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Les citations parlant de la vérité.

La marche des vertueux est semée d’obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin, surgir l’œuvre du malin. Béni soit-il l’homme de bonne volonté qui, au nom de la charité se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée d’ombre de la mort et des larmes, car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant !


La peur mène à la colère, la colère mène à la haine… La haine mène à la souffrance !

8.92 (267 votes)

Voyez cela je vois mon père.
Voyez cela je vois ma mère et mes sœurs et mes frères.
Voyez cela je vois tous mes ancêtres qui sont assis et me regardent.
Et voilà, voilà qu’ils m’appellent et me demandent de prendre place à leurs côtés dans le palais de Valhalla là ou les braves vivent à jamais.

8.26 (220 votes)

Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous la leur rendre Frodon ? Alors ne soyez pas trop prompt à dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.

9.36 (522 votes)

J’ai réfléchi à ce que tu m’avais dit l’autre jour, à propos de ma peinture ; j’ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j’ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je n’ai pas pensé à toi. Tu sais ce que j’ai compris ? Tu n’es qu’un gosse. Tu parles sans avoir la moindre idée de ce dont tu parles. Tu n’es jamais sorti de Boston.

Si je te dis de me parler d’art, tu vas me balancer un condensé de tous les livres sur le sujet. Michel-Ange, tu sais plein de trucs sur lui. Sur son œuvre, sur ses choix politiques, sur lui et sur le pape, ses tendances sexuelles, tout le bazar quoi. Mais je parie que ce qu’on respire dans la Chapelle Sixtine, son odeur, tu connais pas. Tu ne peux pas savoir ce que c’est que de lever les yeux sur le magnifique plafond. Tu sais pas.

Si je te dis de me parler des femmes, tu vas m’offrir un topo sur les femmes que tu as le plus aimées, il t’ait peut-être même arrivé de baiser quelques fois, mais tu ne sauras pas me décrire ce que c’est que de se réveiller près d’une femme et de se sentir vraiment heureux.

Tu es un coriace ; si je te faisais parler de la guerre c’est probablement tout Shakespeare que tu me citerais « Une fois de plus sur la brèche, mes amis ! ». Mais tu n’as pas vécu la guerre. Tu n’as jamais tenu contre toi ton meilleur ami. Tu ne l’as pas vu haleter jusqu’au dernier souffle avec un regard qui implore.

Si je te fais parler d’amour, tu vas probablement me dire un sonnet. Mais tu n’as pas connu de femme devant qui tu t’es senti vulnérable. Une femme qui t’aie étalé d’un simple regard. Comme si Dieu avait envoyé un ange sur Terre pour toi. Pour t’arracher aux profondeurs de l’enfer. Et tu ne sais pas ce que c’est d’être son ange à elle. Et de savoir que l’amour que tu as pour elle est éternel. Et survivra à tout. Même au cancer. Et aux nuits passées assis dans une chambre d’hôpital pendant des mois en lui tenant la main, parce que les médecins ont lu dans tes yeux que tu n’avais pas l’intention de te plier aux heures de visite. Tu ignores ce que c’est que de perdre quelqu’un. Parce qu’on ne connaît ça que quand on sait aimer plus qu’on ne s’aime soi-même. Je doute que tu aies déjà osé aimer à ce point.

Quand je te regarde, ce n’est pas un homme intelligent et solide que je vois. Ce que je vois c’est un gosse, culotté, qui meurt de trouille. Mais tu es un génie Will, ça, personne ne le nie. Personne ne pourrait comprendre ce qui est au fond de toi. Mais toi tu présumes que tu sais tout de moi parce que tu as vu une toile que j’ai peinte et ça, ça te permet de disséquer ma vie. Tu es orphelin n’est-ce pas ? Tu crois que je sais quelque chose des difficultés que tu as rencontrées dans la vie, de ce que tu ressens, de ce que tu es, sous prétexte que j’ai lu Oliver Twist ? Est-ce que ça suffit à te résumer ?

Personnellement, j’en ai vraiment rien à foutre de tout ça, parce que je vais te dire, je n’ai rien à apprendre de toi que je n’apprendrai pas dans n’importe quel bouquin. À moins que tu veuilles me parler de toi. De qui tu es. Là ça m’intéresse. Là je suis à toi. Mais c’est pas ce que tu veux faire, hein vieux ? Tu as trop peur de ce que tu pourrais dire. La balle est dans ton camp.

9.36 (381 votes)

Tu t’rappelles quand t’étais gamine, les livres de coloriages ? Moi j’les aimais pas. C’est vrais quoi, si j’ai envie de dessiner une maison, j’veux pas qu’un abruti décide à ma place à quoi elle doit ressembler !

9.35 (770 votes)

Tu ne m’impressionnes pas tu sais. Sous tes grands airs de j’ai tout vu, tout connu, rien ne m’atteint… Je pense que tu meurs de trouille. Je pense que tu vaux beaucoup mieux que ce que tu veux montrer.

9.35 (868 votes)

Alors pour info les cigarettes ne sont dangereuses que si on les allume. Je l’allume jamais. C’est une métaphore. Tu prends l’agent destructeur, tu le places entre tes dents, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te détruire. Une métaphore.

