Top - Citations de films de l'année 1996

- On devait partir huit jours, tranquilles, sans les enfants pour une fois. Et voilà…
- Ça va les enfants ? Ça fait longtemps que je les ai pas vus.
- Oh, j’en ai marre en ce moment des enfants. Mickael, lui ça va, ça va toujours mais Kévin, oh écoute, oh, je n’en peux plus, il ne cherche qu’à me contrarier. Tu sais ce qu’il m’a fait mercredi ? Une otite…

Il faut que ça respire une femme, tu sais.

À partir de maintenant, Philippe, s’il te plaît, s’il te plaît, ne fais plus rien pour moi. Ils me coûtent trop cher tes cadeaux. J’en veux plus.

BON ! bon… ce que je te propose : tu viens ce soir, et tu commences à réfléchir à partir de demain par exemple…

Some are born to sweet delight,
Some are born to endless night.

[met l’extraterrestre KO] Bienvenue sur la terre !
[prend son cigare] C’est ce que j’appelle une rencontre du 3eme type.

La mère : La mendicité en amour, ça n’attendrit pas. Ça irrite.
Philippe : Malheureusement, c’est la vérité. Suis-moi, je te fuis, fuis-moi, je te suis.
La mère : Bien entendu.
Yolande : Si moi je te fuis, je suis qui ?
Philippe : Suis-moi, je te fuis, fuis-moi, je te suis.

Tu veux une Rolls tu viens pas ici ! Non, non, non tu vas en Angleterre, là ou on les fait, enfin j’en sais foutre rien ! Tu veux du champagne tu vas voir les Français ! T’as besoin de fric, tu cherche un juif ! Mais si jamais tu veux de la merde, ou une saloperie enterré sous un rocher, ou un secret que personne ne veut dévoiler, alors une seule adresse, ICI, DANS LA CUISINE DU DIABLE ! On est le bureau des merdes trouvées ! Perdu ailleurs et retrouvées ici !

- Personne ne t’a rien dit mais il était très bon ton canard. J’m’y connais tu sais.
- Ah, t’es gentille Yoyo…
- Non, non, non, non, c’est vrai, j’m’y connais. Il était… mchwww… très bon…

Sac à main !

J’étais censé être en perm ce week-end. Mais non ! Je me retrouve à trainer ton gros cul à travers le désert torride avec tes rasta qui dépassent de mon parachute. Il a fallu que tu te ramènes sur terre pour venir jouer les gros bras. [soupir] Et puis c’est quoi cette odeur de merde ! [il frappe son parachute] Je devrais être à un barbecue, j’suis pas en pétard tout va bien, tout va très bien…

T’as pas de copine, tu veux baiser, et si t’en as une, c’est que des emmerdes !

- C’était des détraqués ou quoi ?
- Ah bon ils avaient l’air de détraqués tu trouves toi ? C’était des vampires, les détraqués ça n’explosent pas aux premiers rayons d’soleil même s’ils sont salement pété de la tronche !

- Je vois ton visage !
- Et moi, le tien.

Il ne faut jamais demander qui est là. Toi qui regardes des films d’horreur, tu devrais savoir que ça porte-malheur.

Cet abject rebut de l’humanité mélangé dans un chaos de stupre et d’alcools.

J’ai l’estomac qui fait du yoyo autour de mon trou de balle.

Ses crocs sont tranchants, il aime votre goût. Mieux vaut prendre vos jambes à votre cou.

- Nombre de morts : zéro.
- Ça on verra.

- Pourquoi êtes vous aussi agité ?
- Je bous quand je pense à la patte que ce gros macaque a accroché sur moi.
- Qu’est-ce que vous allez faire ?
- J’vais rester là, j’vais finir cette bouteille et une fois que j’l’aurais finie j’vais la pulvériser sur le melon qui lui sert de tête.