Film - L’École des champions

Tu ne vas pas passer ta vie à t’enfuir et à te cacher, tu es un footballeur de talent et ta place est sur un terrain et pour te prouver ballon au pied que c’est moi le numéro un, je veux me mesurer face à toi et à Benjamin !

Tu vois ? Qu’est-ce que je t’avais dit, c’est ça un véritable buteur et maintenant qu’il a marqué une fois, il va vouloir recommencer et on va voir qui est le meilleur.

Ils ont acquis l’esprit d’équipe de Colombus durant le tournoi de Gènes, ils se surpassent pour récupérer le ballon et ensuite le donner à Benjamin, ils lui font entièrement confiance et c’est aussi ce que je vais faire et Benjamin est aussi obligé de marquer un but pour les remercier.

- Bien joué, Benjamin !
- J’ai eu du mal mais ta passe était géniale, merci !
- Il fallait bien montrer à Cesare qu’on est moins nuls qu’il ne le pense !
- Oui, maintenant nous n’avons plus qu’un petit but de retard à remonter et si tout le monde se bat, on va finir par gagner.

Cesare : Et, une minute d’abord, n’oubliez pas qu’il n’y a qu’une place de meilleur buteur et si j’intègre cette équipe, c’est pour le devenir. Est-ce que tout le monde est prêt à l’accepter ?
Benjamin : Moi, oui !
Eric : Et je te préviens, ça sera difficile pour toi.

- Quand vous jouerez contre nous, votre entraîneur vous fera sûrement entrer sur le terrain vert.
- Si tu penses nous faire peur avec ton équipe de minables, tu te trompes lourdement.
- Vous ne m’impressionnez pas du tout même si vous êtes déjà des professionnels et si j’ai la chance de vous rencontrer avec mon équipe de Gloria, je peux vous garantir qu’on va vous faire voir de quelle manière on sait jouer au ballon et je prouverai alors ballon au pied que c’est moi le meilleur et je parie qu’on gagnera.
- Là je trouve que tu t’avances trop, beaucoup trop mais peut-être que nous jouerons une mi-temps pour te faire plaisir si jamais tu atteins la finale mais ça m’étonnerait que tu y parviennes.
- Ah !

Ils se surpassent pour moi alors que je les ai traités durement aux entraînements, ils sont formidables.

Ils se sont tous surpassés pour moi, ils me font toujours confiance, je dois absolument marquer pour eux, il faut que je marque et je réussirai !

Ne te laisse pas influencer par une fille et viens jouer !

Ça m’est égal de jouer dans une équipe ou dans une autre mais je refuse de perdre.

Tu n’es pas le seul à pouvoir marquer des buts.

J’ai assez attendu, je réussirai à marquer et cette fois personne ne m’arrêtera.

- Moi je ne suis pas d’accord pour pardonner les erreurs, si on veut devenir les meilleurs, on ne doit pas en commettre. Et si c’était moi l’entraîneur, je t’aurais mis sur la touche pour un bon bout de temps.
- Calme-toi Cesare ! Il y a des jours où un joueur est plus ou moins en forme et dans une équipe, la faute d’un joueur est rattrapée par les autres.
- Peut-être mais ce n’est pas une excuse.

Le docteur Robson : Wols, apparemment ils ont étudié ta façon de jouer, ils savent que tu anticipes sur leurs shoots. Alors si tu veux arrêter leurs tirs, fais le contraire de ce que tu penses !
Le docteur Robson : Quoi ?
Le docteur Robson : Oui ce n’est pas bête ce qu’il te dit, essaie et on verra bien !
Woltz : Bon !

Tais-toi ! Oui, tais-toi un peu j’ai compris, tu es mort de trouille ! Dis-le ! Tu n’as plus ta place sur un terrain.

Yann a entièrement raison, si tu veux continuer à jouer au football c’est maintenant que tu dois saisir ta chance.

Ah c’est comme ça, vous voulez jouer physiquement et transformer le football en sport de combat. Très bien si vous voulez la bagarre, vous allez vite l’avoir.

Ils jouent au football en misant sur la force. C’est un match parfait pour Cesare et Yann.

- Ne faites pas les imbéciles tous les deux, si vous voulez vous battre, vous le ferez après le match. Pour l’instant, gardez votre force et votre énergie pour battre les Anglais !
- De toute manière, vous savez très bien qu’il faut gagner pour continuer à jouer ensemble sinon vous savez très bien que l’équipe arrêtera, il faut avoir bien ça en tête.

Ils sont tous venus me soutenir !