Top - Citations de films de l'année 2007

Spider-Pig, Spider-Pig.
Does whatever a Spider-Pig does.
Can he swing
from a web?
No he can’t,
cause he’s a pig.
Look out!
He is the Spider-Pig!

Et si un jour vous vous réveillez et que la journée s’annonce exceptionnellement belle, alors c’est qu’on aura réussi.

Il y a mille façons de mourir, ce qui compte c’est de trouver le moyen de vivre.

Je ne veux pas d’excuse. Je sais ce que tu dois surmonter. On a tous les uns et les autres quelque chose à surmonter. Alors tu ferais bien de te décider, parce que tant que t’auras pas les couilles de me regarder en face et de dire que tu mérites rien d’autre je ne vais pas te laisser t’enfoncer, même si pour ça je dois venir tous les soirs chez toi jusqu’à ce que t’ai fini ton travail. Je sais ce qu’il y a en toi. Tu entends ? Je le sais très bien ! Je vois qui tu es. Arrête de croire que tu vas à l’échec.

Le roi et ses pairs
Ont enfermé la reine,
A bord d’un bateau de plomb.
Nous naviguerons, et par ses pouvoirs
Moi et mes frères voguerons.

Yo ho sur l’heure
Hissons nos couleurs.
Hissez haut, l’âme des pirates
Jamais ne mourra.
Yo ho, quand sonne l’heure
Hissons nos couleurs.
Hissez haut, l’âme des pirates
Jamais ne mourra.

Il y a les morts il y a les vivants,
On ne peut fuir le temps.
Grâce aux clefs de la cage,
Il faut payer le diable
Et piller le levant.
Les morts ne peuvent pas
Faire voile vers les mystères
Du funeste océan.
Mais nous ne sommes,
Et soyons forts,
Et rentrons au port.

Yo ho sur l’heure
Hissons nos couleurs.
Hissez haut, l’âme des pirates
Jamais ne mourra.
Yo ho quand sonne l’heure
Hissons nos couleurs.
Hissez haut, l’âme des pirates
Jamais ne mourra.

Yo ho quand sonne l’heure
Hissons nos couleurs.
Hissez haut, l’âme des pirates
Jamais ne mourra.

You know, babies have fingernails.

Ouais il y a une autre possibilité, c’est que je te mette la main dessus, que je t’en colle une et que je te foute en l’air ton beau plan. T’en dis quoi tête de nœud ?

- Comme le soleil est couché et qu’il ne vous tape pas sur la tête, j’espère que vous ne vous endormirez pas et comme je ne veux pas me faire prendre pour un visiteur, pourriez vous appuyer sur le champignon s’il vous plaît pour que je puisse arriver à bon port, bon port de Marseille !
- Tu devrais mieux mettre ta ceinture, au lieu de faire le mariole.

- Pourquoi es-tu toujours en sueur et crasseux ?
- C’est d’mon âge ! J’suis un ado !

Je suis un casseur. Je casse les prix. Des prix aussi bas, c’est criminel.

Rien n’est impossible. Il n’y a que ce que l’on veut, ce que l’on ne veut pas.

Tu ne peux vivre dans la peur.

- Mais madame ce genre de théâtre n’existe pas.
- Alors inventez-le !

- Comment pouvez-vous, en dépit de ses millions et de ses châteaux, vous, comment pouvez-vous aller vous perdre sans aucune affection ?
- N’est ce pas une manière de me perdre aussi que d’en éprouver ? Vous nous quittez demain, je crois.

Ce sont nos choix qui déterminent qui nous sommes.

Tout le monde se fout de tout le monde, y’a des gens biens partout et des cons partout !

Même les méchants aiment leur maman !

Toi et moi ici sommes entièrement formés d’atomes, qui se retrouvent sur un gros rocher tout rond avec un centre de fer à l’état liquide retenu par cette force qui t’inquiète tant connue sous le nom de gravité, qui continue sa course autour du soleil à une vitesse de cent dix mille kilomètre par heure en traversant la voix lactée à près de mille kilomètre par heure dans un univers qui est peu être en train de tourner en rond à la vitesse de la lumière. Et a travers toute cette folle activité alors qu’on est conscient de notre sort inéluctable, qui est une très belle façon de dire qu’on vas mourir un jour ou l’autre, on créé des liens, les uns avec les autre. Ça peut être pour notre intérêt personnel et ça peut être pour des raisons que tu comprendras quand tu seras plus grand, mais la plupart du temps on veut juste créer des liens sans espérer quoique se soit en échange. N’est ce pas étrange ?

Je pense, Mademoiselle Austen, que vous vous pensez bien supérieure au reste de l’humanité.

- Si vous comptez vous mesurez à l’art de la fiction sur le même pied d’égalité que les romanciers masculins, l’expérience est vitale.
- Croyez-vous ? Et en quoi êtes vous qualifié pour me donner un conseil de ce genre ?
- J’en sais plus sur le monde.
- Ahahaha, oui, infiniment plus, à ce que je sais.
- Assez, en tout cas, pour vous dire que vos vues gagneraient beaucoup à se voir élargies… Par un jeune homme EXTRAordinaire !