9.35 (330 votes)

Dans la vie, le prince charmant se tire avec la mauvaise princesse…

9.34 (2989 votes)

Avant, je me disais que ma vie était une tragédie. Je me rends compte que c’est une comédie.

9.32 (271 votes)

Ne laisse personne t’empêcher de croire en toi, même pas moi… Si tu as un rêve, tu dois le protéger. Tu verras que les gens incapables d’y arriver feront tout pour te décourager. Si tu veux vraiment quelque chose, t’as qu’à te battre, point-barre.

9.3 (896 votes)

Des fois j’me dis que j’suis pas née dans le bon sens, genre j’suis sortie d’ma mère à l’envers et les mots qu’j’entends j’les entends à l’envers, les gens que j’devrais aimer j’les hais et les gens qu’je hais…

9.29 (1219 votes)

Je souhaiterais vous faire part d’une révélation surprenante, j’ai longtemps observé les humains, et ce qui m’est apparu quand j’ai tenté de qualifier votre espèce, c’est que vous n’étiez pas réellement des mammifères… Tous les mammifères sur cette planète ont contribué au développement naturel d’un équilibre avec le reste de leur environnement, mais vous les humains vous êtes différents. Vous vous installez quelque part, et vous vous multipliez, vous vous multipliez, jusqu’à ce que toute vos ressources naturelles soit épuisées, et votre espoir de réussir à survivre, c’est de vous déplacer jusqu’à un autre endroit…
Il y a d’autres organismes sur cette planète qui ont adopté cette méthode, vous savez lesquels ?… Les virus. Les humains sont une maladie contagieuse, le cancer de cette planète, vous êtes la peste et nous, nous somme l’antidote .

9.29 (200 votes)

Soit on meurt en héros, soit on vit assez longtemps pour se voir endosser le rôle du méchant.


Je suis un serviteur du Feu Secret, détenteur de la flamme d’Anor. Le feu sombre ne vous servira à rien, flamme d’Udûn. Repartez dans l’ombre ! Vous ne passerez pas !

9.26 (330 votes)

Gandhi disait que tout ce qu’on fait dans la vie est insignifiant mais qu’il est très important de le faire. Je serais assez d’accord avec sa première phrase. Mickael, tu sais à quel jour je pense. À 22 ans Gandhi avait 3 enfants, Mozart 30 symphonies et Buddy Holly était mort. Une fois tu as dis : « Nous laissons une part de nous même sur tout ce que nous touchons ». Est-ce que c’est vrai pour tout le monde ? Ou c’était juste de la Poésie à deux balles ?

9.26 (860 votes)

La douleur peut se manifester sous différentes formes. Ça peut être un petit pincement, une légère irritation, une douleur lancinante, une douleur que l’on supporte tous les jours. Et il y a le genre de douleur que l’on ne peut pas ignorer. Une douleur si grande, qu’elle bloque tout le reste. Et fait disparaître le reste du monde ! Jusqu’à ce que la seule chose à laquelle on pense, c’est à quel point on souffre ! La façon dont on gère notre douleur dépend de nous. La douleur… On l’anesthésie, on la surmonte, on l’étreint, on l’ignore… Et pour certains d’entre nous, la meilleure façon de gérer la douleur, c’est de foncer tête baissée. La douleur… Vous devez arriver à la surmonter. Espérer qu’elle disparaisse d’elle-même, espérer que la blessure qui la cause se referme. Il n’y a pas de solutions, pas de remèdes miracle. Vous devez respirer à fond et attendre qu’elle s’estompe.
La plupart du temps, on peut gérer la douleur. Mais parfois, la douleur s’abat sur vous quand vous vous y attendez le moins. Elle vous attaque en traître et ne vous lâche pas ! La douleur… Vous devez juste continuer à vous battre parce que de toute façon vous ne pouvez pas l’éviter. Et la vie en fournit toujours plus !

9.24 (1231 votes)

J’ai des mains faites pour l’or et elles sont dans la merde !

9.23 (860 votes)

Happiness only real when shared.


On est jeunes, on est censés passer notre temps à boire. On est censé se conduire mal et on est censé baiser comme des malades. On est là pour, pour faire la fête, c’est ça être jeune. Y’en a quelques un qui vont faire une overdose, ou qui vont péter les plombs. Mais Charles Darwin a dit : « On ne fait pas une omelette sans casser quelques œufs ». C’est d’ça qu’il s’agit au bout du compte : Casser des œufs. Et casser des œufs ça veut dire se déchirer la tronche avec un cocktail de dur.
Si vous pouviez seulement vous voir en ce moment, ça me fend le cœur. Vous portez des cardigans ! On était les rois du monde. On a foutu notre merde plus fort et bien mieux que toutes les générations qui nous ont précédé. Nous étions beaux, tellement beaux ! On est des paumés. Je suis un paumé. Et j’ai l’intention de rester un paumé jusqu’à 29 ou 30 ans et peut-être même au-delà si j’ai envie. Je préfère baiser ma propre mère plutôt que de laisser cette fille ou qui que ce soit me priver de ma liberté.


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