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Tag - mort

Les citations qui parlent de la mort.

Lorsque l’on meurt ou que l’on souffre d’une horrible perte nous traversons tous cinq étapes de la peine. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. On s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n’y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d’une perte, d’un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir c’est que ça peut changer. C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait si mal, qu’on ne peut plus respirer, c’est comme ça qu’on survit. En se rappelant, qu’un jour, qu’en quelque sorte, vous ne le ressentirez plus de la même manière, ça ne fera plus aussi mal. Le chagrin vient à chacun en son temps, de sa propre manière. Alors le mieux que l’on puisse faire, le mieux que chacun puisse faire est de recourir à l’honnêteté. Le truc vraiment merdique, la pire partie du chagrin est que vous ne pouvez le contrôler. Le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos sentiments quand ils viennent. Et les laisser partir quand on peut. La pire chose c’est qu’à la minute où vous pensez l’avoir surmonté, ça recommence. Et toujours, à chaque fois, vous ne pouvez plus respirer. Le chagrin comporte cinq étapes. Elles nous semblent à tous différentes, mais il y en a toujours cinq : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation.

9.23 (3088 votes)

Mon amour, demain je pars pour un grand voyage, et même si je suis triste, je pars heureuse et sereine car j’ai appris avec toi à ne pas avoir peur de ce que nous réserve l’inconnu. J’ai appris que de montrer nos fragilités c’était nous rendre plus fort. J’ai appris à ne pas avoir peur d’aimer, avec toi Zac, j’ai appris à vivre, tu vas tant me manquer et pourtant je sais, je sens en moi que nous allons nous retrouver alors peu importe le nombre de jours ou de semaines qui nous sépare de ce moment là puisque nous nous retrouverons pour longtemps. En attendant, je te laisse un peu de mon odeur et cette petite lumière pour que tu n’aies plus jamais peur du noir tant que tu seras tout seul, tant que je ne serai pas à côté de toi. Je t’aime et je t’attends. Ton étoile, Sarah.

9.2 (4675 votes)

Voyez cela je vois mon père.
Voyez cela je vois ma mère et mes sœurs et mes frères.
Voyez cela je vois tous mes ancêtres qui sont assis et me regardent.
Et voilà, voilà qu’ils m’appellent et me demandent de prendre place à leurs côtés dans le palais de Valhalla là ou les braves vivent à jamais.

8.26 (220 votes)

Il me manque. C’est atroce, il me manque tellement. C’est pas par vagues, c’est constant. Tout le temps, sans répits.

9.2 (3341 votes)

La marche des vertueux est semée d’obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin, surgir l’œuvre du malin. Béni soit-il l’homme de bonne volonté qui, au nom de la charité se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée d’ombre de la mort et des larmes, car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant !


Que la paix accompagne ton envol.
Et que l’amour t’accueille à ton arrivée.
Que ton voyage se fasse sans encombre,
En attendant le dernier qui nous mènera sur terre.
Puissions-nous nous retrouver.

9.53 (1042 votes)

Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous la leur rendre Frodon ? Alors ne soyez pas trop prompt à dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.

9.36 (520 votes)

La mort est paisible, simple. C’est beaucoup plus difficile de vivre.

9.19 (1133 votes)

Vous croyez que seuls les vivants sont en mesure de porter un jugement sur vous parce que les morts n’ont aucun emprise sur votre âme ?

9.32 (93 votes)

La mort est une journée qui mérite d’être vécue.

9.4 (884 votes)

N’entre pas docilement dans cette douce nuit,
Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour,
Hurler, hurler à l’agonie de la lumière,

Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes,
Car ses mots n’ont point forgé de foudre,
Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit,
Hurle, hurle à l’agonie la lumière.

9.29 (159 votes)

Je n’ai jamais prêté d’importance à la façon dont j’allais mourir, mais mourir à la place de quelqu’un que j’aime semble être une bonne façon de partir !

8.91 (1183 votes)

Yu gonplei ste odon (Ton combat est fini).

