Top - Citations de films et séries des années 2010

Mais vous avez tous une batte de baseball dans cette famille ! Et déjà, est-ce que vous jouez au baseball ?

- Tu es en retard.
- Il te manque un œil.

Toi et moi on ne pourra jamais être simplement amis.

Parfois la vérité peut faire passer tout le reste pour un mensonge.

N’oublie pas que c’est l’amour fou entre nous, alors si tu as envie de m’embrasser, il ne faut pas te gêner.

- Ça vous ennuierait de me laisser respirer un peu ?!
- Oh enfin t’exagères, on te colle pas à ce point.
- Ah oui ? Alors, comment je sais que tu as mangé un cheeseburger aujourd’hui ?

Les filles riches volent, les mignonnes mentent, les malines jouent aux imbéciles et les pauvres tâches s’évertuent à vouloir égaler les trois autres.

- T’es sûr de vouloir faire ça ?
- T’es le premier à te plaindre qu’il ne se passe jamais rien dans cette ville.
- Je voulais passer une bonne nuit avant l’entrainement de demain.
- Ouais, t’as raison parce que rester assis sur le banc de touche c’est épuisant.
- Nan, parce que cette année je vais être sélectionné. Je serais titulaire et je jouerais dans l’équipe.
- Ça c’est positif, tout le monde doit avoir un rêve… Même si y’a aucune chance qu’il se réalise.
- Juste par curiosité, quel moitié du corps on cherche ?
- … Euuumm… J’y avais même pas pensé.
- Et eu… Si le meurtrier de cette fille est toujours dans le coin, hein ?
- Eu… Ça non plus j’y avais pas pensé ?
- D’accord, c’est rassurant… De savoir que tu as tout prévu dans les moindres détails.

C’est pas des morts qu’il faut avoir peur, c’est des vivants…

Écoute bien, je sais que je t’ai déçu, tu penses peut-être que j’ai pas droit à ton indulgence. Mais tu vas m’accorder ton pardon tu vois Edgar parce que quand on aime quelqu’un, on aime tout de cette personne. C’est ça l’amour, on aime jusqu’à ses égarements. Écoute je t’en prie, tu dois tout aimer de ce que j’suis, tu m’entends, pas juste les bonnes choses, mais les mauvaises aussi, celles que tu trouves adorables, mais aussi celles que tu trouves détestables.

Félicitations. Tu viens de tuer un magnifique set de table !

J’me souviens la première fois ou je t’ai vue. T’avais fait de petites nattes au lieu d’une seule. J’me souviens, en cours de musique, quand la prof a dit « Qui connaît la chanson de la vallée ? » et que t’as levé la main. Après ça je… je t’ai regardé tous les jours rentrer chez toi. Tous les jours…

- Mais qu’est-ce que tu as voulu prouver ?
- Que ce qui ne tue pas rend plus fort.

Tu ne supportes pas qu’on t’appelle « Princesse »… Princesse ?

Whatever it takes.

Mon rapport le plus étroit je l’ai avec mon Blackberry… Heureusement il vibre !

- Tu corresponds à mes critères esthétiques. Tu as la beauté diaphane et la désespérance d’une beauté tragique. Tu comprends ce que je suis en train de te dire ?
- Tu veux me sauter ?
- Peux être mais je le dis d’une façon poétique.

Si tu pouvais m’entendre, je dirais que nos empreintes ne s’effacent jamais des vies que nous avons touchées.

Pas jamais sauf que… Sauf que commencer par le dessert, par peur des astéroïdes, c’est oui, mais embrasser un gars que tu sembles trouver de ton goût une petite fois avant de disparaitre dans l’inconnu d’une nuit new-yorkaise avec, à tes côtés, un panda que tu connais à peine, c’est non.

- Tu l’aimes ce garçon, beaucoup ?
- Je l’aime plus que ça, est-ce que je suis folle ?
- Et bien un peu… Mais tu sais Ronnie, l’amour ça fait perdre la tête…