Top - Citations de films de l'année 2007

Il a osé vidanger son huile sur mon pied.

- Ahouw !
- Excusez-moi, j’ai voulu faire du zèle devant la petite. C’est la journée « amenez vos enfants au travail ».
- Ah oui, c’est vrai qu’elle a ton œil !

Leur guerre, notre monde.

Faites appel à un souvenir extrêmement fort, le plus heureux de tout vos souvenirs. Laissez-le vous envahir.

Hé Bisounours ! Maintenant on joue plus !

Mettez-vous sur la ligne si vous avez perdu un ami dans une guerre de gang… Restez-y si vous avez perdu deux amis… trois… quatre amis morts… j’aimerai qu’on leur rende hommage… Où que vous soyez, prononcez leurs noms…

Si tu me quittais, je serais tellement malheureuse que tu pourrais pas être heureux.

Tu sais ma belle urne près de l’entrée, celle que j’ai achetée l’été dernier. Il y avait une espèce de merde… matière visqueuse bleue dedans ce matin.

Je vous emmène au commissariat… Où est-ce que c’est ?

- Do you have a good memory for faces ?
- I think so … Why ?
- Because there’s no mirror in our bathroom !

- Pourquoi êtes-vous venu à Londres, monsieur ?
- Pour étudier les lois.
- Bien! Lesquelles ont pour un seul et unique objet ?
- La sauvegarde du droit à la propriété.
- Contre ?
- La plèbe.
- Et l’ordre est ainsi préservé. Parce que nous avons… ?
- [Innocemment] Une grande armée ?
- [Dépité] De bonnes manières, monsieur.

- Vous croyez que cela me sera accordé ?
- Quoi précisément ?
- Vous.
- « Moi », de quelle façon ?
- La vie avec vous ?
- Oui.

Tu comprends vite, mais il faut t’expliquer longtemps !

- C’est qui cette vielle pouffe ?
- C’est ma mère !

Y’a rien de plus ravissant que de voir un égo meurtri sur le beau visage d’un ange.

Pam : C’est quoi ton nom ?
Mike la cascade : Mike la cascade.
Pam : C’est ton nom, ça ?
Mike la cascade : Demande à qui tu veux.
Pam : Hey Warren ! C’est qui ce type ?
Warren : Mike la cascade.
Pam : Mais c’est qui, Mike la cascade ?
Warren : Un cascadeur.

- Tu te souviens l’année dernière, Cécile Rodrick qui voulait pas sortir avec toi ?
- Quoi ?
- C’est parce que je lui avais dit que tu étais gay.
- Pourquoi tu me dis ça ?
- Parce qu’on va mourir.

- Dieu du ciel, cette enfant a besoin d’un mari. Mais qui va lui convenir ? Aucun mortel, et par votre faute !
- C’est parce qu’elle a devant les yeux un modèle de perfection.
- 32 ans que je partage votre lit et la perfection n’a pas encore fait son apparition !
- Pas encore…

On ne peut pas lutter contre le système, mais on peut toujours le foutre en l’air !

Ne pense pas à moi, réfléchis à moi.