Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1994

Cours Forrest, cours !

#1
9.34 (717 votes)

Je courrais toujours pour aller partout, mais je ne pensais pas pour autant que ça allait me mener quelque part.

#2
9.32 (537 votes)

La mort faisait partie de la vie… J’aurais tellement aimé que non.

#3
9.31 (368 votes)

- Oh quelle merde ! Jamais j’te pardonnerai cette vacherie Vincent ! Ça m’dégoûte c’est répugnant !
- Jules tu connais le philosophe qu’a dit qu’on était à moitié pardonné une fois qu’on avait reconnu ses fautes ? C’est un grand monsieur qui a dit ça ! Tu devrais connaître !
- Et en plus tu te fous de ma gueule avec tes conneries ! L’empaffé qui a dit ça il a jamais eu à ramasser les p’tits bouts de cervelle à cause d’un débile dans ton genre !

#4
9.31 (92 votes)

- La vie c’est comme ça tout le temps ? Ou c’est seulement quand on est petit ?
- … C’est comme ça tout le temps.

#5
9.3 (176 votes)

- Est-ce que tu as trouvé Jésus, Gump ?
- Je savais pas qu’il fallait que j’le cherche !

#6
9.29 (270 votes)

Ce n’est pas parce que tu as une personnalité que tu as de la personnalité.

#7
9.25 (270 votes)

Maman disait toujours : « N’est stupide que la stupidité. ».


- T’es toujours avec ta copine ?
- Ah non, c’est plus ma copine…
- De toute façon, elle se faisait culbuter par tout le monde !
- … Mais c’est ma femme.

#9
9.24 (370 votes)

Timon : Hakuna Matata. Mais quelle phrase magnifique !
Pumbaa : Hakuna Matata. Quel chant fantastique !
Timon : Ce mot signifie, que tu vivras ta vie.
Timon et Pumbaa : Sans aucun soucis. Philosophie !
Timon : Hakuna Matata.

#10
9.24 (108 votes)

Sssplendide !!

#11
9.23 (145 votes)

Dis pas de mal des cochons, ils valent mieux que la plupart des gens.

#12
9.2 (166 votes)

Et oui j’ai connu ton père… et toi aussi, je te connais bien mon garçon. Tu sais, ton père m’a beaucoup parlé de toi au camp, pendant ces 5 ans ou on est restés côte à côte prisonniers à Hanoï, et on a vécu l’enfer tous les deux. Toi au moins… tout ça devrait t’être épargné… enfin on peut l’espérer. Dans une situation comme celle qu’on a dû vivre pendant 5 ans lui et moi… on se crée certaines responsabilités l’un envers l’autre. Si ce n’était pas moi qui… [il se retourne vers la mère de Butch] qui m’en était tiré, c’est le Major Coolidge qui parlerait à mon fils maintenant, à Jim. Mais le destin en a décidé autrement, c’est moi qui te parle aujourd’hui… à toi, Butch. J’ai quelque chose pour toi… [il s’assoit et sort une montre] une montre en or. Tu vois, cette montre appartenait à ton arrière grand-père qui l’avait acheté avant la guerre de 14, dans un magasin à quelques pas de chez lui à Knoxville dans le Tennessee. Pour lui, cette montre-bracelet représentait un pas en avant historique, à l’époque tout le monde portait les montres Gousset, des oignons. Peu après, sa montre au poignet, le caporal Coolidge quitta son Tenessee natal pour les tranchées. Sur tous les fronts de France, de Verdun jusqu’à la forêt noire, cette montre en or fût son plus fidèle compagnon. À la fin de la guerre, il rentra chez lui retrouver ton arrière grand-mère. Il ouvrit son coffre, il déposa sa montre et elle y resta quelques années. Jusqu’au jour ou la deuxième guerre mondiale éclata, qu’il fallut encore une fois ce battre contre les Allemands, et que ton grand-père Dane Coolidge fut mobilisé envoyé au front à son tour. Et ton arrière grand-père offrit la montre à son fils Dane sur un quai de gare, ce fut son dernier cadeau. Dane eut moins de chance que son père, comme tant de Marines, il fut tué. Il tomba héroïquement à la bataille de Wake Island. Tous ces hommes prévoyaient leur destin… lui aussi. Il n’avait plus aucune illusion, personne n’avait la moindre chance d’en sortir vivant, alors ton pauvre grand-père, sachant que l’assaut final allait être donné, alla trouver à l’aéroport un nommé O’Flaherty. Et bien qu’il ne l’eut jamais vu de sa vie, il lui dit « j’ai un fils, c’est un nouveau né. Et je n’ai vu ce fils qu’en photo. Je voudrais… si tu as la chance de rentrer un jour en Amérique que cette montre-bracelet soir remise à mon gosse ». Trois jours plus tard, ton grand-père fut tué. O’Flaherty qui lui avait donné sa parole porta la montre à ta grand-mère, pour qu’elle la donne à ton père quand il serait grand, la voici… [il la montre à Butch pendant un petit temps] Coolidge, l’avait sur lui le jour ou il s’est fait descendre, en volant, sur Hanoï. Ton père fut capturé et envoyé dans un camp de prisonniers. Si les Niaks voyaient sa montre, elle lui serait confisqué ! Il le savait ! Et pour lui, il était clair que cette montre… te revenait de droit, et pour rien au monde il ne voulait que les Niaks mettent leur pattes sur ton héritage, le patrimoine de son fils, alors il décida de la cacher. Comme il n’y avait pas d’autre cachette, il se l’est mise dans l’cul. Fallait avoir du courage pour le faire… se la mettre dans l’cul. Un jour, juste avant que la dysenterie le tue, il me donna la montre, j’ai alors caché ce vieux bout de métal dans mon anus deux années durant. Et… après 7 ans d’absence, je pu retrouver ma famille. Et aujourd’hui… cette montre, je suis venu te la donner.

