! Talk to me… Please… Mother!

Comment ? C’est toi, Cosette ?

Il y a deux moyens pour se procurer de l’argent : en le barbotant ou en épousant une riche héritière. Et quand on veut l’avoir en se mariant, c’est comme à la chasse, il faut connaître les endroits où le gibier abonde.

Il ne manquerait plus que cela !

Je ne sais ce qui me fait le plus plaisir, t’embrasser ou te gifler !

Avec ce collier autour de votre joli cou, il m’est difficile de savoir si vous rougissez de douleur ou de passion !

- Les vautours sont au rendez-vous !
- Avec vous, ils ne mourront pas de faim !

- Grand-mère, voulez-vous indiquer à de pauvres artistes où se trouve le château du comte Ulrich de Hesse
- Vous demandez l’adresse du démon. Suivez la route du marais, l’odeur de la mort vous y mènera !

- Ah, te voilà toi ! Alors, il suffit d’un devoir supplémentaire pour te rendre malade ! Et les parents tombent dans le panneau ! J’serai curieux de savoir ce que tu leur as soutiré comme excuse, moi. Fais voir ton mot.
- J’en ai pas, m’sieur.
- Ah, t’en as pas ! Et tu crois que ça va se passer comme ça ? Ça serait trop facile, mon ami !
- M’sieur, c’était… c’était ma mère, elle…
- Hé ben ta mère, ta mère, qu’est-ce qu’elle a ta mère ?
- Elle est morte !
- Ah… fichtre. Excuse-moi, petit, j’pouvais pas savoir ! Faut toujours se confier à ses maîtres. Allez, file !

- [Menaçant] Regardez-moi dans les yeux !
- [Nonchalant] Oui ? Où sont-ils ?

J’ai l’impression de vous connaître depuis longtemps… depuis toujours… je sais que c’est vous que j’aime… je vous aime…

Il est tellement fort qu’il n’essaye même plus de le prouver.

Pendant douze ans, on a fait chambre commune, mais rêves à part…

Voyez-vous, à la surface règne la terreur. Partout y règne aussi l’iniquité et l’injustice. On se bat, on se dévore, on se taille en pièces. Mais à vingt pieds à peine sous la frange des vagues, le mal est noyé et son influence s’efface.

- Qu’est-ce que tu fais ?
- Le désespoir de mes parents.

Voyou ! Vive la justice sociale !

Y’a presque plus de chaussette autour de ma paire de trous !

In spite of everything, I still believe that people are really good at heart.