Top - Citations de films de l'année 1998

Le sexe, ça se passe dans les chambres, ça se décide dans les couloirs.

- Et Viviane, tu trouves ça comment ?
- Oui, c’est bien. Ça fait fée. C’est classe Viviane, ça fait pas du tout pétasse.
- Oui, c’est ça surtout, ça fait pas pétasse. ça c’est quand même super important, j’estime. N’empêche, c’était pas du gâteau… De se décider, j’veux dire. Un cauchemar ça a été.
- Non, non, mais je comprends très bien. C’est vite fait de faire pétasse.
- Les gens se rendent pas compte… Si, ils doivent s’en rendre compte quand il faut qu’ils choisissent le prénom de leur gosse.
- Et Dominique, il savait tout depuis le début ?
- Oui et il a été bien, hein ? Il a jamais cafté… Ouais, c’est c’que j’me disais tout à l’heure au cimetière. Que c’était drôle que… enfin drôle ! Oui drôle que… comme vous ne m’avez pas reconnu, personne, en fait, hein ?!
- Pas moi, en tout cas.
- Je pétochais, je peux te dire ! Tu vois, de savoir que j’allais vous revoir tous, enfin tous… comme personne ne m’a reconnu, je me suis dis que bon… C’était un peu comme si on avait enterré Frédéric aujourd’hui… Tu vois un enterrement pour deux, genre d’une pierre deux coups. Ce genre de trucs… Pas… pas triste du tout, ni rien, tu vois. En fait c’est vachement gai. C’est une naissance, en fait, tu vois quelque part… Excuse-moi, je dis des conneries.
- Qu’est-ce que tu veux que j’te dise ? La vie est compliquée pour tout le monde, voilà… Qu’est-ce qu’on peut dire ?

- I warn you. I’ve training to kill since birth!
- And how long have you been training to be a prat?
- You can’t address me like that!
- Sorry! How long have you been training to be a prat, My Lord?

On peut tondre un mouton plusieurs fois, mais on ne peut le dépecer qu’une seule fois.

On se croit dans un monde civilisé, mais c’est vraiment la jungle, et dans cette jungle, si t’as envie de vivre, t’as intérêt a faire partie des animaux les plus forts. Si tu fais partie des autres, t’es juste un bout de gibier bon à sauver ton cul en courant toute ta vie. Mais tout ça c’est de la loterie. Et tout se décide à ta naissance. Soit t’es né pauvre, comme la grande majorité, et tu encaisses la puissance des autres et tu marches au pas, mais à force d’être humilié tu deviens violent ; soit t’es né riche, et alors tu fais gaffe à ton fric. Tu fais comme les autres, tu fais semblant d’aimer ta femme, tes enfants, tes amis, comme eux font tous semblant de t’aimer.

Ce grand mal, d’où est ce qu’il est venu ? Comment il s’est faufilé dans le monde ? Quelle graine, quelle racine l’a fait pousser ? Qui fait ça ? Qui nous tue ? Qui nous arrache la vie et la lumière ? Et nous montre pour nous narguer ce que l’on aurait pu connaître. Est-ce que notre ruine profite à la Terre ? Est-ce qu’elle aide l’herbe à pousser, le soleil à briller ? Est-ce que cette noirceur est en toi aussi ? As-tu toi aussi traversé cette nuit ?

On s’arrache la vache !

Tu vas comprendre ta douleur.

On se connaît, face de pet ?

Fais tes baguages Cri-Kee, on déménage !

- Père, je t’apporte l’épée de Shan-Yu et le médaillon de l’Empereur. Il me les a offert pour honorer la famille Fa.
- Le plus grand de tous les honneurs c’est de t’avoir pour fille.

Manqué ?! Mais comment t’as pu le rater il était à un mètre de toi !

- Putain sergent j’vais crever !!
- Ouais bah fait le en silence bordel de merde !

Oh oui M. Livre, j’ai John Murdoch à l’esprit…

La dame marieuse : Fa Mulan.
Mulan : Présente.
La dame marieuse : A parlé sans permission !
Mulan : Oh !
Grand-mère Fa : Elle n’est pas a prendre avec des baguettes.

Je m’appelle Kirikou.

Les soldats : Nous marchons gaiement vers notre champs de bataille.
Yao : C’est un vrai duraille d’être prit pour du bétail.
Les soldats : C’est un vrai guêpier d’être troupier quand on a mal aux pieds.
Ling : Hey ! Vaut mieux rêver à une fille à aimer. C’est ce que j’ai dit, une belle fille à aimer. Je l’imagine en tonkinoise avec ses yeux turquoises.
Yao : Moi, j’veux qu’elle admire ma force. Des coutures sur mon torse.
Chien-Po : Moi, qu’elle soit grosse ou qu’elle soit fine, j’suis pas misogyne. Du moment qu’elle fait d’la bonne cuisine. Bœuf, porc, poulet… mmh !
Yao : [À Mulan] Toi, c’est sûr, tu tombes toutes les filles comme des fruits mûres.
Ling : Elles préfèrent l’allure d’un dur-de-dur en armure.
Les soldats : Vous imaginez, pour un guerrier, c’qu’il peut leur plus manquer ?
Ling : J’ai deviné.
Les soldats : Une belle fille à aimer.
Yao : La mienne me trouvera beau.
Chien-Po : La mienne, pas trop gros.
Mulan : Euh… que diriez-vous d’une fille qui pense… d’une grande… clairvoyance ?
Yao, Ling et Chien-Po : Nan !
Ling : Mon air viril me donne un style qui séduit leurs cœurs.
Yao : [À Mulan] Écoute-donc ce grand séducteur. [Il effraie le cheval qui fait perdre l’équilibre de Ling]
Chi-Fu : Une fille m’attend depuis bientôt quarante ans.
Yao : [À Mulan] Depuis tout ce temps, elle n’a sûrement plus de dents.
Les soldats : Quand nous reviendrons dans des années, couverts de lauriers…
Ling : Nous reverrons…
Les soldats : Une belle fille à aimer.
Ling : Ça fait rêver.
Les soldats : Une belle fille à aimer. [Mulan siffle en tentant d’échapper aux bombardements de neige, mais se fait avoir par le trio] Une belle fille à aim… ?!

La vie. Un grand miracle, mais aussi un grand mystère. Depuis la nuit des temps, les humains et les Pokémon cherchent un sens à leurs vies. Plusieurs légendes étranges relatent cette quête incessante. Mais la plus étrange de toutes ces légendes est celle du plus puissant Pokémon de tous les temps.

Ils ont beaucoup de courage. Pour eux, c’est un défi de plus à relever. Ils écoutent leurs cœurs. C’est ce qu’il les rend différents et c’est pour ça qu’ils deviendront maîtres Pokémon. Je vous souhaite à tous bonne chance.

Qui suis-je ? Quelle est ma raison d’être ? Je trouverai la réponse et je me débarrasserai de tous ceux qui s’opposeront à moi. Humains ou Pokémons. Tous les habitants de la planète entendront ma mise-en-garde. Le règne de Mewtwo va bientôt commencer.