Top - Citations de films de l'année 1994

- Garçon! Coffe !
- « Garçon » means boy !

Allez-y, c’est au fond à droite…

Pendant 40 ans j’ai demandé la permission de pisser, je sort pas une goutte si j’l’ai pas demandée.

Ni femme, ni enfant.

Harry, t’es vivant… Et tu tires comme un gland !

Son père était une sorte de… Fermier. C’était un homme très affectueux : il passait son temps à les embrasser et à les toucher, elle et ses sœurs.

- [Au volant de la limousine] Pourquoi vous allez à l’aéroport ? Un avion à prendre ?
- Oh vous avez deviné !!
- Bah ! Votre sac de voyage et le billet d’une ligne aérienne, j’ai compris tout de suite. Et où vous allez ?
- À Aspen !
- Hum Californie hein ? Magnifique ! [Lloyd conduit sans regarder]
- … ?
- J’m’appelle Christmas, Lloyd Christmas.
- Et moi Swanson, Mary Swanson.
- Bah j’compte pas être chauffeur toute ma vie !
- Ah non ?
- Non, avec mon copain Harry, on va ouvrir une animalerie, c’est pour ça qu’on met des ronds de côté.
- C’est très intéressant.
- J’ai des beaux lombrics !
- J’vous demande pardon ?
- Oui les vers de terre, c’est comme ça qu’on les appelle, on se spécialisera dans la vente de tout le matériel d’élevage de vers de terre, terrarium et tout ça, vous voyez ? Bah qu’est-ce qui va pas ? Ha, vous avez peur de voyager en avion.
- Oui c’est p’tet ça.
- [Il se retourne pour parler à sa passagère… sans regarder la route] Ce n’est pas de l’avion qui faut avoir peur Mary, les statistiques nous apprennent que les chances de se faire tuer sont très supérieures pendant le trajet vers l’aéroport…
- Heu…
- [Il conduit sans regarder la route] … C’est là qu’on risque de louper un virage ou alors de percuter un camion citerne et d’exploser !! [Au même moment un camion perd le contrôle et explose à cause de Lloyd] Moi j’ai un cousin enfin… j’avais un cousin et Pfff…
- Lloyd ! Regardez plutôt la route, je vous en prie.
- Ah ouais c’est juste, on n’est jamais assez prudent, c’est vrai il y a tellement de chauffards de nos jours…

- Je me suis débrouillé pour trouver 25 dollars avant qu’on parte. Lloyd a fait ce qu’il fallait.
- On peut savoir comment t’as trouvé 25 billets ?
- J’ai vendu deux trois bricoles à Billy le fils des voisins.
- Au p’tit aveugle ?
- Hi hi Ouais ! Ouais.
- Mais qu’est ce que tu lui a vendu à ce p’tit ?
- Des affaires.
- Quels genres d’affaires ?
- Des photos de footballeurs et de joueurs de baseball… Hum… Pistache.
- PISTACHE ?! T’as vendu mon oiseau mort à un p’tit aveugle ?! Mais… mais qu’est ce… Mais enfin tu… Mais Pistache n’avait même plus de tête !!
- Et alors ? J’ai fait se qu’il fallait…

Les relations qui démarrent dans l’intensité, ça tient pas la route.

Oooh merde, j’en ai marre de toutes ces conneries. J’en ai marre de tous ça. C’est pas normal. C’est pas normal qu’on habite tous les trois ensembles. J’en ai marre de tomber toujours amoureuse de types qu’en on rien à foutre de moi. Je suis pas normale. J’ai besoin qu’on m’aide. J’ai besoin d’être soignée. J’ai besoin d’argent. J’ai besoin d’un massage. J’ai besoin d’m’écrire. J’ai besoin d’avoir des chaussures neuves. Oh, mon dieu, faites quelque chose. Aidez-moi !

- Il te faut un guide médical pour quoi foutre ?
- Pour voir, j’ai jamais fait de piqûre d’adrénaline !
- Quoi, t’as jamais fait d’injection ?
- Nan, j’en ai jamais fait, j’me défonce pas avec des Connasses, et mes amis ils savent se shooter.
- Va chercher la seringue.
- Bah alors laisse moi y aller.
- C’est moi qui t’empêche d’y aller !

Ça roupille, j’vais vous secouer tout ça !

Je crois que ce martien veut communiquer !

Aveugles, nous suivons le sentier de la vie. La petite perle sur ton chemin, la verras-tu ?

You brought her here, you stick in the needle! When I bring an OD-ing bitch to your house, I’ll stick in the needle!

Tu vois c’est ça le problème avec les terroristes, ils n’ont aucun respect pour la vie privée des gens.

Mais je ne suis pas un espion ! Est-ce qu’un espion se pisserait dessus ?

Si vous faites partie des survivants, si vous faites partie de ceux qui n’ont pas été contaminé, cachez vous ! Allez vous mettre à l’abri, ne faites confiance ni à vos proches, ni à vos amis, ni à votre entourage !

Je pouvais vous torturer ou vous baiser et vous ne pouviez pas me dire non. Vous deviez me dire merci. J’adorai ça. J’ai regretté que ça s’arrête. J’ai beaucoup regretté que ça s’arrête.

- What does Marcellus Wallace look like?
- What?
- What country you from?
- What?
- What ain’t no country I’ve ever heard of! They speak English in What?
- … What?
- English! Motherfucker do you speak it?!
- Yes!
- Then you know what I’m saying.
- Yes.
- Describe what Marcellus Wallace looks like!
- What?
- [Jules vise Brett avec une arme] Say “what” again, say “what” again! I dare I double are you motherfucker, say “what” one more goddamn’ time!!
- He, he’s black…
- Go on!
- He’s bald.
- Does he look like a bitch?
- What?!
- [Jules tire dans l’épaule de Brett] DOES HE LOOK LIKE A BITCH!
- Nooooo!!
- Then why’d you try to fuck him like a bitch Brett?
- I didn’t!
- Yes you did, YES YOU DID Brett ! You tried to fuck him. And marcellus Wallace don’t like to be fucked by anybody except Mrs Wallace.