9.51 (1183 votes)

Je n’ai pas peur de mourir, j’ai peur de ne pas avoir assez vécu.

9.41 (1373 votes)

J’ai réfléchi à ce que Chris aurait voulu que je dise aujourd’hui, aux conseils qu’il m’aurait donné, sûrement un truc du genre : « Je vais te dire, tu t’en branles, ces gens là ils savent déjà tout de moi parle leur de quelqu’un d’autre ! » Alors j’ai décidé de vous parler d’un des héros de Chris, cet homme, c’est le capitaine Jo Kittinger. En 1960, à bord d’un ballon, le Capitaine Kittinger fit une ascension de 32 kilomètre dans la stratosphère, armé d’un simple parachute, il s’élança dans les airs. Sa chute dura quatre minutes et trente six secondes, il atteignit une vitesse de 988 kilomètre heure avant d’ouvrir son parachute à 5000 mètres du sol. Personne n’avait réalisé un tel exploit avant lui et ça n’a jamais été réitéré, il l’a fait parce qu’il le pouvait, c’est tout. C’est pour ça que Chris l’aimait, parce que Chris était quelqu’un qui disait « Oui ». Il disait oui à tout. Il aimait tout le monde. Je n’ai jamais connu de garçon… d’homme, aussi courageux. Et ça c’était… Il s’élançait d’un ballon dans les airs, chaque jours, parce qu’il pouvait, parce qu’il était en vie, et c’est pour ça… Et c’est pour ça qu’on l’aimait tous…

9.38 (950 votes)

Avant, je me disais que ma vie était une tragédie. Je me rends compte que c’est une comédie.

9.3 (261 votes)

- C’est une bonne situation ça scribe ?
- Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée… Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie… je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…

9.25 (3653 votes)

Face à la mort celui qui méritera de vivre et celui qui vivra sont deux choses bien différentes.

9.25 (97 votes)

- Tu t’en sors très bien.
- Marc…
- Christina va bientôt revenir.
- Marc…
- Elle va bientôt revenir, on va te stabiliser et tu vas t’en sortir ok ?
- Marc…
- Accroche toi, elle devrait plus tarder. Elle sera la, d’une minute à l’autre !
- Marc… Je vais mourir.
- Quoi ? Non arrête.
- Si… Je vais mourir… S’il te plaît, dit… dit à Mérédith que je l’aime et que… qu’elle a été une sœur géniale et puis… dit à mon père…
- Non ça va aller, tu vas pas mourir !
- Tiens moi la main.
- Je ne vais pas te tenir la main parce que tu ne vas pas mourir !
- Tiens moi la main !
- Non ! Tu vas pas mourir ! C’est hors de question, tu mourras pas aujourd’hui… Je t’aime !
- Non… T’es pas obligé de le dire parce que je l’ai dit !
- Si… Je t’aime, je t’aime, je t’aime depuis le début, je t’ai toujours aimé et je t’aimerai toujours.
- C’est vrai ?
- Oui… Oui tu vois t’as pas le choix, il faut que tu t’accroches parce que on va… On va se marier, et tu vas devenir un grand chirurgien et on va avoir deux enfants… non trois.
- So… Sophia aura… des frères et sœurs
- Oui ! Oui, une sœur et deux frères, et…
- C’est génial.
- Et on va être heureux Lexie, on va être heureux tous les deux, on va avoir une vie merveilleuse ! On va être tellement, tellement heureux ! Alors t’as pas le droit de mourir, tu peux pas mourir… Parce qu’on est fait pour être ensemble, c’est comme ça… On est fait l’un pour l’autre
- F… fait l’un pour l’autre…
- Je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime… je t’aime…

9.17 (921 votes)

J’ai vu tant de choses, que vous, humains, ne pourriez pas croire… De grands navires en feu surgissant de l’épaule d’Orion, j’ai vu des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l’ombre de la Porte de Tannhaüser. Tous ces moments se perdront dans l’oubli, comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir.

9.05 (180 votes)

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