Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1996

- Bah… Dis quelque chose !
- J’prépare un fix.

#41
8.51 (77 votes)

Sick Boy par exemple. Il avait décroché en même temps que moi. Pas parce qu’il en avait envie, juste pour me faire chier. Me montrer à quel point c’était facile pour lui. Pour dévaloriser mes efforts. Vicieux l’enculé non ?

#42
8.51 (57 votes)

Parles sans retard, il me tarde à moi de mourir !

#43
8.51 (77 votes)

L’amour bondit vers l’amour comme l’écolier referme le livre mais l’amour et l’amour se quittent comme l’écolier va à l’école.

#44
8.46 (146 votes)

T’as la rondeur d’un croissant au beurre.

#45
8.46 (42 votes)

C’est carrément un psychopathe ! Mais… c’est un ami ! Qu’est-ce qu’on peut faire ?

#46
8.4 (40 votes)

Il y a à peu près 200 ans, des gens qui s’appelaient Washington, Jefferson et Adams, furent accusés de trahison par les britanniques. Maintenant on les appelle des patriotes. Ce jour viendra pour nous aussi.

#47
8.39 (21 votes)

- Je voulais juste que tu sache : tu ne me manques pas encore.
- Ça va venir.

#48
8.39 (21 votes)

- Dis papa, comment ça se passe avec le sexe des filles ?
- J’sais pas, j’fais qu’les enculer !

#49
8.33 (104 votes)

Et les enculés, vous avez entendu ? J’ai un otage finalement ! Alors si ça continu je la tue, n’importe comment, avec des pierres avec un marteau, de toute façon j’en ai rien à foutre je suis fou !

#50
8.33 (26 votes)

- Mais c’est du délire !
- Non, le délire c’est quand on se balade avec un demi melon sur la tête en criant « j’aime les hamsters » !

#51
8.33 (26 votes)

La peste soit de vos deux familles.

#52
8.31 (138 votes)

Dans la jungle tu attendras, un 5 ou un 8 te délivrera.

#53
8.29 (72 votes)

J’ai acheté la demeure d’un amour mais je n’en est pas encore pris possession, et je suis moi-même acquise sans encore en jouir.

#54
8.27 (94 votes)

J’m’appelle Bernie Noël, j’ai 29 ans bientôt 32.

#55
8.26 (76 votes)

You kiss by the Book.

#56
8.26 (76 votes)

C’est facile d’être philosophe quand on a pas le sang qui pourrit.

#57
8.25 (47 votes)

On a tort de juger un homme à ses relations monsieur. Judas avait d’excellentes fréquentations.

#58
8.24 (41 votes)

Je vais tellement t’enculer que quand tu bailleras on verra le jour !

#59
8.24 (132 votes)

Alors je vois bien que la reine Mab vous a rendu visite, l’accoucheuse des songes parmi les fées !
Elle vient, pas plus volumineuse qu’une agate a un index d’échevin, derrière un attelage d’infimes créatures, se poser au bout du nez des hommes dans leur sommeil.
Son chariot est la coque d’une noisette aménagée par un écureuil-menuiser ou l’un de ces vieux vers qui trouent le bois, l’un et l’autre depuis le fond des âges les carrossiers des fées.
Les rayons de ses roues sont faits de longues pattes de faucheux, la capote, d’un élytre de sauterelle, les guides, des toiles les plus fines de l’araignée, les colliers, des iridescentes humides du clair de lune, le fouet, d’un os de grillon, et sa mèche, c’est un fil de la Vierge.
Et le cocher, un moucheron de petite taille, au manteau gris, qui n’est pas la moitié du petit ver rond que l’on extrait du doigt des filles flemmardes.
Voici dans quelle pompe elle va nuit après nuit au galop dans la tête des amoureux, et alors ils rêvent d’amour, sur les genoux des courtisans, qui rêvent aussitôt de courbettes, sur les doigts des hommes de loi, qui rêvent aussitôt d’honoraires, sur les lèvres des dames, qui rêvent aussitôt de baisers, mais que Mab irritée afflige souvent de cloques, car leur haleine empeste les sucreries.
Parfois elle galope sur les narines d’un courtisan et il rêve qu’il flaire une bonne place à briguer.
parfois, avec la queue d’un cochon de dîme, elle vous chatouille le nez d’un curé qui dort, et en rêve il reçoit de nouveaux bénéfices.
Parfois elle voyage sur le cou d’un homme de guerre, il rêve qu’il égorge ses ennemis et de brèches et d’embuscades, de lames d’acier d’Espagne, de rasades profondes de cinq brasses ; mais elle bat le tambour à ses oreilles, et il sursaute, se réveille, et tout apeuré, marmonne une ou deux prières qui embrouille la nuit le crin des chevaux et noue dans les cheveux des souillons crasseuses ces petites touffes démones qu’il est funeste de démêler.
Ah, la sorcière, qui vient peser sur elles, et la première leur enseigne comment soutenir la charge, faisant d’elles des femmes de bon maintien !

#60
8.23 (103 votes)

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