Obélix : Ils ont des tonneaux ronds, vive la Bretagne ! Astérix : Obélix, tais-toi, tu vas nous faire remarquer ! Obélix : Tu me parles durement Astérix, tu ne m’aimes plus. Astérix : Oh mais oui, je t’aime, je t’aime mais si tu fais du bruit, tu vas attirer les patrouilles. Obélix : Je t’aime moi, Astérix et si une patrouille essaie de te faire du mal. Eh bien, tu verras. Jolitorax : Oh, une romaine patrouille !
Astérix : Nous devons retrouver nos tonneaux avant que les Romains ne découvrent la potion magique. Le palais est encore loin ? Jolitorax : Non, non, c’est à quelques pieds. Astérix : Quels pieds ? Jolitorax : Les Romains séparent la distance en pas et nous en pieds. Astérix : Des pieds ? Jolitorax : Je dis, il faut six pieds pour faire un pas. Obélix : Ils sont fous ces Bretons.
Obélix : Allez on rentre ! Astérix : Excusez-nous de ne pas rester à votre banquet mais il a faim, à charge de revanche les amis, Obélix j’arrive ! Jolitorax : C’est ce qu’on appelle aussi à la Gauloise !
Et voici Mesdames et Messieurs ma toute dernière invention le Super Color Tryphonar ! Maintenant ouvrez grand les yeux, le moment est historique !
Comment ? Moi, Tournesol je fais le zouave ? Ah, je fais le zouave ! Je ne vous permets pas de me dire des choses pareilles. Ah, je fais le zouave !
- Persifleur oh jamais là quand il le faut ! - J’arrive, j’arrive, je suis un gai luron, je suis un très gai luron ! Oh, oh, oh, c’est vous mon compère, PJ vous aurez peine à le croire mais la cigogne était bien Robin des Bois. - Robin des Bois ! - Hm, Hm, Hm, Hm, Ooh ! - Essaie de te dénouer si tu le peux !
- Sire, si je puisse avancer mon opinion, vous n’êtes point de coutume comme sujet à l’allégresse. Oh oui, je sais, je sais, vous ne comptez plus vos pièces d’Or, ce qui vous mettait toujours en liesse. Sire, les taxes s’amassent, les geôles regorgent et oh bonne nouvelle Sire, Fère Tuck a été incarcéré ! - Frère Tuck ? C’est Robin des Bois que je veux sinistre crétin, je donnerai tout mon Or avoir de l’avoir sous ma main euh as-tu dis Frère Tuck ? - Oui, j’au dit ! - Alors j’ai trouvé ! Je ferai de ce moine une sangsue comme appât pour capturer Robin des Bois. - Encore une attrape ? - Oui, oui, oui, stupide serpent ! Frère Tuck sera mené au gibet sur la grande place du village comprends-tu ? - Mais Sire, vous voulez pendre Frère Tuck ? Un ecclésiastique ? - Oui mon répugnant reptile ! Et quand notre insaisissable héros viendra au secours de ce gros corpulent ecclésiastique, mes gardes seront prêts à agir.
- Dépouillé, je suis dépouillé, Persifleur, tu n’es jamais là quand il le faut ! Euh, dépouillé ! - Bien sûr, elles sont dépouillées !
- Non, non, non et non ! - Je le savais, je le savais que cela arriverait, j’ai essayé de vous mettre en garde mais vous n’avez rien voulu entendre. Ah, ai-je donc fait tant de mal ? Ainsi le veut le destin ! Par ailleurs, vous avez cassé le miroir de votre mère ! - Oh Maman, mon pouce a un triste goût !
- Oui, elle sied ! Ah le Roi Richard ? Je t’ai déjà interdit plusieurs fois de mentionner le nom de mon frère ! - C’est ma langue qui a fourché si je peux m’exprimer ainsi ! - Ce n’est pas certain, sournois serpent ! - Sournois serpent ? - Je te préviens, un seul sifflement de ta langue fourchue, un seul, et tu iras à pied à Nottingham. - À pied ?
- Oh j’ai essayé de vous le dire mais non, non, non, vous restiez sourd ! On ne s’attache jamais de marbre et voyez ce que vous avez fait du château de votre maman ! - Maman ! Assez tire-toi, tire-toi, tire-toi ! - Pitié ! Oh, non ! - Imbécile de python ! Misérable aspic ! - Au secours ! - Anguille en peau de serpent ! - Au secours, il est souverainement fou !
- Oui elle sied ! Ah le Roi Richard ! Je t’ai interdit de mentionner le nom de mon frère ! - C’est ma langue qui a fourché si j’ose m’exprimer ainsi ! - Oui je sais afin que Richard prenne part à cette satané croisade !
Tintin : Mon Dieu, j’ai rêvé ! C’est le vent qui a fait ouvrir la fenêtre ! Le capitaine Haddock : Au secours ! Tintin : Capitaine ! Le capitaine Haddock : Mille sabords, j’ai fait un cauchemar, un affreux cauchemar ! C’est Tournesol ! Le professeur Tournesol : Attention, il est là, il me suit, il arrive ! Il est parti ! C’était Rascar Capac la momie qui brandissait une grosse très grosse boule de cristal.
Le décurion Superbus : Allez, mon casque ! Obélix : Tu as vu Astérix ? Ce qu’il y’a bien, c’est qu’il y’a plein de Romains. Astérix : Oui mais pour l’instant n’y touche pas, ce sont des amis ! Obélix : Les Romains sont nos amis ? Astérix : Pour l’instant nous sommes des Romains. Obélix : Alors nous sommes les amis de nos ennemis, explique-moi Astérix. Astérix : Je n’ai pas le temps, allons les aider. Obélix : Ouuaah !
- C’est un ami ! - Non c’est un ennemi ! - Nous sommes des Romains ! - Plus maintenant compris ? - Hein ? - Et maintenant, ouvre Obélix ! - C’était bien la peine de se donner le mal de la fermer.
Briseradius : Où sont-ils ces gars-là ? Oh non, oh pitié, tout mais pas ça, non, non, non, je ne veux plus les revoir, non, plus les revoir. Astérix : Nous voulons être Gladiateurs. Obélix : Apprends-nous Briseradius.
- Monsieur Astérix, j’ai le droit de dire bonjour à mon petit chien. - Monsieur Obélix, je n’ai pas de temps à perdre. - Et d’abord ne crie pas, tu vas faire peur à Idéfix, reste calme. - Je suis calme. - Moi aussi, je suis calme.
Obélix : Salut Jules, ça va ! Caius Obtus : Les deux Gaulois manquent d’éducation César mais ce sont des combattants terribles, des machines à tuer. La foule va être émerveillée. Obélix : Dis Astérix, ceux-là ce sont nos amis ? Astérix : Je ne le pense pas, Obélix. Obélix : Alors là, je ne comprends plus rien. En Gaule, c’étaient nos ennemis, en Afrique, nos amis. Peut-être que Jules, il va nous l’expliquer. Caius Obtus : Rassure-toi César, on va lâcher les lions, tout va bien se passer.
Jules César : Tu avais raison Caius, c’était un programme exceptionnel, on n’a jamais vu ça à Rome. Astérix : César, sois généreux, accorde ta grâce à ces deux esclaves courageux. Jules César : La bonté de César est infinie ou presque. Caius Obtus : Oh là, oh non ! Jules César : Gaulois, vous êtes libres !