- Avez-vous un emploi, monsieur ? - Un emploi ?! Hahaha. - Ne me dites pas que vous cherchez un emploi dans cette tenue, un jour de semaine ? - Un jour de…?! Quel jour on est ?
- Je parie que cette plaque de métal ne fait pas plus de 15 mètres d’épaisseur. - Pourquoi ? - Parce que sinon on est foutus !
C’est pas des trucs volé, c’est juste des trucs pas payés… Et on en aura pas d’autres, ils ont changé leurs putains d’serrures !
- Tu mates le volant ? Il est beau, hein ? C’est le mien perso, je l’ai acheté à Alain Prost. Et là à l’intérieur c’est un nouveau grip spécial Dakar… Eh même avec une tonne de sable dans la bagnole… Tu conduis à l’aise ! - Et ben c’est con qu’on soit pas à la plage alors !
Je préfère avoir connu, une seule bouffée du parfum de ses cheveux, un seul baiser de ses lèvres, une seule caresse de sa main… que toute une éternité sans elle, un seul instant.
Vous faites peine à voir, on dirait un cheval qu’a raté une haie, on vous abattrait sur un champ de course.
- Je ne veux plus jamais voir un homme nu de ma vie ! - Ouais, et ben moi je mordrai plus une seule fesse !
On a des amateurs de bijoux ? Regardez un peu celui là : fait main en Italie, volé main à Steppe, il est long comme mon bras ! Dommage qu’il soit pas long comme autre chose !
- Papa ? - Oh ma puce… Bonjour. Grace, je t’ai promis que j’allais revenir. - Je comprends pas qu’es-t-ce… Qu’est-ce qu’il ce passe ? - J’aurais du mal à tenir ma promesse. - Je… Ce que j’ai dit l’autre jour, que je voulais pas te ressembler ; c’était pas vrai. Parce que je suis comme toi. Et… Et ce que j’ai de meilleur en moi, c’est ce qui vient de toi. Tu peux pas savoir comme je t’aime. Comme je suis fière de toi. J’ai peur Papa… Je suis terrorisée… - Je sais ma puce. Mais je te jure que bientôt, vous n’aurez plus rien à craindre. Grace, il faut que tu saches qu’A.J nous a sauvés. Il a réussi. Et je voudrais que tu dises à Chick que je n’aurais rien pu faire sans lui. Soyez heureux, toi et A.J. Je regretterais de pas être là pour te conduire à l’autel. Mais je… De temps en temps je reviendrais te voir ma chérie. Je t’aime Grace. - Moi aussi je t’aime. - Je dois te laisser chérie. - Oh non ! Papa !
Éther démoniaque… Ça vous fait vous comporter comme l’ivrogne du village dans un roman irlandais… C’est la perte complète de toutes capacités motrices… vision brouillé, perte d’équilibre, langue pâteuse. L’esprit se replie avec horreur, incapable qu’il est de communiquer avec la colonne vertébrale. Ça rend le phénomène fascinant… Vous pouvez vraiment vous regarder avoir cet horrible comportement mais vous ne pouvez rien contrôler. Vous approchez du tourniquet, et vous savez qu’en y arrivant, il vous faudra donner deux dollars au portier, ou il ne vous laissera pas rentrer. Et sitôt arrivé à ce tourniquet, tout va de travers. Un rotary en colère vous bouscule et vous vous dites : « Mais qu’est-ce qui se passe ici qu’est-ce qu’il y a ? » Et vous vous entendez marmonner : « Le chien a baisé l’pape ! Mais c’est pas ma faute ! »