Top - Citations de films de l'année 2000

Regarde ce visage de l’effroi ! OOGABOOGA !

Toi t’as bu d’l’eau de mer avoue !

- Toi et moi, au milieu de la nuit, grappillons des provisions, volons une de ses graaandes barques, ramons jusqu’en Espagne et adieu la compagnie !!
- Ah ouais, c’est ça ton plan, c’est bien, c’est intéressant, et… comment on sort d’ici ?
- Euurh… Toi et moi, au milieu de la nuit, grappillons des provisions…

Miguel, si je croyais en la chance je ne jouerais pas avec des dés truqués !

- Tu combats comme ma sœur !
- J’ai combattu ta sœur, merci du compliment !

Est-ce que vous voyez des Télétubbies ici ? Est-ce que vous voyez une étiquette en plastique agrafée sur ma chemise avec mon nom imprimé dessus ? Est-ce que vous voyez un petit asiatique sans expressions là-dehors assis dans un hélicoptère mécanique qui bouge quand on met des pièces dedans ? Ça, c’est ce qu’on voit dans des magasins de jouets. Vous devez vous croire dans un magasin de jouets puisque vous faîtes des achats pour un enfant prénommé Jebb. L’un de nous a fait une erreur grossière et l’un de nous a fait perdre à l’autre un temps précieux. C’est une galerie d’art, mon ami. Et ça, c’est une œuvre d’art.

Quand on est séduit par quelqu’un, on se trouve toujours une raison de croire qu’on a rencontré l’âme sœur. Pas nécessairement une bonne raison, même une mauvaise peut faire l’affaire.

- Tu te rends compte que dans toute cette immensité, il doit y avoir une autre planète quelque part, identique à la nôtre, ou une autre Françoise est en train de nous photographier comme tu le fais. En fait en photographiant le ciel, tu te photographies toi même.
- Incroyable.
- Ouais… Il y a une infinité de mondes autour de nous, où tout peut arriver, où tout doit arriver.
- Richard ? T’es en train de me sortir toute les conneries que tous les Américains débitent systématiquement aux Françaises… quand ils veulent se les faire.

Tiens, occupe-toi de Claire, je me charge des petites. Allez, secoue-toi ! Qu’est-ce qu’il y a ? Tu veux que je fasse tout ? D’accord, attends-moi ici.

- Tu sais ce que Michel pense de toi ?
- Non.
- Que t’es une connasse avec un pois chiche dans la tête.
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce qu’il l’a dit.

- Il s’est approché lentement… avec son grand poignard en peau de bite…
- Oh, ça va hein…
- C’est avec ça qu’t’as fait jouir Adèle Cauchy ?
- Absolument, oui.

L’avenir c’est nous Charles, ce n’est pas eux. Eux ne comptent déjà plus.

Ne pactise pas avec l’ennemi.

- Pas vrai, Tyrone ?
- Ouais, c’est vrai !

Mais on t’aime pas, nous ! T’es cinglé ! Personne t’as jamais aimé ici ! T’es là, regarde-toi, tu planes au-dessus de nous et ça depuis le début ! Tu brandis toujours la menace de nous plaquer comme si le fait de vivre avec toi c’était un putain d’honneur ! Et nous on doit vivre avec ! Je suis contraint de vivre avec toi, et j’vais peut-être même crever avec toi ! Et ça c’est trop pas juste, bordel !

Vous l’avez peut être pas remarqué mais c’est pas les remords qui l’étouffent.

Retourne dans les verts pâturages.

- Non mais c’est pas contre toi que j’suis au FN.
- Et contre qui alors ?
- Ben… les autres.
- Quels autres ?! On est tous là !

We are not groupies ! We inspire the music, We ARE the music.

Non, je ne l’ai pas emmené à l’hôpital. Pourquoi je m’amuserais à tirer sur un mec pour l’emmener ensuite à toute allure à l’hôpital ? Ça ne va pas avec le fait de lui avoir tiré dessus. De plus, c’est super insultant ! Est ce que je suis du genre à assurer une couverture médicale à ces types ? Est-ce que j’ai la tête d’une assistante sociale ? Qui conduit ?