Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1982

- Tu crois que j’ai plus rien dans le ventre ?
- Oh, c’est pas ça. Écoute, je vais te dire. Il y a trois ans, t’étais un boxeur fabuleux. T’étais dur et méchant. Et t’avais une mâchoire qui encaissait tout. Et puis… il t’est arrivé la pire des choses, ce qui peut arriver de pire à un boxeur : tu t’es embourgeoisé.

#101 6.92 (16 votes)

C’est une catastrophe.

#102
6.9 (19 votes)

Mais quand tu vas passer chez une fille à neuf heures, vas-y toujours une demi-heure avant. La fille est jamais prête. Elle est soit sous la douche, soit en train de commencer à s’habiller. De toutes façons, elle est à moitié à poil. En arrivant une demi-heure avant, tu gagnes un temps fou !

#103
6.88 (6 votes)

Pierre, Pierre, je suis coincée dans l’ascenseur !

#104
6.84 (28 votes)

- Pour la première fois de ma vie, j’ai peur !
- J’ai peur, moi aussi. Y’a aucune honte à avoir peur.
- Pour moi, si.
- Pourquoi, c’est humain, non ?

#105 6.82 (12 votes)

Eux ont versé le premier sang pas moi.

#106 6.82 (12 votes)

Ça rentre pas dans les cases !

#107
6.8 (40 votes)

I don’t think you understand. I didn’t come here to rescue Rambo from you, I came here to rescue you from him.


Allez hop, à Créteil, hop !

#109
6.67 (35 votes)

Et on dit que c’est moi qui suis teigneux…

#110 6.67 (17 votes)

Étrange sensation que de vivre dans la peur… voila ce que c’est d’être un esclave.

#111
6.67 (5 votes)

Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu sais bien que tu ne dois pas monter ! Retourne à la cave, descends ! Tu m’entends ? Descends ! Vite !

#112
6.67 (5 votes)

- Comment es-tu devenue si dure ?
- Je suis la femme d’un boxeur.

#113 6.67 (5 votes)

C’est pas une statue qu’il faut lui offrir, c’est une paire de couilles !

#114 6.67 (5 votes)

- 38 millions d’hommes ont voté pour lui !
- C’est pas parce que 38 millions de mecs font la même connerie, que c’est pas une connerie !

#115
6.67 (8 votes)

Entre l’époque où les océans ont englouti l’Atlantide et l’avènement des fils d’Arius, il y eut une période de l’Histoire fort peu connue dans laquelle vécu Conan, destiné à poser la couronne d’Aquilonia, ornée de pierres précieuses, sur un front troublé. C’est moi, son chroniqueur, qui seul peut raconter son épopée. Laissez-moi vous narrer ces jours de grandes aventures.

#116
6.52 (13 votes)

Pierre, je vous jure : j’ai touché à rien !

#117
6.51 (33 votes)

Entre vivre pour rien et mourir pour quelque chose nous sommes des soldats.

#118 6.5 (10 votes)

J’aurais du me dégoter quelqu’un dans votre genre, un petit connard bien musclé qui aime faire la cuisine.

#119
6.43 (4 votes)

Courfeyrac : Messieurs, mon ami Marius Pontmercy !
Marius : Bonjour.
Courfeyrac : Lui c’est Enjolras.
Enjolras : Alors tu voudrais être des nôtres ?
Courfeyrac : Combeferre !
Combeferre : Pour vous servir. Si tu es un ami de la liberté nous sommes appelés à faire de grandes choses ensembles !
Courfeyrac : L’Aigle ! On l’appel Bossuet !
Bossuet : Tout ça parce que je signe « L’Aigle de Meaux ». Ah méfie toi il ne m’arrive jamais rien de bon !
Courfeyrac : Bahorel !
Bahorel : Je te salue l’ami ! Ma devise :
Tous : Avocat ? Jamais !
Bahorel : C’est pour ça que tu ne vas jamais à la faculté de droit !
Marius : Tu y es inscrit ?
Bahorel : En théorie, seulement en théorie !
Courfeyrac : Et voilà Grantaire.
Grantaire : Parmi tout ces idéalistes, je suis celui qui ne croit en rien.
Courfeyrac : Ah ne l’écoute pas, il croit Enjolras c’est déjà pas si mal.
Grantaire : De Courfeyrac !
Courfeyrac : Non non non pas « De Courfeyrac » ! J’ai abandonné la particule lorsque j’ai perdu mes illusions.
Enjolras : Parce que les partis acceptent de transiger, il appartient aux sociétés secrètes d’être irréductibles ! Vive les amis de l’ABC !
Tous : Ouais !
Marius : C’est une société secrète ?
Enjolras : Semi secrète. Parce que la police ne nous prend pas encore au sérieux. Mais ça viendra !
Tous : Ouais !
Enjolras : Nous avons été la France des Droits de l’Homme ! Nous avons appris la liberté à l’Europe ! À Berlin, à Naples, à Madrid ! Des hommes ont pleurés en chantant la Marseillaise !
Combeferre : Bravo !
Enjolras : Le bonheur est une idée neuve en Europe !
Courfeyrac : Merci Saint-Juste !
Enjolras : Nos père ont inscrit au frontons des monuments : « La liberté ou la mort ! ». Préférons le tombeau à l’asservissement. Le moment approche. En chassant Louis-Philippe, nous proclamerons la République. La République seule s’occupera de ceux qui souffrent, de ceux qui ont faim, en un mot des misérables ! Nous ne voulons plus de misérables !

#120
6.43 (4 votes)

Haut de page