Top - Citations de films de l'année 2000

- People should know when they’re conquered.
- Would you Quintus? Would I?

Je vais gagner la foule. Je vais lui donner quelque chose qu’elle n’a encore jamais vu.

- Qu’est-ce que tu veux qu’on foute de flingues factices ?
- Ils ont l’air vrais non ? Je te garantis que personne ne fera la différence. Et j’ai des balles à blanc hyper bruyantes au cas où !
- Oh ! Au cas où il faudrait les tuer à coups de décibels ?!

Ton fric, tu l’as perdu. Si tu continues, tu perds autre-chose.

- Quand vas-tu reconnaître que toutes mes idées sont de bonnes idées ?
- Eh bah… c’est marrant parce-que je trouvais que votre escapade dans la jungle, votre safari avec les jaguars, vos mensonges pour que je vous ramène au palais, c’était toutes de très mauvaises idées.
- Évidemment, dit comme ça, tout peut avoir l’air négatif.

C’est une raison de se lever le matin Harry, c’est une raison de devenir mince afin d’enfiler la robe rouge, ça apporte une joie immense, ça met de la lumière dans la vie, voilà.

Regarde ce visage de l’effroi ! OOGABOOGA !

J’adore les femmes, j’adore les lacs émeraudes qui leurs servent de regard, leurs lèvres, j’adore leur sourire et leurs bâillement, les voir manger. Leur peau est si douce c’est du cachemire de la tête aux pieds. La peau d’une femme inspire aux doigts d’un homme la passion de Magellan pour l’exploration. C’est le ventre des femmes qui me rend fou, pas seulement parce que c’est la seule partie du corps de la femme qu’on voit souvent dénudé, le ventre est une invite au plaisir. Vous en êtes si proche, et pourtant si loin. Chez une femme tout vous met sur la voie de sa sexualité. Le petit triangle entre ses jambes est comme la pointe d’un flèche qui vous indique « c’est là, c’est là » ou si vous suivez les courbes gracieuse de ses pectoraux, inévitablement vos yeux son attiré par les globes doré, et le paroxysme du mamelon. La présence de Dieu se manifeste dans les détails. Et le mamelon est son détail le plus exquis…

Toi t’as bu d’l’eau de mer avoue !

- Toi et moi, au milieu de la nuit, grappillons des provisions, volons une de ses graaandes barques, ramons jusqu’en Espagne et adieu la compagnie !!
- Ah ouais, c’est ça ton plan, c’est bien, c’est intéressant, et… comment on sort d’ici ?
- Euurh… Toi et moi, au milieu de la nuit, grappillons des provisions…

Miguel, si je croyais en la chance je ne jouerais pas avec des dés truqués !

- Tu combats comme ma sœur !
- J’ai combattu ta sœur, merci du compliment !

L’avenir c’est nous Charles, ce n’est pas eux. Eux ne comptent déjà plus.

C’est dingue le nombre de gens qui sont morts en ce moment, tu ne trouves pas ?

Ne pactise pas avec l’ennemi.

- Pas vrai, Tyrone ?
- Ouais, c’est vrai !

Mais on t’aime pas, nous ! T’es cinglé ! Personne t’as jamais aimé ici ! T’es là, regarde-toi, tu planes au-dessus de nous et ça depuis le début ! Tu brandis toujours la menace de nous plaquer comme si le fait de vivre avec toi c’était un putain d’honneur ! Et nous on doit vivre avec ! Je suis contraint de vivre avec toi, et j’vais peut-être même crever avec toi ! Et ça c’est trop pas juste, bordel !

Vous l’avez peut être pas remarqué mais c’est pas les remords qui l’étouffent.

Tu conduis toujours comme une vieille bogota allant à l’office du dimanche !

Retourne dans les verts pâturages.