Film - Dragon Ball Z

- Mais que fais-tu ? Tu comptes pulvériser cette planète ?
- Je crois que je n’ai pas le choix, j’irai m’occuper de Son Goku dans l’espace.

- Ce n’est plus la peine de traîner ici, il ne reste pratiquement plus aucun humain. Quittons cette ville, nous allons partir vers le Nord dans une ville où il y’a beaucoup d’habitants.
- Nous avons tout notre temps, installons-nous ici un moment ! Si nous détruisons toute cette planète d’un seul coup, nous n’aurons plus rien pour nous divertir.
- Ce que tu peut-être irritant quand tu t’y mets. Et si on décidait d’en finir une bonne fois pour toutes, histoire de s’amuser.
- Excellente idée !

Son Gohan, réveille-toi et montre-lui quel est ton véritable pouvoir, n’oublie pas que Piccolo t’a entraîné durement pendant un an et s’est sacrifié pour te sauver, pense à tout ce qu’il t’a appris. Je compte sur soi pour sauver la Terre, mon fils.

- Lâche-moi, horrible monstre ! Ton visage rend tellement affreux que tu me donnes des boutons !
- Balivernes ! Bientôt tu feras partie intégrante de cet horrible monstre que je suis !
- Laisse-moi, laisse-moi tranquille, espèce d’horrible monstre !

- Vegeta, en voilà une surprise !
- Tu n’as pas l’air content de me revoir !
- Tu crois que ça m’étonne ? Je te rappelle que tu as décidé de tous nous éliminer. Je n’arrive pas à comprendre comment Yamcha peut rester avec toi.

Cell : Vegeta ?
Son Goku : Maintenant !
Son Gohan : Yaah !
Cell : Non ce n’est pas possible !

Alors ça c’est la meilleure. Ha, Ha, Ha, Ha, Ha, je n’ai jamais rien entendu d’aussi hilarant depuis des années.

Tu n’es qu’un bon à rien. Tu a laissé échapper cette canaille avec mes cinq Boules de Cristal. Pourtant je suppose que s’il avait vraiment pris la fuite, nous l’aurions vu filer. Je vais chercher à l’intérieur du vaisseau et toi à l’extérieur. Je te laisse une heure. Si tu ne l’as pas retrouvé passé ce délai, tu sais ce qui t’attend.

- Tu peux détruire tout ce qui nous entoure, les astres, les planètes mais moi tu ne me détruiras jamais !
- Mais ce n’est pas possible ! Comment peux-tu éviter mes attaques et mes rayons. Mais qui es tu donc ?
- Oh, je ne me suis pas présenté, pourtant je croyais l’avoir fait. Je m’appelle Son Goku le Super Guerrier Légendaire de l’Espace qui a reçu l’ordre de t’abattre pour venger son peuple ainsi que les habitants de la planète Namek qui ont péri de ta main.

Piccolo : Va-t-en vite, Cyborg-17 !
TenshinHan : Il doit avoir la nuque brisée après un choc pareil !
Cell : Ha, Ha, Ha, je t’avais prévenu que j’étais devenu invincible, tu n’as pas voulu m’écouter, tu ne peux t’en prendre qu’à toi, j’ai plus d’énergie qu’il me faut, plus rien ne m’arrêtera. Finissons-en !

- C’est pas possible, tu n’es pas Vegeta ?
- À dire vrai, c’est Super Vegeta qu’il faut m’appeler maintenant.

C’est un véritable monstre, je ne pourrai jamais l’éliminer.

La prochaine fois, tâchez de faire mieux que ça, je vous donnerai peut-être un os à ronger.

Elle est largement au-delà de 8000.

Un enfant de cinq ans aurait réussi à le mettre au tapis en quelques secondes et toi tu l’as laissé filé. Si tu avais été mon fils, il y a longtemps que je t’aurais mis une de ces raclées. Tu nous a déshonorés tous. Tu es comme Krilin et Petit Cœur, ils ont été changés en statue de pierre parce qu’ils ont été faibles. Dans notre univers, seuls les plus forts survivent.

Alors ça ressemble à ça un être parfait, je n’aurais jamais cru ça voir possible un jour, il est encore plus petit qu’avant, qu’il est ridicule.

C-17 : Mais qui est cette créature ?
Piccolo : Il ne le connaît pas et moi qui croyait que les Cyborgs ne savaient pas qui est Cell.
Cell : Le grand jour est enfin arrivé, j’ai bien fait de me montrer patient, je savais que tu me conduirais à eux. Lui ça doit être le Cyborg-17 et elle le Cyborg-18. Tiens celui-là je ne le connais pas et pourtant, il porte la marque de l’Armée du Ruban Rouge, ça doit être un des Cyborgs que le Docteur Gero a crés. Aucune importance, ce n’est qu’un vieux modèle inutilisable.

Je vais manger Dabra, je vais manger Dabra !

Il est bon pour la poubelle. Le Docteur Gero n’aura créé qu’un chef d’œuvre : moi !

Si ce clown croit me faire peur, il peut aller se rhabiller.