Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2000

J’habite au 11ème étage de la tour American Gardens, sur la 81ème rue ouest. Je m’appelle Patrick Bateman et j’ai 27 ans. Je prends grand soin de moi, en mangeant léger, et en faisant de l’exercice chaque jour. Au réveil si je suis légèrement bouffi, je m’applique des sachets de glace sur mon visage pendant mes abdos du matin. Je peux en faire 1000. Après avoir ôté le sachet de glace, j’applique une lotion désincrustante. Puis, sous la douche, j’utilise tout d’abord un gel moussant, puis un gommage corps au miel et aux amandes et un gommage pour le visage. Ensuite j’applique un masque à la menthe sauvage que je laisse pénétrer 10mn. Pendant ce temps là, je prépare la suite des hostilités. J’utilise toujours un after-shave sans alcool ou avec très peu d’alcool parce que ça irrite et dessèche la peau, alors vous vieillissez plus vite. Une crème reconstituante, suivie d’une crème contour des yeux, et pour finir, une crème protectrice hydratante. Il existe une image de Patrick Bateman, une sorte d’abstraction, mais je n’existe pas vraiment, ce n’est qu’une entité, quelque chose d’illusoire. Et bien que je puisse cacher mon regard froid, que vous puissiez me serrer la main et sentir ma chaire s’agripper à la votre, vous pourriez vous dire que nos vies sont comparables, mais je ne suis tout simplement… pas là !

#61
8.72 (84 votes)

J’pense qu’il y des gens qui ont trop peur pour croire que les choses peuvent changer, et moi j’pense que le monde est pas tout à fait dégueulasse. Mais ça doit être dur pour certains qui sont habitués aux choses comme elles sont même si elles sont moches. D’essayer de les changer alors ils abandonnent et alors là tout le monde perd quelque chose…

#62
8.72 (37 votes)

Les souvenirs sont malléables, ce sont des interprétations, rien de plus. Ils ne font pas le poids face à la réalité.

#63
8.71 (52 votes)

Si votre ami doit souffrir afin que la lumière éclaire votre route révélant sous le vernis du crime un macabre destin vous conduisant à emprunter d’autres voies, c’est que sa douleur est pénétrée d’une vraie noblesse, d’une suprême gloire puissions nous avoir le même sort. Tu as dit pauvre Toby ! j’ai dit pauvre de nous !

#64
8.71 (52 votes)

C’est gros, c’est rond, j’aime bien.

#65 8.7 (44 votes)

- Ça vient ces saucisses ?
- Encore deux minutes Turkish.
[]
- C’est pour aujourd’hui ou pour demain, Charlie ?
- Cinq minutes, Turkish !
- Mais, tu m’as dit DEUX minutes y a CINQ minutes.

#66
8.68 (81 votes)

C’est vrai que je ne suis pas un expert du sauvetage… soit. Mais vu d’ici, j’ai plutôt l’impression d’avoir fait un pas en arrière…

#67
8.68 (58 votes)

- Les hommes devraient savoir lorsqu’ils sont vaincus.
- Le sauras-tu Quintus ? Le saurais-je ?

#68
8.67 (73 votes)

T’aimes les Chians ?

#69
8.66 (87 votes)

Le présent s’est envolé… les fantasmes font parti de la réalité… et on enlève les freins… on pense clairement et pourtant, on ne pense pas… et c’est là qu’on semble bien. On arrête d’essayer de tout maitriser. Des flots tièdes de substances chimiques en nous… on fluctue. Est-ce l’effet de lésions cérébrales ? On est dans les nuages à présent. On est grand ouvert. On est des spationautes en orbite autour de la terre… ouais… tout le monde a l’air… a l’air superbe ici… ivre d’émotion. On désire l’inatteignable. On met notre santé mentale en péril pour quelques instants de clairvoyance. Tant d’idées… si peu de mémoire.
La dernière pensée est tuée par anticipation de la prochaine. On est saisi par un irrésistible sentiment d’amour. On flotte… à l’unisson. On est ensemble. J’aimerais que ce soit vrai. On veut un niveau universel d’harmonie… où on se sentirait à l’aise, avec tout le monde… On est en rythme. Élément d’un mouvement. Un mouvement d’évasion.

#70
8.65 (42 votes)

Ne prends pas cet air affligé, connasse !

#71
8.63 (41 votes)

Boris le hachoir, Boris pare-balle. Aussi tordu que la faucille soviétique et aussi dur que le marteau qui l’accompagne.

#72
8.61 (62 votes)

T’as pas besoin d’un flingue, t’as besoin de moi.

#73
8.59 (75 votes)

- Comment je dois t’appeler ? Je dois t’appeler plomb, dent ?
- Appelle moi Suzanne si ça te fait plaisir.

#74
8.59 (82 votes)

Il faut garder l’esprit en éveil et tout absorber, et si ça fait mal, ça en vaut surement la peine…

#75
8.59 (54 votes)

Je voulais vivre, ne plus être une perdante, et j’ai échoué.

#76
8.59 (68 votes)

Si tu ne sais pas nager, marche sous l’eau.

#77
8.59 (82 votes)

Bouhouhou qu’il est vilain le lama, méchant lama !

#78
8.57 (25 votes)

- Anything to declare?
- Yeah. Don’t go to England.


Tais-toi, imbécile, tant qu’il y a de la vie, y’a de l’espoir !

#80
8.53 (24 votes)

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