#13
9.2 (153 votes)

Tu m’as oublié en oubliant qui tu étais.

#14
9.18 (294 votes)

Tu m’as oublié. Tu m’as oublié en oubliant qui tu étais. Regarde en toi Simba. Tu vaux mieux que ce que tu es devenu. Il te faut reprendre ta place dans le cycle de la vie. N’oublie pas qui tu es, tu es mon fils et c’est toi le roi. N’oublie pas qui tu es, n’oublie pas, n’oublie pas.

#15
9.18 (124 votes)

- T’es déjà monté sur un crevettier ?
- Non, mais je suis déjà monté sur un tas d’autres arbres…

#16
9.17 (292 votes)

- Pardon, du thé ?
- Volontiers, oui merci… C’est lui ?
- Non, ça c’est mon chien.
- Oh, bien sûr oui… Parlez-moi de lui, j’le connaissais assez peu finalement.
- C’était un très beau berger allemand, bien dressé, on a tous les papiers.
- Non, non, je parle de votre mari.
- Jacques… ils me l’ont massacré avec la faucille et le marteau, mais si vous l’aviez vu entier, un très bel homme, bien propre, généreux… Pardon du sucre ?
- 16… C’est amusant parce que le film dont j’m’occupe c’est l’histoire d’un type qui tue les gens à la faucille et au marteau, c’est incroyable, non ?
- Oui… Regardez, c’est son dernier cadeau, j’lui ai dit Jacques mais c’est de la folie, il faut vendre la caravane, vous savez ce qu’il m’a dit ? Il m’a dit banco.
- Oh, l’effet que ça m’a fait c’matin quand j’ai ouvert le journal et qu’jai vu qu’on parlait de mon film…
- J’l’entends encore : banco, un vrai capricorne celui-là.
- Remarquez, forcément, j’suis attachée de presse, alors qui dit attaché de presse dit presse.
- Pour ce qu’on s’en servait de cette caravane en plus.
- Mais quand j’pense qu’il a fallu un meurtre pour qu’on parle de mon film, c’est quand même hallucinant, non ? Enfin quand je dis parler, y’a un journal qui en a parlé.
- On s’en ait jamais servi de la caravane… Ah si, une fois.
- Non, deux, y’a eu deux journaux, remarquez qui aurait été en parler, j’ai personne du film… Le metteur en scène, il est à l’asile ; le producteur il est en taule ; le comédien… Ah si, j’crois qu’il est libre, j’crois qu’il a rien tourné depuis.
- Vous croyez qu’on s’en serait servi de la caravane, eh bien non, ça faisait des mois qu’elle traînait dans le garage à prendre la poussière.
- Parce que si je le fais descendre, alors là, j’fais monter la sauce, des gardes du corps, tout l’tralalala, en plus j’vois déjà les titres des journaux : la vedette de Read is Dead descend à Cannes au péril de sa vie, oh, c’est bien ça, vous avez un téléphone ?
- J’lui ai dit : « Jacques, c’est l’hermine ou la caravane », il a dit « banco ».

#17
9.17 (147 votes)

Hakuna Matata !

#18
9.17 (171 votes)

Quand le monde te persécute, tu te dois de persécuter le monde.

#19
9.16 (287 votes)

Ça reste entre toi, moi et monsieur l’obsédé sexuel qui va en chier longtemps avant de terminer sa vie de Pédale.

#20
9.15 (272 votes)

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